Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

clark duke

  • Sandy Patterson - Arnaque à la carte

    Bonjour, je m’appelle Sandy Patterson (Jason Bateman).

    2167860595.98.jpg

    01.jpgPardon ? Non, c’est un prénom unisexe, mon père m’a appelé comme cela en hommage au joueur de base-ball Sandy Koufax. Enfin bref, je vous explique la situation : je viens tout droit de Denver car je suis à la recherche de Sandy Patterson (Melissa McCarthy) ou du moins d’une femme qui m’a volé mon identité.

    Non seulement elle a vidé mon compte en banque mais en plus de ça j’ai été arrêté par la police et j’ai même été viré de mon bureau. Je ne peux pas me permettre de perdre mon boulot, j’ai une famille à faire vivre et ma femme Trish (Amanda Peet) est enceinte de notre 3ème enfant.

    02.jpgComme la police de Denver ne peut pas intervenir pour une infraction en dehors de leur juridiction, j’ai été obligé de me déplacer moi-même. J’ai bien l’intention de la trouver et de la ramener pour qu’elle puisse me disculper.

     

    En savoir plus sur Arnaque à la carte ?

  • Kick-Ass 2

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Qui l’eût crut, l’apparition du héros Kick-Ass semble avoir fait des émules puisque les rues de New York sont désormais surveillées par de nombreux justiciers masqués. Notre pote Dave Lizewski (Aaron Johnson) a encore du mal à y croire d’autant plus qu’il va rejoindre un groupe nommé Justice Forever. Au même moment, Chris D’Amico (Christopher Mintz-Plasse) ne digère pas le fait d’avoir perdu son père explosé au bazooka et fomente un plan pour assouvir sa vengeance. Celui qui s’est fait connaitre sous le pseudonyme de Red Mist se fait désormais appeler Motherfucker et recrute les plus grands tueurs pour partir à la chasse de Kick-Ass !

    01.jpg

    Après un premier volet plutôt réussi, les fans du comics crée par le tandem Mark Millar & John Romita Jr. (publié chez nous chez Panini Comics si ça vous intéresse) attendaient de pied ferme le retour du pas si super héros. On se montre d’abord enthousiastes à retrouver Kick-Ass et l’incontournable Hit Girl dans leurs nouvelles aventures mais au fil des minutes c’est une certaine monotonie qui vient s’installer. Bien sur il y a quelques scènes d’action pas avares en hémoglobine et des moments plus "funs" mais ce qu’il en ressort c’est qu’on fait plus dans la surenchère qu’autre chose. A l’instar du premier épisode, Kick-Ass 2 est une adaptation bien trop sage (il est passé où le final à Times Square ?) pour nous emballer totalement.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de croiser le "Sick stick" !


    En savoir plus sur Kick-Ass ?

  • Arnaque à la carte

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Sandy Patterson (Jason Bateman) ne ménage pas ses efforts au travail mais il n’est pas vraiment récompensé. Pourtant, il aurait bien besoin d’un coup de pouce pour faire vivre sa famille qui va prochainement s’agrandir avec la naissance d’un 3ème enfant. Quelques collègues lui proposent alors une opportunité en or : créer leur propre boite et Sandy décide de sauter le pas mais il va être rattrapé par une drôle d’affaire. En Floride quelqu’un utilise frauduleusement son identité et, outre le fait qu’elle dépense sans compter, s’attire aussi quelques problèmes avec la justice. Sandy doit donc partir à la recherche de Sandy Patterson ou plutôt de Diana (Melissa McCarthy)  s’il veut garder son job.

    01.jpg

    Comment tuer son boss ? avait arraché beaucoup de rires et on se réjouissait à l’idée de découvrir cette nouvelle comédie de Seth Gordon. Ce sont donc les malheurs vécus par le pauvre Jason Bateman qui vont essayer de nous amuser d’autant plus qu’il trouve une partenaire en la personne de Melissa McCarthyqui est tout sauf discrète. On embarque alors pour un road-trip qui ne manque pas d’action mais l’essentiel, à savoir l’humour, lui semble être resté au bord de la route. On est vraiment loin de s’éclater d’autant plus que ça manque de surprises comme ce dénouement qu’on voit arriver à des kilomètres et donc le temps parait parfois long. Arnaque à la carte oui mais aussi dans la salle non ?

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’appeler votre fils Sandy, ça peut être dur à porter.

  • Mille mots

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    Notre pote Jack McCall (Eddie Murphy) est un agent littéraire à qui tout réussit et dernièrement il a fleuré la bonne affaire. Il veut en effet éditer le livre du Dr. Sinja (Cliff Curtis), un gourou qui connait un énorme succès mais il ignore encore que cette rencontre va changer sa vie. De retour chez lui, Jack s’aperçoit qu’un arbre a poussé miraculeusement dans son patio et pas n’importe lequel. Il s’agit de l’arbre de la sagesse qu’il avait vu chez le Dr. Sinja mais le plus étrange reste qu’à chaque mot qu’il prononce, une feuille se détache. Un phénomène inexplicable mais ce qui est sur c’est qu’il ne reste tout au plus qu’un millier de mots avant que l’arbre ne perde toutes ses feuilles et cela signifierait la mort pour Jack !

    01.jpg

    Toujours à la recherche de sa gloire perdue, notre pote Eddie Murphy laisse de coté le travestissement (et on ne s’en plaindra pas !) pour une comédie qui recycle les poncifs du genre. Au niveau du scénario, on opte pour la carte du mec égoïste et bonimenteur dont la vie va miraculeusement prendre un autre sens en se remettant totalement en question. Certains se réjouiront du fait que le sort réservé rend les bouffonneries de l’acteur un peu plus supportable que dans ses précédents films. On notera au passage l’apparition de notre Alain Chabat qui se trouve être également un des coproducteurs. Loin de nous laisser sans voix, Mille mots se résume lui en un seul : insignifiant !

  • La machine à démonter le temps

    aff.jpg

    Parce que leur pote d’enfance Lou (Rob Corddry) s’est retrouvé à l’hôpital après ce qui parait être une tentative de suicide, Adam & Nick (John Cusack & Craig Robinson) ont décidé de s’offrir un séjour à Kodiak Valley. Un voyage qui leur rappelle de merveilleux souvenirs et qu’ils vont tenter de partager avec Jacob (Clark Duke), le neveu d’Adam mais les temps ont changé ! Ce n’est plus le paradis qu’ils avaient connu auparavant et ils ne peuvent que se consoler dans le spa qui, en raison d’un court-circuit, se transforme en une machine à voyager dans le temps. Ainsi lorsqu’ils se réveillent, ils sont de retour en 1986 et doivent prendre leurs précautions pour ne pas modifier le futur, leur présent !

    01.jpg

    Voyager dans le temps reste certainement le fantasme ultime de l’homme et pour notre quatuor de potes d’enfance, c’est l’occasion de revivre l’un des plus grands moments de leur vie. La machine à démonter le temps est une comédie tout à fait convenable avec quelques vannes bien inspirées (excellent le coup de la couleur de la peau de Michael Jackson comme repère temporel) mais qui va passer inaperçu chez nous en l’absence de grandes stars (hormis John Cusak). Un mélange de Retour vers le futur et d’American Pie qui ne s’impose pas pour une soirée au cinéma mais qui fera bien l’affaire pour se détendre lors d’une soirée DVD.

     

    Il faut le voir pour : Avoir un brin de nostalgie !