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  • The amazing Spider-man

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    Notre pote Peter Parker (Max Charles / Andrew Garfield) n’a jamais réellement su pourquoi ses parents se sont soudainement enfuis le confiant aux bons soins de sa Tante May (Sally Field) et de l’Oncle Ben (Martin Sheen). Ses souvenirs du passé ressurgissent lorsqu’il retrouve une sacoche ayant appartenu à son père et découvre des documents confidentiels. Avec l’aide de Ben le jeune homme mène son enquête auprès de l’entreprise Oscorp, plus particulièrement du Dr Curtis Connors (Rhys Ifans) et alors qu’il cherche des réponses à ses questions un accident se produit. Peter va se faire piquer par une araignée expérimentale et sa vie sera alors transformé à jamais ; il va acquérir des pouvoirs extraordinaires et désormais un nouveau justicier débarque en ville : l’incroyable Spider-man !

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    Si en tant que fan de Marvel la sortie d’un Spider-man sur le grand écran reste un évènement, l’idée d’un reboot 10 ans à peine après la sortie du 1er film de Sam Raimi laisse perplexe. Toujours est-il que The amazing Spider-man est là et que Marc Webb se recentre sur la jeunesse du héros avec notamment la famille Stacy. On remet ainsi un peu les pendules à l’heure dans la mythologie du tisseur de toile avec une histoire plus centrée sur son premier grand amour mais, dans le même temps, ça zappe des personnages comme Harry et bien sur Mary-Jane. Dans la première demi-heure, on se croirait presque devant une comédie romantique et ça pourrait bien déboussoler ceux qui n’attendent que de l’action. Pas merveilleux mais pas mauvais non plus, c’est d’abord un épisode pour poser les bases d’une nouvelle saga.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de passer au supermarché pour ramener des œufs !

     

     

    En savoir plus sur The amazing Spider-Man : Le destin d'un héros ?

     

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  • Bel Ami

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    C’est au cours d’une soirée dans un bar parisien que Georges Duroy (Robert Pattinson) a retrouvé Charles Forestier (Philip Glenister), un pote d’enfance qu’il a connu 5 ans auparavant à l’armée. Les retrouvailles s’achèvent par un rendez-vous le lendemain chez Charles où il introduira son bel ami à ses connaissances et lui permettre ainsi de trouver sa place dans la capitale française. Paré d’un beau costume, Georges fait ainsi la rencontre d’hommes influents mais surtout de femmes irrésistibles à commencer par Clotilde de Marelle (Christina Ricci). Elle aussi est loin d’être insensible aux charmes du jeune homme qui ne peut cependant s’empêcher de penser à Madeleine Forestier (Uma Thurman).

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    Pour faire un peu son chauvin, on pourra déjà apprécier que l’une des œuvres de Guy de Maupassant fasse l’objet d’une adaptation sur le grand écran. Et puis les choses n’ont pas été faites à moitié puisque c’est un Robert Pattinson à peine sorti de son Cosmopolis qui incarne le personnage principal entouré d’une belle brochette d’actrices (Thurman, Scott-Thomas, Ricci). Seulement, on ne retiendra pas grand-chose de ce Bel Ami qui se limite aux aventures sentimentales d’un Georges Duroy insatiable. Le duo de réalisateurs Declan Donnellan & Nick Ormerod signent ainsi un premier film fade, sans véritable passion qui réussit à peine à tromper notre ennui et est loin de rendre hommage à l’écrit de l’auteur français.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de présenter votre Bel Ami à votre femme !

  • Couleur de peau : Miel

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    Il s’appelle Jung, c’est un enfant coréen qui a été abandonné par ses parents et c’est à l’âge de 5 ans qu’il quitte son pays pour la Belgique où une famille l’a adopté. C’est une toute nouvelle vie qui commence pour notre pote ; il a désormais 4 frères et sœurs à ses cotés et bientôt 5 puisque ses nouveaux parents vont adopter par la suite une autre coréenne. Jung n’est pas vraiment un enfant modèle ; turbulent il allait exaspérer plus d’une fois une mère peu patiente et manquant aussi parfois de tact. Ses origines ont toujours été l’objet d’interrogations de sa part, il ne se reconnaissait pas en tant que coréen et ne s’est d’ailleurs jamais rapproché avec les autres enfants adoptés de son village.

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    Avant d’être adapté pour le grand écran ; Couleur de peau : Miel, œuvre autobiographique, est d’abord un roman graphique réparti en 3 volumes. C’est en toute logique qu’il a adopté la forme d’un film d’animation supervisé par son propre auteur Jung dans lequel il y insert quelques prises de vue réelles ainsi que des photos & vidéos personnelles. Un passé riche et chaotique qui met également en lumière ce mystérieux malaise entourant ces coréens adoptés et qui touchera personnellement l’auteur. Charmé visuellement parlant, on l’est également en découvrant son histoire mouvementée mais qui se conclura comme un émouvant hommage à sa mère.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais traiter votre enfant de "Pomme pourrie" !

  • Dark Shadows

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    1972 à Collinsport dans le Maine. Notre pote Vicky Winters (Bella Heathcote) vient tout juste d’arriver, elle a été engagée par la famille Collins afin de devenir la nouvelle préceptrice du petit David (Gulliver McGrath). Si leur demeure apparait majestueuse, il manque clairement d’entretien mais il faut dire que la famille n’a plus son prestige d’antan. En voyant cela, certains pourraient se retourner dans leur tombe et c’est notamment le cas de Barnabas Collins (Johnny Depp), un vampire qui se retrouve libéré après 196 ans de sommeil. Sa malédiction il la doit à Angelique Bouchard (Eva Green), une sorcière qui n’a pas supporté d’être rejeté par l’homme qu’elle aimait et non seulement il va devoir apprendre à notre époque mais aussi aider ses descendants à redorer leur blason.

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    Une sorcière, un vampire et même un loup-garou ; notre pote Tim Burton ne risquait pas de se sentir dépaysé en adaptant la série homonyme des années 1960. Embarqué dans cette nouvelle aventure, il compte une fois encore sur Johnny Depp grimé en suceur de sang associé à une Eva Green plus femme fatale que jamais. Un cocktail fantastique et morbide assez alléchant au départ  mais l’intrigue fait vite du sur-place et certains personnages comme Elizabeth & Carolyn apparaissent clairement sous-exploités. A défaut de réussir à nous émerveiller, Dark Shadows parvient tout simplement à nous amuser pendant 1H50 mais ne fera pas date dans la filmographie de ce réalisateur à l’imaginaire fantasmagorique.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la marque de Méphisto !

  • Sur la piste du Marsupilami

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    Journaliste télévisé sur le déclin, notre pote Dan Geraldo (Alain Chabat) est à deux doigts de perdre son poste sur la chaine V8. On lui a posé un ultimatum ; sa dernière chance est de faire un carton d’audience pour sa prochaine émission qu’il présentera en direct de Palombie sur les lieux-mêmes où sa carrière a commencé. A lui de se débrouiller pour dénicher le scoop du siècle en l’occurrence l’interview exclusive du chef de la tribu des Payas. Sur place, il devra retrouver son guide Pablito Camaron (Jamel Debouzze), un homme dont tout le monde se moque car il aurait vu un animal qu’on pensait qui n’existe pas mais qui n’existe : le Marsupilami !!

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    Après Astérix, c’est désormais le célèbre Marsupilami du génial Franquin qui se voit adapter sur le grand écran confié aux bons soins d’Alain Chabat. Il fait de nouveau confiance à l’intenable Jamel Debbouze pour nous faire bondir dans tous les sens et nous pondre une comédie familiale réussie. L’ex-Nul est fidèle à sa réputation et a glissé de nombreuses références au cœur d’un scénario riche en personnages ; les rires ne manqueront pas avec Sur la piste du Marsupilami. On gardera notamment à l’esprit un splendide hommage de Lambert Wilson à Céline Dion, une séquence d’ores et déjà culte et rien que pour ça c’est un Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’acheter un gâteau au fruit de la passion, personne n’aime ça !

  • Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes

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    Le 22 Septembre 1966 a changé la vie de notre pote Henrik Vanger (Christopher Plummer). Ce jour-là, Harriet (Moa Garpendal) a disparu sans laisser aucunes traces, cela fait 40 ans et pourtant chaque année pour son anniversaire, il reçoit le même cadeau offert par sa nièce. Qui s’amuse à le torturer ainsi ? C’est pour éclaircir ce mystère qu’il a décidé de faire appel au journaliste Michael Blomqvist (Daniel Craig) actuellement en plein déboire juridique. En s’installant à Hedestad et sous couvert d’écrire une biographie sur Henrik, il va découvrir une famille atypique mais le travail qui l’attend est immense et il va avoir besoin d’aide, on lui conseille alors une certaine Lisbeth Salander (Rooney Mara).

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    J’avoue que lorsque j’ai entendu que nos potes américains préparaient une nouvelle adaptation du désormais célèbre roman de Stieg Larsson 3 années seulement après la version suédoise, j’étais vraiment circonspect. Mais quand c’est David Fincher qui s’attelle à la réalisation ça change pas mal de chose et le résultat final est à la hauteur de ce que l’on pouvait attendre. Avec un scénario aussi habilement écrit, le réalisateur de The social network ne pouvait que s’en donner à cœur joie et Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes constitue ainsi un thriller efficace et solide. Une adaptation réussie donc mais s’il faut la comparer avec la version de Niels Arden Oplev, on peut réellement s’interroger sur l’intérêt d’avoir produit aussi tôt cette nouvelle interprétation.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus laisser votre chat trainer dehors !


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    11 Janvier, dans le parc de Brooklyn Bridge ; 2 enfants se disputent et en sont venus aux mains. Zachary (Elvis Polanski), à l’aide d’un bâton, a frappé son pote d’enfance Ethan (Eliot Berger) en plein visage cassant par la même occasion 2 dents. Leurs parents décident alors de se rencontrer et de régler tout ceci comme des gens civilisés. Penelope & Michael (Jodie Foster & John C. Reilly) ont donc conviés Nancy & Alan (Kate Winslet & Christoph Waltz), les parents de Zachary pour tirer cette histoire au clair et si cela semblait se régler rapidement, ça va finir par virer au cauchemar. Les explications s’éternisent d’abord autour d’un clafoutis et de cafés mais cela va se terminer avec une bonne bouteille de scotch !

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    Adapté de la pièce de théâtre Le dieu du carnage de Yasmina Reza, ce film de Roman Polanski avait l’air plutôt alléchant de par son casting 4 étoiles. Réunis dans un appartement, ce sont 2 couples qui vont s’entre-déchirer autour d’un problème assez banal et où ressortent toutes les rancœurs et ressentiments qu’ils ont accumulé. De ce huis-clos aux allures assez banales se construit alors un règlement de comptes assez jouissif avec notamment une Jodie Foster au bord de la rupture névrotique et un Christoph Waltz génialement agaçant avec son téléphone. Un quatuor fantastique pour un film qui ne l’est pas moins, un bon exutoire pour ceux qui en ont vraiment besoin, du bon Carnage !

     

    Il faut le voir pour : Laisser vos enfants régler leurs propres problèmes.

  • Mortal Kombat Destrution Finale

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    Liu Kang (Robin Shou) a vaincu le tyran Shang Tsung et remporté ainsi le Mortal Kombat assurant la paix sur terre pour au moins une génération. A peine sorti de son combat ; Il doit faire face à une nouvelle menace personnifiée par le terrible Shao Khan (Brian Thompson), venu tout droit d’Outre-monde et violant ainsi les lois édictées par les dieux anciens. Il a l’intention de faire fusionner son monde avec la Terre ; ses généraux vont ainsi pouvoir s’en donner à cœur joie et répandre la terreur. En compagnie de ses potes Rayden (James Remar), Sonya Blade (Sandra Hess) ou encore la princesse Kitana (Talisa Soto) ; Liu Kang va de nouveau combattre pour sauver le destin des humains.

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    Après un premier épisode plus ou moins réussi, le célèbre de baston sanglant se voit offrir une suite ; une nouvelle qui aurait pu ravir les fans mais ce n’est pas vraiment le cas. Dieu sait ce qui a traversé l’esprit du réalisateur John R. Leonetti qui nous inflige une terrible Fatality avec ce gigantesque navet. Dès les premières minutes, il est bien difficile de se retenir d’exploser de rire devant le ridicule de certaines situations. A cela s’ajoute le jeu branlant des comédiens, les décors en carton-pâte et le scénario bien évidemment inexistant. Mortal Kombat Destrution Finale a davantage les allures d’un téléfilm qu’autre chose et s’impose comme l’une des pires adaptations de jeux vidéos !

     

    En savoir plus sur Mortal Kombat ?

  • Mortal Kombat

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    Un nouveau tournoi Mortal Kombat est sur le point de débuter et il pourrait sceller le destin de la Terre. Après avoir remporté 9 victoires consécutives, le maléfique Shang Tsung (Cary-Hiroyuki Tagawa) pourrait en effet envahir notre monde s’il venait à être déclaré vainqueur mais le Seigneur Rayden (Christophe Lambert) n’entend pas le laisser faire. Parmi tous les participants, il va soutenir un trio prometteur composé de Liu Kang, Johnny Cage & Sonya Blade (Robin Shou, Linden Ashby & Bridgette Wilson) mais ils sont encore loin d’être prêts à vaincre leurs adversaires. Pour Liu Kang, ce tournoi a surtout un parfum de revanche car son jeune frère Chan (Steven Ho) fut vaincu par Shang Tsung qui s’est également emparé de son âme.

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    A l’époque de sa sortie au cinéma, j’avais adoré Mortal Kombat car il faut remettre les choses dans leur contexte, cela suivait la désastreuse adaptation de Street Fighter. Plus de 15 ans plus tard, je me rends maintenant compte que le film de Paul W.S. Anderson était loin d’être le résultat exceptionnel que je voulais bien croire. Le casting déjà est une catastrophe hormis peut-être Robin Shou qui est le seul à savoir se battre et puis il y a cette profusion d’effets spéciaux qui paraissent totalement désuets aujourd’hui. Il y a des films qu’il ne vaut mieux pas revoir et cette adaptation du jeu de Midway en fait clairement parti. Écrasante déception !! En tout cas, le film aura eu suffisamment de succès à l’époque pour nous offrir une suite, une merveilleuse perle de kitsch.

     

    En savoir plus sur Mortal Kombat Destruction Finale ?

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    Notre pote Stanley Ipkiss (Jim Carrey) est un homme généreux et beaucoup de personnes dans son entourage profitent sans vergogne de sa crédulité. Sa vie sentimentale est elle aussi loin d’être un conte de fée jusqu’à sa rencontre avec la magnifique Tina Carlyle (Cameron Diaz) mais il faut qu’il se fasse une raison ; il n’a aucunes chances. D’ailleurs, ce soir encore il s’est fait jeter du Coco Bongo mais dans son malheur il va ramasser un drôle de masque. Piqué par la curiosité mais aussi par une certaine attirance, il le place sur son visage et se transforme alors en une créature extraordinaire ; une tornade humaine. La soirée s’annonce Spleeendide !

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    Avant même que les super productions de Marvel & DC Comics n’explosent dans les salles de cinéma ; The mask fut l’un des précurseurs en la matière. Le personnage dont les aventures ont été publiées par Dark horse Comics s’éloigne de ses origines pour donner naissance à une splendide comédie. Révolutionnaire pour son époque avec notamment des effets spéciaux dernier cri (Le film remporta d’ailleurs l’Oscar des meilleurs effets visuels en 1995), ce film a aussi permis de lancer la carrière de Cameron Diaz et de faire connaitre au monde entier l’inimitable Jim Carrey. Même s’il n’est pas exceptionnel, on prend toujours plaisir à le revoir ce qui n’est pas le cas de sa très mauvaise suite.