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Premières Impressions 2011 - Page 18

  • Il n’est jamais trop tard

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    Il s’attendait à être nommé une fois encore employé du mois au lieu de quoi notre pote Larry Crowne (Tom Hanks) vient d’apprendre qu’il a été licencié. Tout cela parce que sa hiérarchie a appris qu’il n’avait jamais suivi d’études supérieures et que cela empêchait toute évolution au sein du groupe U-Mart. La nouvelle est difficile à encaisser pour cet homme divorcé mais il va vite reprendre le dessus et décide alors de se remettre aux études. On le dirige notamment vers le cours de l’art du discours informel donné par Mercedes Tainot (Julia Roberts), une professeur qui semble t-il a perdu tout plaisir d’enseigner.

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    C’est le retour de notre pote Tom Hanks aussi bien devant que derrière la caméra et pour l’accompagner il a droit à 2 partenaires de charme : Julia Roberts et surtout Gugu Mbatha-Raw qui volerait presque la vedette à la première. Il n’est jamais trop tard a tout de la comédie romantique de base ; une rencontre providentielle entre 2 personnes radicalement opposées et le début d’une belle histoire. Si l’aspect comédie opère de façon plutôt efficace, on est moins accroché par le couple Roberts / Hanks ; on ne ressent aucune magie dans leur relation. Reste toutefois que l’on passe un agréable moment devant ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus jamais rentrer votre polo dans votre pantalon !

  • Hop

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    Cela fait 1 an que notre pote Fred (James Marsden) est au chômage, une situation qui ne semble pas vraiment le déranger ce qui n’est pas le cas de ses parents chez qui il vit encore. Pour lui donner un coup de main, sa sœur Samantha (Kaley Cuoco) lui dégotte un entretien et lui prête même les clés de la résidence de son patron afin qu’il aille nourrir les chiens et éviter qu’il ne dorme dans sa voiture. Sur le chemin, Fred heurte involontairement Robbie, un lapin qui non seulement parle mais prétend également être le célèbre lapin de Pâques. La vérité n’est pas tout à fait celle-là : il s’est enfui de son ile avant d’être intronisé par son père comme le prochain lapin de Pâques car lui aspire plutôt à devenir un batteur renommé à travers le monde entier.

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    Si vous n’avez plus l’âge d’aller à la chasse aux œufs en chocolat durant le célèbre Lundi de Pâques alors vous ne l’avez pas non plus pour apprécier comme il se doit Hop. L’aventure de ce lapin pourra à peine divertir les enfants car une fois encore l’histoire totalement prévisible est assortie de son humour au ras des pâquerettes. Ce n’est pas parce qu’on fait des films destinés aux plus jeunes qu’il faut croire que ce sont des abrutis finis mais Hollywood a encore du mal à comprendre ça ! La seule chose qui m’aura consolé c’est de voir notre vieux pote David Hasselhoff en guest-star mais ça ne suffit pas pour sauver cette comédie à réserver à ceux qui croient au lapin de Pâques !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de manger des bonbons, vous ignorez d’où ils sortent.

  • Derrière les murs

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    Son arrivée n’est pas passée inaperçu dans ce village d’Auvergne ; Suzanne (Laetitia Casta) est une romancière parisienne qui a décidé de quitter la ville pour se ressourcer. Dans la maison qu’elle occupe, elle va découvrir une sorte de grotte dans sa cave qui était dissimulée derrière un mur de briques. C’est dans cette pièce qu’elle va installer son bureau pour écrire son prochain roman mais la jeune femme est hantée par un douloureux souvenir ; celui de sa fille disparue. Est-ce pour combler ce manque qu’elle s’est spontanément proposer des cours particuliers à une jeune fille de la région ? Toujours est-il que lorsque celle-ci disparait soudainement, tous les regards se portent immédiatement sur Suzanne.

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    Bon déjà, une précision qui a son importance ; le film est sorti en version 3D dont vous pouvez largement vous en dispenser car dormir avec les lunettes sur le nez n’est pas très pratique. Oui, vous l’aurez deviné, Derrière les murs a toutes les chances de vous assoupir car il ne s’y passe strictement rien à part quelques apparitions de jeunes en robe et une invasion de rats, bouh qu’est ce que ça fout les jetons ! La prestation de Casta est dans l’ensemble anodine ce qui ne sert pas l’intérêt général de ce film. Ce n’est pas avec ce genre de productions qu’on sera tenté de franchir le mur, surtout au prix actuel du billet de cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Penser à aller acheter un piège à rats !

  • Case départ

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    Nos potes Joël & Régis (Thomas Ngijol & Fabrice Eboué) n’ont que peu de choses en commun ; le premier galère après avoir passé 3 mois en prison tandis que le second est un conseiller municipal prêt à tout pour se faire bien voir. Le seul lien qui les unit leur vient de leur père qui n’a jamais été très présent pour eux et dont les jours sont comptés. C’est en se rendant aux Antilles que leurs chemins se croisent et à cette occasion, ils se voient léguer une chose incroyable : l’acte d’affranchissement qui a libéré leurs ancêtres. Un héritage qui semble laisser de glace nos 2 compères qui détruisent le document ce qui a le don d’énerver leur vieille tante (Isabel del Carmen Solar Montalvo) qui leur jette alors un sort. Lorsqu’ils reprennent connaissance, ils se retrouvent en 1790, époque où les noirs sont encore considérés comme des esclaves.

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    Rendus célèbres grâce à leurs apparitions dans le Jamel Comedy Club, le duo Thomas Ngijol & Fabrice Eboué se lancent maintenant dans le cinéma avec évidemment une comédie à la clé. A noter que les 2 comédiens ne se sont pas juste contentés de faire les clowns devant la caméra mais ils se sont également impliqués dans l’écriture du scénario et dans la réalisation. Si leur humour ne vous a jamais séduit, il risque d’en être de même ici d’autant plus qu’ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère lorsqu’il s’agit de déballer leur lot de préjugés. L’objectif étant bien sur de sensibiliser les spectateurs sur le thème du racisme tout en ne perdant pas de vue qu’on est là pour se marrer. Résultat final réussi et donc Case départ est le film idéal pour se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus voir votre mamie de la même façon !

  • La traque

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    Tout a débuté dans la propriété privée de la famille Lemans : des cerfs se sont encastrés dans leurs clôtures et en voulant dégager les carcasses de ces animaux, David (Joseph Malerba) a fait une importante découverte. Il retrouve une dent provenant qu’un sanglier qui semble énorme et pour éviter que ce genre de problèmes se renouvelle, il décide de partir à la chasse. Accompagné de son père Eric (Fred Ulysse), de son frère Nicolas (François Levantal) et de Nathan (Grégoire Colin), le médecin de la région mais aussi le petit-ami de sa nièce Claire (Bérénice Béjo) ; ils se rendent dans la foret mais sont loin d’imaginer ce qui les attend. Ils découvrent en effet que les animaux ne sont pas dans leurs états normaux ; quelque chose les a métamorphosés et cela est lié aux activités familiales.

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    Pour son premier film, on ne peut pas dire que notre pote Antoine Blossier ait pris beaucoup de risques et cela risque malheureusement de s’en ressentir au niveau des entrées. C’est un énième thriller qu’on essaie de nous refourguer ici si ce n’est que le fameux tueur est en fait une horde de sangliers sauvages dopés. Bref, on ne peut pas dire que La traque fasse dans l’originalité que ce soit au niveau de l’histoire ou dans la réalisation ; les personnages étant eux aussi assez transparents. Il faut bien comprendre que ce film n’a pas les atouts nécessaires pour attirer les spectateurs, c’est plutôt honnête mais cela a juste 15 ans de retard donc à vous de voir si vous avez envie de voyager dans le temps.

     

    Il faut le voir pour : Prévoir un rôti de sanglier pour la prochaine réunion familiale.

  • J’ai rencontré le diable

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    Tout a commencé lorsqu’un enfant a découvert une oreille coupée dans un sac plastique. Très vite, la zone a été ratissée de fond en comble et on a alors trouvé la tête coupée de Ju-yeon (Oh San-ha) qui gisait dans l’eau ; la victime est une jeune femme qui a été littéralement dépecée par un psychopathe. Cette découverte atroce a anéanti le père mais aussi son fiancé Soo-hyun (Lee Byung-Hun) qui a bien l’intention de retrouver le responsable de ce massacre et de lui faire payer ses actes. Une liste de 4 suspects lui parvient ; des hommes au lourd passif auxquels il compte rendre visite mais c’est un certain Kyung-Chul (Choi Min-sik) qui va s’avérer être sa véritable cible.

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    Si la vengeance est un plat qui se mange froid, elle va également finir par devenir une vraie spécialité coréenne puisqu’après la trilogie de Park Chan-Wook, le talentueux Kim Jee-won (A bittersweet life ; Le bon, la brute et le cinglé) vient marquer à son tour les esprits des spectateurs. Pour l’occasion on retrouve avec grand plaisir Lee Byung-Hun mais aussi Choi Min-sik qui justement était apparu dans Old boy. J’ai rencontré le diable est un film extra maitrisé de bout en bout qui nous jette au cœur d’une implacable vengeance (une interdiction aux moins de 16 ans justifiée) et qui va se transformer en une terrible chasse à l’homme. Sans aucun doute le thriller de cet été à ne surtout pas manquer et donc un Coup de cœur ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à votre femme à changer une roue crevée !

  • Ni à vendre ni à louer

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    Les vacances à la mer, beaucoup en rêvent et c’est dans la région de Saint-Nazaire qu’on retrouve quelques potes d’enfance. Impossible de manquer le supermarché du coin peu achalandé mais où les codes barres sont faits maison et disposés avec grand soin. Attention si vous croisez les 2 golfeurs ! Ils n’en ont pas l’air comme ça mais ce sont de véritables pickpockets et ils ont une bien belle collection de portefeuilles. Pour d’autres, c’est l’occasion de se détendre que ce soit en faisant du camping avec sa grande famille ou bien en faisant une petite partie de Scrabble qui ne manque pas de sous-entendus. Ne vous étonnez pas non plus de voir un couple pourchasser un cerf-volant en voiture, il s’en passe vraiment de drôles de choses !

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    Pour son second long-métrage, Pascal Rabaté se lance  là dans quelque chose d’osé et d’étonnant puisque Ni à vendre ni à louer est un film choral et de surcroit quasiment dénué de dialogues. Déjà qu’il n’est pas facile de faire cohabiter une bonne quinzaine de personnages, ceux-ci ne s’expriment en effet qu’en onomatopée mais on s’en accommode rapidement. L’histoire se compose ainsi de plusieurs scénettes reposant sur la carte de l’humour et même si on n’est jamais submergé de rire, il y a bien quelques passages qui nous font décrocher un léger sourire. Nul doute que l’expérience du réalisateur en tant qu’auteur de bande dessinée lui a permis de mieux appréhender ce film curieux mais qui mérite qu’on s’y attarde.

     

    Il faut le voir pour : Rester sur vos gardes si vous passez près d’un terrain de golf !

  • My little princess

    cinéma, film, drame, my little princess, Isabelle Huppert, Anamaria Vartolomei, Georgetta Leahu,Denis Lavant, Jehtro Cave, Louis-Do de Lencquesaing, Nicolas Maury, Eva Ionesco

    Violetta Gurgiu (Anamaria Vartolomei) est une petite fille plutôt banale élevée par son arrière-grand-mère (Georgetta Leahu) alors que sa propre mère vit dans le même immeuble. Il faut dire que Hanna (Isabelle Huppert) est une artiste et qu’elle a absolument besoin de son espace de création. C’est la nuit tombée qu’elle trouve toute son inspiration au milieu de son univers aux allures morbides et puis un jour lui prend l’idée de photographier sa propre fille. Ce qui n‘était au départ qu’un jeu devient soudainement plus sérieux car Hanna se met à vendre les clichés dans son entourage. Ce travail artistique s’intensifie chaque jour et les poses de Violetta sont de plus en plus suggestives jusqu’à provoquer l’ire de certaines personnes.

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    On savait que le film d’Eva Ionesco allait être dérangeant de par son sujet sensible. Les amateurs du 7ème art trouveront une ressemblance entre l’affiche de My little princess avec celle du film Le livre de Jeremie et ils partagent également quelques points communs dans l’histoire. On y retrouve ainsi l’influence outrancière d’une mère excentrique sur son enfant en l’occurrence ici la jeune Anamaria Vartolomei pleine d’aplomb. Que ce soit cette dernière ou Isabelle Huppert, on est embarqué par leurs interprétations mais en dépit du thème épineux du film (inspirée par l’enfance de la réalisatrice), cela reste toutefois assez sage. Il manque un brin de provocation pour marquer nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Faire profil bas si vous êtes un homme !

  • La prima cosa bella

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    Aujourd’hui c’est l’anniversaire de notre pote Bruno (Valério Mastandrea / Francesco Rapalino / Giacomo Bibbiani) mais c’est un évènement qu’il préfère occulter, ce prof d’italien dans une école hôtelière vit actuellement une grande période de dépression. Sa sœur Valeria (Claudia Pandolfi / Giulia Burgalasse / Aurora Frasca) tente de le joindre sans succès et elle va finalement venir jusqu’à lui car leur mère Anna (Micaela Ramazzotti / Stefania Sandrelli) est gravement malade et il ne lui reste malheureusement que peu de temps à vivre. Il a cependant fallu faire des pieds et des mains pour convaincre Bruno de se rendre au chevet de sa mère car leurs rapports ont été mouvementés par le passé. Anna était une femme élégante qui a quitté un mari maladivement colérique et elle s’est toujours débrouillée par elle-même pour offrir le meilleur à ses enfants.

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    La prima cosa bella est le portrait d’une famille italienne plutôt atypique menée par une femme au fort tempérament. Le réalisateur Paolo Virzi prend comme point d’encrage le présent pour ensuite nous dérouler l’histoire à coups de flashbacks revenant ainsi sur les évènements cruciaux de cette famille. Ce qui nous tient en haleine c’est évidemment le rapport qu’entretient Bruno avec sa mère puisque ce héros se montre au départ étonnamment très réticent à l’idée de la voir malgré son état critique. Avec ses personnages attachants, le film manie avec délicatesse la fibre nostalgique pour emporter les spectateurs pour mieux les séduire malgré quelques moments de flottement.

     

    Il faut le voir pour : Penser à célébrer votre mariage dans votre lit !

     

  • Transformers 3 - La face cachée de la lune

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    Le 21 Juillet 1969, Neil Armstrong & Buzz Aldrin créaient l’histoire en étant les premiers hommes à poser le pied sur la lune ; un évènement prodigieux qui cache en fait un lourd secret. 8 ans auparavant, on a détecté l’impact d’un objet sur la lune et c’est ainsi qu’a débuté la course lunaire entre les Etats-Unis et l’URSS. Retour au présent, notre pote Sam Witwicky (Shia LaBeouf) se désespère de ne pas pouvoir trouver un job digne de ce nom, lui qui a sauvé la Terre à 2 reprises. Il va d’ailleurs devoir remettre ça car une nouvelle menace émerge : Optimus Prime et ses alliés ont découvert ce qui s’était passé sur la lune et il s’avère que cet appareil renferme en réalité une arme décisive dans la guerre opposant les Autobots aux Decepticons.

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    Je n’aurais jamais imaginé dire ça de ce 3ème volet mais j’ai été bien déçu !! Alors attention, ne vous y trompez pas le spectacle est bel et bien au rendez-vous, Michael Bay s’impose comme le King de l’entertainment mais avant ce feu d’artifice qui conclut la trilogie, il y a une longue heure et demie de vide. Autant le réalisateur a le don pour nous en mettre plein la vue autant  le coté comédie de Transformers 3 - La face cachée de la lune lui échappe totalement. L’humour est lourd, matraqué, sans inspirations (à l’image de Ken Jeong qui vient faire son show habituel) et même Shia LaBeouf en fait des tonnes jusqu’à la limite du supportable. S’il s’avère être un poids lourd en matière d’effets spéciaux, sur l’ensemble le film déçoit mais ça reste en tout cas la récréation cinématographique par excellence du moment.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir la vérité sur les premiers pas de l’homme sur la lune.

     

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