Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

etienne chicot

  • Hibou

    star 02.jpg

    AFF1 (3).jpg

    Si vous le croisiez dans la rue, vous ne le remarqueriez certainement pas ; notre pote Rocky (Ramzy Bedia) n'est pas invisible mais c'est tout comme. Que ce soit ses collègues de travail ou juste pour prendre un bus, tout le monde l'ignore mais un curieux visiteur va venir changer sa vie. Rocky s'aperçoit en effet qu'un hibou a élu domicile sur son canapé ! Il décide alors d'aller demander conseil à l'animalerie près de chez lui qui lui apprend qu'il s'agit d'un Grand Duc. Quant à la raison de son apparition ; cela reste un mystère et en attendant de trouver une réponse, il décide de le garder (faute d'avoir réussi à le faire partir) et d'en prendre soin.

    02.jpg

    Jusqu'ici cantonné à son rôle de comédien, notre pote Ramzy Bedia effectue donc le grand saut et rejoint la cour des réalisateurs. A son image, il a donc façonné Hibou pour en faire une comédie bien décalée où un Panda géant peut se faire maquiller et où Philippe Katerine vous donne la banane (mais pas trop fort). Est-ce parce qu'ils avaient collaboré ensemble sur Steak, toujours est-il qu'on ressent une certaine influence apportée par le cinéma particulier de Quentin Dupieux. On essaie de s'accrocher à l'histoire fantaisiste proposée ici malheureusement il faut bien admettre qu'on est surtout emporté par l'ennui.

     

    Il faut le voir pour : Manger plus de thon, il y a tellement de variétés différentes !

  • On a marché sur Bangkok

    star 01.5.jpg

    AFF.jpg

    Enquête de scoops, c’est de la merde ! C’est un jugement sans nuances qui a précipité l’arrêt de cette émission et d’envoyer Serge Renart (Kad Merad) à la météo de 23 heures. Reste à annoncer la nouvelle à son collègue et pote d’enfance Joseph (Gérard Jugnot) qui le prendra assez mal puisqu’on va l’enterrer après qu’il ait succombé à une crise cardiaque ! Même disparu, son devoir de journaliste subsiste et il va confier à Serge une mission de la plus haute importance, un scoop inimaginable. Il était en effet sur le point de découvrir une incroyable révélation concernant les premiers pas de l’homme sur la lune et la vérité se cache à Bangkok !

    01.jpg

    Quand Olivier Baroux joue les réalisateurs, son pote d’enfance Kad Merad n’est jamais très loin et les deux compères signent là leur 5ème collaboration. On a marché sur Bangkok nous promet donc une révélation prodigieuse mais en attendant de découvrir celle-ci, il faut tout de même subir une comédie qui manque cruellement d’humour. Connaissant le passif des 2 comiques, on s’attendait à un festival de scènes absurdes au lieu de quoi le tandem Taglioni / Merad nous confine à l’ennui. D’ailleurs, cela m’a un peu rappelé le peu glorieux RTT et en dehors de voyager un peu en Thaïlande il n’y a vraiment rien à se mettre sous la dent. Un film sur lequel on marchera dessus sans se retourner !

     

    Il faut le voir pour : Travailler votre regard du tigre.

  • Le crocodile du Botswanga

    star 03.jpg

    aff.jpg

    Leslie Conda (Ibrahim Koma) est le nouvel espoir du football et notre pote Didier (Fabrice Eboué) peut remercier le ciel d’être son agent. Tous deux se rendent au Botswanga, pays d’origine du footballeur qui souhaite notamment disperser les cendres de sa mère disparue. Ils sont accueillis en grande pompe par le Président Bobo (Thomas Ngijol), un chef d’état aux méthodes quelque peu dictatoriales. Celui-ci s’est d’ailleurs mis en tête de créer une équipe nationale de football ; les Crocodiles du Botswanga et il compte bien entendu sur l’enfant du pays pour les mener à la victoire. Après avoir offert une jolie mallette d’1 million d’euros, il charge Didier de convaincre son joueur mais c’est loin d’être gagné !

    01.jpg

    Notre pote Fabrice Eboué est de retour à la réalisation et il en signe également le scénario. Le crocodile du Botswanga nous confronte à un dictateur plutôt original incarné par son inséparable compère Thomas Ngijol. A l’image de Case départ, cette comédie est loin de faire dans le raffiné bien au contraire ; il ne fait que puiser dans les habituels clichés pour nous faire rire. Un humour qui une fois encore ne plaira pas à tout le monde mais lorsqu’on l’apprécie difficile de s’empêcher de se marrer. On peut juste déplorer un certain manque de surprises ; les anciens du Jamel Comedy Club ne prennent malheureusement pas beaucoup de risques mais l’essentiel reste qu’on s’amuse plutôt bien.

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on crée un Ministère des cabinets en France !

  • Un plan parfait

    star 02.5.jpg

    aff.jpg

    Dans la famille de notre pote Isabelle (Diane Kruger), il existe une malédiction qui fait que le 1er mariage est toujours un échec. C’est pour cette raison qu’elle hésite à épouser Pierre (Robert Plagnol), l’homme qu’elle aime depuis 10 ans mais sans mariage, elle ne pourra pas non plus connaitre les joies de la maternité. L’opération Stimorol est donc lancée : Isabelle part au Danemark pour épouser quelqu’un et divorcer aussitôt mais son plan connait un imprévu. Elle doit donc improviser et trouver le premier crétin venu qui acceptera de l’épouser et c’est ainsi qu’elle croise la route de Jean-Yves (Dany Boon), journaliste pour le guide du routard. Si l’épouser semble n’être qu’une formalité, se séparer de lui sera une autre paire de manche !

    01.jpg

    Après la belle surprise que fut L’arnacœur, Pascal Chaumeil continue de malmener les relations amoureuses avec cette famille frappée par cette incroyable malédiction. Un nouveau couple se forme pour l’occasion avec Diane Kruger & Danny Boon, vedettes d’une comédie qui ne manquera pas de vous faire voyager un peu. La découverte de beaux paysages sont aussi là pour dissimuler un scénario dont on a rapidement fait le tour et qui se repose sur un duo sympathique mais pas plus attachant que ça. Un plan parfait est loin d’être extraordinaire mais pour les amateurs de comédies romantiques légères, vous vous en contenterez largement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous donner des surnoms sinon vous êtes libres de donner une claque !

  • Case départ

    aff.jpg

    Nos potes Joël & Régis (Thomas Ngijol & Fabrice Eboué) n’ont que peu de choses en commun ; le premier galère après avoir passé 3 mois en prison tandis que le second est un conseiller municipal prêt à tout pour se faire bien voir. Le seul lien qui les unit leur vient de leur père qui n’a jamais été très présent pour eux et dont les jours sont comptés. C’est en se rendant aux Antilles que leurs chemins se croisent et à cette occasion, ils se voient léguer une chose incroyable : l’acte d’affranchissement qui a libéré leurs ancêtres. Un héritage qui semble laisser de glace nos 2 compères qui détruisent le document ce qui a le don d’énerver leur vieille tante (Isabel del Carmen Solar Montalvo) qui leur jette alors un sort. Lorsqu’ils reprennent connaissance, ils se retrouvent en 1790, époque où les noirs sont encore considérés comme des esclaves.

    1273829916_Prison-Break-1600x1200-Wallpaper.jpg

    Rendus célèbres grâce à leurs apparitions dans le Jamel Comedy Club, le duo Thomas Ngijol & Fabrice Eboué se lancent maintenant dans le cinéma avec évidemment une comédie à la clé. A noter que les 2 comédiens ne se sont pas juste contentés de faire les clowns devant la caméra mais ils se sont également impliqués dans l’écriture du scénario et dans la réalisation. Si leur humour ne vous a jamais séduit, il risque d’en être de même ici d’autant plus qu’ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère lorsqu’il s’agit de déballer leur lot de préjugés. L’objectif étant bien sur de sensibiliser les spectateurs sur le thème du racisme tout en ne perdant pas de vue qu’on est là pour se marrer. Résultat final réussi et donc Case départ est le film idéal pour se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus voir votre mamie de la même façon !

  • Low cost

    aff.jpg

    Bienvenue à bord du Boeing 737-200 affrété par la compagnie Lebud Jet, l’avion va bientôt quitter Djerba pour rejoindre Paris … du moins c’est ce qui était prévu ! En effet, alors que le décollage était imminent, les passagers apprennent que leur voyagiste a fait faillite et que l’appareil est désormais cloué au sol. Refusant de quitter leurs sièges, les passagers avec Dagobert (Jean-Paul Rouve) en tête décident d’occuper l’avion et mieux encore de le faire décoller ! Parmi eux se trouve Jean-Claude (Gérard Darmon), ancien pilote avec 35 000 heures de vol à son actif qui est prêt à reprendre du service. Les voilà donc dans le ciel mais à leur atterrissage, ils vont vite déchanter !

    01.jpg

    En voilà une très bonne surprise de notre pote Maurice Barthélémy, Low cost est une comédie qui n’est pas sans nous rappeler le mythique Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? On embarque donc pour un vol mémorable avec une belle galerie de personnages parmi lesquels on retrouve en première ligne son ex-compère des Robins des bois Jean-Paul Rouve. Bien entendu, si vous vous souvenez des sketches qui ont fait les belles heures de Canal +, vous savez qu’il faut s’attendre à un humour plutôt absurde et je vous garantis que vous allez vous marrer ! Un film rafraîchissant qui ne vole certes pas très haut mais assez pour nous changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d’avoir peur des nains !

  • Da Vinci Code

    Le professeur Robert Langdon (Tom Hanks) est quelqu’un de très occupé. Il faut dire qu’il est l’un des plus éminents spécialistes en matière de symboles, une réputation qui va le conduire à vivre une expérience unique. De passage à Paris, il se retrouve mêlé au meurtre de Jacques Saunière (Jean-Pierre Marielle), gardien au musée du Louvre. Très vite, il fait la connaissance de Sophie Neveu (Audrey Tautou) qui va le mener dans une quête dont les répercussions risquent d’être révolutionnaires !

    Vivement critiqué lors de sa projection à Cannes, je n’ai pas été déçu par cette adaptation et pour cause, je n’ai jamais lu le livre alors il n’y avait pas vraiment d’attente. Pour ne pas mourir idiot, je me devais de jeter un œil à ce phénomène initié par Dan Brown et c’est vrai que l’intrigue est plutôt bien ficelée. Le film quant à lui se laisse regarder avec plaisir, les 2h30 passent vite même s’il n’ya rien de révolutionnaire dans le travail de Ron Howard ; en tout cas ça m’évitera de lire le bouquin !