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thomas ngijol

  • Black Snake, la légende du serpent noir

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    1970. Notre pote Clotaire Sangala (Thomas Ngijol) a délaissé pour un moment son appartement dans l'Arc de Triomphe pour revenir en Afrique. Il retourne auprès de son Grand-père (Tapa Sudana) qui l'a recueilli alors qu'il n'était encore qu'un bébé, abandonné à coté des poubelles. Clotaire découvre un pays dont le peuple est écrasé par le dictateur Ézéchias (Michel Gohou) et il n'est pas vraiment le genre d'homme à prendre la défense de la veuve et de l'orphelin. Pourtant, un drame va changer sa vision des choses et il va hériter de la force mystique du Serpent jaune. Il devient ainsi un expert des arts martiaux, doté d'une force inouïe ; il va alors mettre cela à profit pour défendre les opprimés sous le nom de Black Snake !

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    Les super-héros étant plutôt à la mode ces derniers temps, Thomas Ngijol a développé idée née sur scène pour signe sa 3ème réalisation en collaboration avec sa partenaire à l'écran Karole Rocher. On sait d'emblée que Black Snake, la légende du serpent noir n'est absolument pas à prendre au sérieux, il n'est rien de plus qu'une grande cour de récréation. La bonne idée c'est d'avoir misé sur cet aspect rétro en situant l'action au début des années 1970 et puis le comique se régale dans ce rôle de pseudo héros sans délicatesse. S'il n'est pas à ranger dans la catégorie des films incontournables, il fait au moins partie de ces plaisirs coupables qui assurent quelques bonnes tranches de rires !


    Il faut le voir pour : "Jackie Chan !!"

  • Zootopie

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    Depuis qu'elle est enfant, notre pote Judy ne rêve que d'une chose : devenir policier ! Pour ses parents, il était impossible qu'un lapin puisse rejoindre les forces de l'ordre mais à force d'abnégation et de courage, elle y est parvenue. C'est ainsi que Judy quitte sa famille pour s'installer à Zootopie mais sa première journée ne se déroule pas comme elle l'espérait puisqu'elle se retrouve à dresser des PV. Elle finira tout de même par se voir confier une enquête importante avec la mystérieuse disparition d'une loutre et elle n'a que 48 heures pour résoudre cette affaire. Pour l'y aider, elle pourra aussi compter sur Nick Wilde, un renard qui ne manque pas d'ingéniosité.

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    Bienvenue à Zootopie autrement dit le 55ème classique d'animation des studios Disney où les animaux prennent le pouvoir. La découverte de cette ville est déjà un émerveillement pour nos yeux avec notamment cette belle idée de diviser la ville en différents quartiers. C'est beau mais c'est aussi très drôle grâce aux divers clins d’œils cinématographiques et quelques moments d'anthologie comme cette visite chez les paresseux ou encore le coup de la carotte ! A travers l’enquête menée par le duo de choc Judy / Nick, l'histoire délivre un joli message en prônant le vivre ensemble. Un nouveau film à ne pas manquer et qui va faire la joie des spectateurs de tout age.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de dire à un lapin qu'il est mignon !

  • Fastlife

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    Enfant déjà il savait qu’il était destiné à briller. C’est d’ailleurs ce qu’a fait notre pote Franklin Ebagé (Thomas Ngijol) en remportant brillamment une médaille d’argent aux Jeux Olympiques. 7 ans plus tard, ce n’est plus vraiment la même histoire ; sa carrière est au point mort et on pourrait aller jusqu’à dire qu’elle est sur la pente descendante. Franklin tente bien de se relancer en cherchant à se qualifier pour les prochains Jeux Olympiques mais il semblerait qu’il n’ait plus vraiment le niveau. Comme si cela ne suffisait pas, Pauline (Karole Rocher) l’a mis à la porte car après lui avoir annoncé qu’elle attendait un enfant, elle a appris qu’il a mis enceinte une autre femme d’à peine 17 ans !

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    Entre 2 films avec son complice Fabrice Eboué, notre pote Thomas Ngijol joue ici cavalier seul signant sa 2nde réalisation avec Fastlife. Coté scénario, l’idée n’a rien de bien extraordinaire puisqu’on accompagne une pseudo-star de l’athlétisme dans sa chute avant la traditionnelle remise en question s’accompagnant d’un inévitable retour en grâce (enfin plus ou moins ici). On s’étonne quand même que le retour aux sources au Cameroun mette autant de temps à arriver et qu’il se résume en un jogging et à une nouvelle coupe de cheveux. Une comédie qui ne brille pas avec un humour qui n’arrive jamais à trouver son rythme, en toute humilité vous pouvez la zapper et le plus vite sera le mieux !

     

    Il faut le voir pour : Faire plus souvent des tomates farcies !

  • Fastlife

    Ce n'est pas de sa faute mais notre pote Thomas Ngijol est destiné à briller et jusqu'à présent tout allait bien pour lui mais les choses vont changer. Un retour aux sources et ça semble reparti pour lui et sa Fastlife !

    Date de sortie : 16 Juillet 2014.


  • Le crocodile du Botswanga

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    Leslie Conda (Ibrahim Koma) est le nouvel espoir du football et notre pote Didier (Fabrice Eboué) peut remercier le ciel d’être son agent. Tous deux se rendent au Botswanga, pays d’origine du footballeur qui souhaite notamment disperser les cendres de sa mère disparue. Ils sont accueillis en grande pompe par le Président Bobo (Thomas Ngijol), un chef d’état aux méthodes quelque peu dictatoriales. Celui-ci s’est d’ailleurs mis en tête de créer une équipe nationale de football ; les Crocodiles du Botswanga et il compte bien entendu sur l’enfant du pays pour les mener à la victoire. Après avoir offert une jolie mallette d’1 million d’euros, il charge Didier de convaincre son joueur mais c’est loin d’être gagné !

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    Notre pote Fabrice Eboué est de retour à la réalisation et il en signe également le scénario. Le crocodile du Botswanga nous confronte à un dictateur plutôt original incarné par son inséparable compère Thomas Ngijol. A l’image de Case départ, cette comédie est loin de faire dans le raffiné bien au contraire ; il ne fait que puiser dans les habituels clichés pour nous faire rire. Un humour qui une fois encore ne plaira pas à tout le monde mais lorsqu’on l’apprécie difficile de s’empêcher de se marrer. On peut juste déplorer un certain manque de surprises ; les anciens du Jamel Comedy Club ne prennent malheureusement pas beaucoup de risques mais l’essentiel reste qu’on s’amuse plutôt bien.

     

    Il faut le voir pour : Demander à ce qu’on crée un Ministère des cabinets en France !

  • Case départ

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    Nos potes Joël & Régis (Thomas Ngijol & Fabrice Eboué) n’ont que peu de choses en commun ; le premier galère après avoir passé 3 mois en prison tandis que le second est un conseiller municipal prêt à tout pour se faire bien voir. Le seul lien qui les unit leur vient de leur père qui n’a jamais été très présent pour eux et dont les jours sont comptés. C’est en se rendant aux Antilles que leurs chemins se croisent et à cette occasion, ils se voient léguer une chose incroyable : l’acte d’affranchissement qui a libéré leurs ancêtres. Un héritage qui semble laisser de glace nos 2 compères qui détruisent le document ce qui a le don d’énerver leur vieille tante (Isabel del Carmen Solar Montalvo) qui leur jette alors un sort. Lorsqu’ils reprennent connaissance, ils se retrouvent en 1790, époque où les noirs sont encore considérés comme des esclaves.

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    Rendus célèbres grâce à leurs apparitions dans le Jamel Comedy Club, le duo Thomas Ngijol & Fabrice Eboué se lancent maintenant dans le cinéma avec évidemment une comédie à la clé. A noter que les 2 comédiens ne se sont pas juste contentés de faire les clowns devant la caméra mais ils se sont également impliqués dans l’écriture du scénario et dans la réalisation. Si leur humour ne vous a jamais séduit, il risque d’en être de même ici d’autant plus qu’ils n’y vont pas avec le dos de la cuillère lorsqu’il s’agit de déballer leur lot de préjugés. L’objectif étant bien sur de sensibiliser les spectateurs sur le thème du racisme tout en ne perdant pas de vue qu’on est là pour se marrer. Résultat final réussi et donc Case départ est le film idéal pour se changer les idées.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus voir votre mamie de la même façon !

  • La chance de ma vie

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    On fait appel à Julien Monnier (François-Xavier Demaison) quand le couple est aux bords de la rupture ; il a le don de désamorcer les tensions et de faire renaitre le feu de la passion. Si seulement il était aussi doué pour ses amours ! De façon étrange, chaque fille avec laquelle il s’est mis en relation a, par la suite, été victime d’une malchance incroyable. Que ce soit une fête d’anniversaire qui tourne au désastre ou la manifestation soudaine d’une allergie, Julien porte la poisse à toutes les femmes qu’il a aimées. Sa prochaine victime s’appelle Joanna (Virgine Efira) et elle est loin de se douter de ce qu’il l’attend.

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    Ça part d’une idée assez drôle ; un mec qui porterait la poisse à toutes ses conquêtes mais le tout est exploité de façon trop timide. Pour jouer à fond la carte de l’humour, il aurait fallu placer Virginie Efira dans des situations plus incongrues au lieu de quoi on a seulement droit à quelques passages nous faisant doucement sourire et d’autres tirés par les cheveux (L’incendie de la maison des parents de Julien). Le couple Efira / Demaison est sympathique mais leur complicité est loin d’être évidente, une petite comédie dont on peut facilement se dispenser et loin d’être La chance de ma vie.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi les femmes s’intéressent de plus en plus à l’automobile.