Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Les séances de 2011-2012 - Page 9

  • Le monde de Nemo

    cinéma,film,animation,le monde de nemo,andrew stanton,lee unkrich,pixar,walt disney,nemo,marion,doris

    aff.jpg

    Ça devait être le début d’une nouvelle vie pour ce couple de poisson-lune, ils venaient d’emménager dans cette anémone et attendaient impatiemment l’éclosion de leurs 400 œufs. Hélas, le destin est cruel avec Marin qui perd sa femme ainsi que tous ses enfants à l’exception d’un seul auquel il donnera le nom de Nemo. Le temps passe, ce dernier a déjà bien grandi et n’a qu’une hâte : aller à l’école mais cela inquiète au plus haut point son père. Depuis la tragédie qu’il a vécu, celui-ci se montre très méfiant parfois même trop ce qui finit par étouffer le jeune Nemo. D’ailleurs en voulant prouver que l’océan n’est pas si dangereux, le petit poisson s’aventure près d’une barque mais c’est alors qu’il est surpris par des plongeurs humains qui le capturent !

    01.jpg

    Le risque avec Le monde de Nemo c’est qu’en laissant votre enfant voir ce film, il y a de grandes chances qu’il vous réclame par la suite un aquarium accompagné d’un véritable poisson-clown. Pixar signe une nouvelle fois une œuvre de belle envergure brillant notamment par son univers maritime riche et tout en couleurs. Que l’on soit petit ou grand, on ne peut qu’être séduit par le petit Nemo sans oublier la très marrante Doris dont la mémoire laisse à désirer ; tout est réuni pour que cela devienne un classique de l’animation. Un film qui a également fait parler de lui dans les faits-divers puisque Disney fut poursuivi par l’éditeur Flaven Scene pour plagiat. Une affaire qui n’est pas sans rappeler celle vécue avec Le roi lion et qui a finit par la victoire du géant aux grandes oreilles.

  • Fatal move

    cinéma,film,action,policier,sammo hung kam-bo,simon yam,hark-on fung,au hin wai,sze-ming lu,danny lee,maggie siu,jacky wu,dennis law

    aff.jpg

    Notre pote Lin Ho Tung (Sammo Hung) est à la tête d’une organisation criminelle qu’il gère avec l’aide de son petit frère Lin Ho Lung (Simon Yam). Entre les trafics de drogue, les boites de nuit ou encore les réseaux de prostitution les affaires vont bon train mais ils ne sont pas les seuls sur ce territoire. Les hommes de Flirt (Pring-Man Tam) ne sont jamais bien loin et lorsque les 2 gangs en viennent aux mains, le sang coule à coup sur. Evidemment, la police n’entend pas laisser ces criminels agir à leur guise et ne manque pas une occasion d’imposer leur autorité. L’empire de Lin Ho Lung est en train de vaciller, son frère a d’énormes dettes en raison de son addiction au jeu et sa place fait beaucoup d’envieux.

    01.jpg
    Sammo Hung & Simon Yam réunis pour un petit thriller hong-kongais, un programme à priori alléchant malheureusement à mesure que les minutes s’égrainent, on plonge dans une catatonie progressive. Le réalisateur Dennis Law n’arrive pas à insuffler suffisamment de vie à ce Fatal move si bien qu’en tant que spectateur on assiste sans grande passion à un spectacle qu’on a l’impression d’avoir déjà vu des dizaines de fois. Il faut attendre les dernières minutes pour voir Sammo Hung s’activer tandis que la présence de Simon Yam est totalement anodine ; un film qui est donc fatalement insignifiant !

  • Killer Hacker

    aff.jpg

    Notre monde dans un futur proche. Notre pote Jackie (Parry Shen) a le chic pour s’empêtrer dans des galères pas possibles et le fait qu’il soit un joueur compulsif n’arrange en rien ses affaires. Une fois encore il est à la recherche d’argent pour rembourser ses dettes et décide alors de cambrioler un appartement, celui de Christian (Alec Newman). Le butin amassé est maigre mais il dérobe une espèce de gant qu’il compte revendre à bon prix sans savoir qu’il s’agit en fait d’un Transcodeur. Lorsque les ennuis commencent à poindre le bout de leur nez, il va devoir demander l’aide de sa grande sœur Michelle (Bai Ling) ; une femme qui n’a pas peur de se salir les mains puisqu’elle est une killer hacker !

    01.jpg

    Je suis parfois impressionné par certains films qui parviennent à trouver un distributeur tout en sachant qu’ils tiennent là une superbe daube. Il faudra vraiment m’expliquer comment on a pu croire que Killer Hacker parviendrait à trouver la voie du succès, l’hypothèse la plus probable étant qu’on comptait certainement sur le physique de Bai Ling pour assurer quelques ventes. Le film est ambitieux, beaucoup trop au vu des moyens mis à disposition ; on a voulu créer un monde futuriste en nous balançant un univers crée tout en images de synthèse obtenus à prix discount. Au moins l’ensemble est homogène puisque le scénario est lui aussi totalement superficiel.

  • 3 zéros

    aff.jpg

    Tibor Kovacs & Manu (Lorànt Deutsch & Samuel Le Bihan) se sont connus en prison et sont rapidement devenus des potes d’enfance. Tibor s’est retrouvé derrière les barreaux en raison de mauvaises fréquentations mais possède un vrai talent pour le football. Manu l’a bien compris et à leur sortie de prison, il va faire des pieds et des mains pour lui décrocher un contrat en or et c’est ainsi qu’il fait la connaissance d’Alain Colonna (Gérard Lanvin), célèbre agent basé désormais au Brésil. Ce dernier fait débuter Tibor dans un petit club de banlieue mais pour Manu, c’est du temps perdu, ce qu’il faut à son poulain c’est de la magie soit le PSG ! Hélas, tous deux vont vite apprendre que le monde footballistique est devenu un business où chacun cherche avant tout à tirer son profit personnel.

    01.jpg

    Tout d’abord précisons qu’il s’agit là d’une comédie signée Fabien Onteniente ce qui en fera fuir plus d’un ! Personnellement je maintiens haut et fort que son cinéma me fait rire et chose plus rare, ses films se laissent revoir non sans plaisir mais voici qu’arrive l’exception qui confirme la règle : 3 zéros. Difficile de ne pas voir combien cette comédie a pris un sacré coup de vieux décrivant le milieu du ballon rond comme un univers étincelant de paillettes (ce qui n’a pas cessé avec le poids des années). Le réalisateur a d’ailleurs convié de nombreuses vedettes comme Ronaldinho, Raï, Luis Fernandez ou encore Rolland Courbis pour quelques clins d’œil qui n’intéresseront que les footeux comme ce film très léger.

  • Bimboland

    aff1.jpg

    C’était une découverte majeure dans l’histoire de l’ethnologie. Notre pote Cécile (Judith Godrèche) pensait avoir fait la rencontre du dernier peuple d’indigènes encore présent sur notre planète il y a quelque mois. Et puis ce fut le coup de massue lorsqu’à son retour cette peuplade avait succombé aux sirènes de la civilisation massacrant progressivement leur foret en se désaltérant de soda. Elle a perdu tout crédit auprès de ses confrères et les choses ne s’arrangent pas lorsqu’elle apprend que le professeur Laurent Gaspard (Gérard Depardieu) est désormais son maitre de thèse, lui qui lui refuse tous les sujets qu’elle lui propose.

    01.jpg

    Il suffit de se fier au titre de ce film pour savoir ce qui nous attend et ceci n’est évidemment pas pour jouer en la faveur de Bimboland. Cette prétendue comédie est aussi insupportable que l’accent tellement surjoué par Aure Atika qui n’aura jamais autant brillé par son inutilité. Le casting était pourtant résolument orienté pour nous offrir de bons moments avec notamment Judith Godrèche, Dany Boon et même le grand Gérard Depardieu. Malheureusement, il ne suffit pas d’avoir une belle liste de comédiens pour nous faire rire et Ariel Zeitoun devra se résoudre à trainer ce film comme l’une de ses plus belles casseroles !

  • En quarantaine 2

    aff1.jpg

    Potes d’enfance mais également collègues de travail, Jenny & Paula (Mercedes Masöhn & Bre Blair) sont hôtesses de l’air et sont sur le point de décoller de l’aéroport de Los Angeles. A bord de l’appareil, une dizaine de passagers s’apprêtent à rejoindre Nashville mais ce vol va connaitre de nombreuses turbulences à commencer par la présence d’un passager malade. Pris de vomissements, il ne tarde pas à manifester un comportement extrêmement agressif au point qu’il a fallu l’attacher et faire atterrir l’avion en toute urgence. Alors qu’ils pensaient leur calvaire terminé, les passagers découvrent qu’ils sont maintenus en quarantaine car ils sont potentiellement porteurs du virus de la rage !

    01.jpg

    Petit rappel, En quarantaine est le remake made in Hollywood du succès espagnol [Rec] et cette suite américaine propose sa propre version puisque l’action se déroule d’abord dans un avion puis dans un aéroport. Le principe quant à lui n’a pas changé ; des victimes contaminées qui se transforment soudainement en créatures assoiffés de chair et de sang. Alors que Rec 2 faisait planer une atmosphère mystique, En quarantaine 2 lorgne lui plutôt du coté des films de survival, si on avait planté des zombies dans l’avion le résultat aurait été le même ! Au même titre que son prédécesseur, vous pouvez totalement vous passer de ce second volet inintéressant et vraiment sans inspirations.

     

    En savoir plus sur En quarantaine ?

  • En quarantaine

    aff1.jpg

    Dans le cadre de l’émission télévisée Equipe de nuit, la présentatrice Angela Vidal (Jennifer Carpenter) et son caméraman Scott Percival (Steve Harris) ont partagé une nuit à la caserne des pompiers de Los Angeles. Ce sont Jake & Fletcher (Jay Hernandez & Johnathon Schaech) qui vont leur servir de guides mais la nuit est plutôt calme et Angela commence à s’impatienter attendant un peu d’action. Son vœu est exaucé lorsqu’une alarme retentit, les pompiers sont appelés à intervenir dans un immeuble où la police est déjà sur place. Des voisins ont appelé lorsqu’ils ont entendus Mme Espinoza (Jeannie Epper) pousser d’horribles cris mais tous sont loin d’imaginer la nuit d’horreur qui les attend.

    01.jpg

    Sorti en 2008 sur nos écrans, [Rec] fut l’un des cartons du box-office espagnol et des producteurs américains ont flairé la manne financière en achetant les droits. C’est donc un énième remake auquel nous avons droit parce qu’évidemment l’œuvre originale se déroulant dans un immeuble à Barcelone ne pouvait pas convenir au public américain. Il est vrai qu’il est certainement plus économique de tourner un autre film que d’insérer des sous-titres. L’action prend donc désormais place à Los Angeles et pour le reste c’est du très bon copier/coller si ce n’est qu’on ne retrouve aucunement l’ambiance angoissante du film espagnol. S’il vous fallait choisir entre les deux pas d’hésitations à avoir ; oubliez En quarantaine et optez pour la version originale !

  • The king of fighters

    aff.jpg

    Le King of fighters est un tournoi où les plus grands maitres sont invités à rejoindre une dimension parallèle afin d’y mener de violents combats et où seule compte la victoire. Actuellement, Rugal Bernstein (Ray Park) y sème le chaos en affrontant et surtout en exécutant chacun de ses adversaires avec un but bien précis : libérer l’Orochi. Pour que cela se produise, il doit encore s’emparer de l’épée Kusanagi qui se trouve auprès d’un certain Kyo (Sean Faris). Ce dernier a reçu la visite de Mai Shiranui (Maggie Q) et de Iori Yagami (Will Yun Lee) venus l’avertir du danger qu’il courait mais ce n’est pas cela qui arrêtera la destinée de Rugal !

    01.jpg

    Comment dire, si vous connaissez le jeu vidéo qui a fait la renommée de la Neo Geo ; des risques de révulsions sont possibles pendant toute la durée du film. Premier constat, le casting est une catastrophe car personne ne ressemble au personnage qu’il est censé incarné (La palme à Terry Bogard) et ce n’est pas parce qu’il y a des pseudo-stars comme Maggie Q ou Ray Park qu’on sera plus conciliant. On se demande également pourquoi les scénaristes se sont embarrassés de cette histoire abracadabrantesque, The king of fighters est un excellent jeu de baston donc on veut des combats et encore des combats ! Si vous pensiez qu’on ne pouvait pas faire pire que Street Fighter, jetez donc un coup d’œil à ce film.

  • Mortal Kombat Destrution Finale

    aff.jpg

    Liu Kang (Robin Shou) a vaincu le tyran Shang Tsung et remporté ainsi le Mortal Kombat assurant la paix sur terre pour au moins une génération. A peine sorti de son combat ; Il doit faire face à une nouvelle menace personnifiée par le terrible Shao Khan (Brian Thompson), venu tout droit d’Outre-monde et violant ainsi les lois édictées par les dieux anciens. Il a l’intention de faire fusionner son monde avec la Terre ; ses généraux vont ainsi pouvoir s’en donner à cœur joie et répandre la terreur. En compagnie de ses potes Rayden (James Remar), Sonya Blade (Sandra Hess) ou encore la princesse Kitana (Talisa Soto) ; Liu Kang va de nouveau combattre pour sauver le destin des humains.

    02.jpg

    Après un premier épisode plus ou moins réussi, le célèbre de baston sanglant se voit offrir une suite ; une nouvelle qui aurait pu ravir les fans mais ce n’est pas vraiment le cas. Dieu sait ce qui a traversé l’esprit du réalisateur John R. Leonetti qui nous inflige une terrible Fatality avec ce gigantesque navet. Dès les premières minutes, il est bien difficile de se retenir d’exploser de rire devant le ridicule de certaines situations. A cela s’ajoute le jeu branlant des comédiens, les décors en carton-pâte et le scénario bien évidemment inexistant. Mortal Kombat Destrution Finale a davantage les allures d’un téléfilm qu’autre chose et s’impose comme l’une des pires adaptations de jeux vidéos !

     

    En savoir plus sur Mortal Kombat ?

  • Mortal Kombat

    aff.jpg

    Un nouveau tournoi Mortal Kombat est sur le point de débuter et il pourrait sceller le destin de la Terre. Après avoir remporté 9 victoires consécutives, le maléfique Shang Tsung (Cary-Hiroyuki Tagawa) pourrait en effet envahir notre monde s’il venait à être déclaré vainqueur mais le Seigneur Rayden (Christophe Lambert) n’entend pas le laisser faire. Parmi tous les participants, il va soutenir un trio prometteur composé de Liu Kang, Johnny Cage & Sonya Blade (Robin Shou, Linden Ashby & Bridgette Wilson) mais ils sont encore loin d’être prêts à vaincre leurs adversaires. Pour Liu Kang, ce tournoi a surtout un parfum de revanche car son jeune frère Chan (Steven Ho) fut vaincu par Shang Tsung qui s’est également emparé de son âme.

    02.jpg

    A l’époque de sa sortie au cinéma, j’avais adoré Mortal Kombat car il faut remettre les choses dans leur contexte, cela suivait la désastreuse adaptation de Street Fighter. Plus de 15 ans plus tard, je me rends maintenant compte que le film de Paul W.S. Anderson était loin d’être le résultat exceptionnel que je voulais bien croire. Le casting déjà est une catastrophe hormis peut-être Robin Shou qui est le seul à savoir se battre et puis il y a cette profusion d’effets spéciaux qui paraissent totalement désuets aujourd’hui. Il y a des films qu’il ne vaut mieux pas revoir et cette adaptation du jeu de Midway en fait clairement parti. Écrasante déception !! En tout cas, le film aura eu suffisamment de succès à l’époque pour nous offrir une suite, une merveilleuse perle de kitsch.

     

    En savoir plus sur Mortal Kombat Destruction Finale ?