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Les séances de 2011-2012 - Page 12

  • Y’a-t-il un flic pour sauver la reine ?

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    En planque et sur la piste d’un réseau de drogues, notre pote Nordberg (O. J. Simpson) a malheureusement été repéré et s’est retrouvé dans un piteux état. C’est le valeureux Frank Drebin (Leslie Nielsen) qui va prendre le relais de cette enquête qui va le mener tout droit au bureau du suspect N°1, un certain Vincent Ludwig (Ricardo Montalban). En apparence, cet homme n’a rien à se reprocher, la preuve en est qu’il préside le comité chargé d’accueillir la visite officielle de la Reine d’Angleterre Elisabeth II (Jeannette Charles). Mais le flair de Frank est infaillible même s’il se laissera détourner par les yeux de la belle Jane Spencer (Priscilla Presley), il fera son devoir de flic avant tout !

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    Le rôle de Frank Drebin est sans aucun doute possible celui qui a permis à Leslie Nielsen de se faire connaitre dans le monde. A la réalisation, retrouve bien évidemment David Zucker et son humour absurde mais tellement efficace d’autant plus que Leslie Nielsen (repéré dans Y’a-t-il un pilote dans l’avion ?) est réellement irrésistible dans la peau de ce flic gaffeur. Là encore, on aura l’occasion de retrouver son personnage puisque cet épisode sera le premier - et le meilleur - d’une trilogie. Y’a-t-il un flic pour sauver la reine ? est donc une comédie culte, un must dans le genre de la parodie bien loin des inepties proposées de nos jours.

  • Blonde movie

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    Alexis & Lindsay (Cameron Richardson & Sophie Monk) sont les meilleures potes d’enfance au monde et ces 2 charmantes blondes partagent un autre point commun : elles cherchent le mec idéal. En y réfléchissant, elles sont encore jeunes et jolies et ne veulent pas vraiment s’embarrasser d’un petit-ami. Non, l’idéal pour elles ce serait de trouver un homme capable de les monter au 7ème ciel et qu’il disparaisse aussitôt de leur vie. Elles montent alors un plan infaillible ; assommer les mecs qui leur plaisent et tout faire pour les mettre dans leur lit.

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    Si ce n’est pas fait, lisez attentivement le résumé de l’histoire car cela situe bien le niveau abyssal de cette prétendue comédie. Déjà, le titre est trompeur car on aurait pu croire qu’il s’agissait d’une énième parodie initiée par Aaron Seltzer et Jason Friedberg ; en même temps on s’en fiche vu que cela n’aurait certainement pas rehaussé la qualité de Blonde movie. On ne rit jamais et les élucubrations de ce duo est aussi intéressant que de regarder le générique de fin. Pour le coup, il faut vraiment être très blonde pour apprécier ce navet servi en double ration !

  • Yona, la légende de l'oiseau-sans-aile

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    Son amour des pingouins, Yona le doit à son père aujourd’hui disparu. Tous les jours, la jeune fille s’amuse dans son déguisement jusqu’au jour où elle reçoit un drôle de jouet comme tombé du ciel. Elle trouve en effet des pièces détachées et une fois assemblées, c’est un chat mécanique qui prend soudainement vie et l’invite à se rendre dans le Palais des pingouins. Alors que Yona s’émerveille dans ce paradis, le chat prend une nouvelle apparence et tous deux se retrouvent propulsés dans le village des gobelins. Le chat dévoile alors ses véritables intentions ; la jeune fille n’a pas été choisie au hasard elle est celle qui pourra vaincre le terrible Boukkha-Boo !

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    Parce que l’animation en images de synthèse n’est pas l’apanage des studios Pixar ou Dreamworks, nos potes japonais tentent eux aussi leur percée. Une copie à revoir car si Yona, la légende de l'oiseau-sans-aile pourra divertir nos chères têtes blondes, les graphismes et l’animation sont bien loin de la perfection. On sent bien que ce film d’animation n’a pas été réalisé avec une grande finesse de même que le scénario peu emballant font qu’on se retrouve devant un produit assez banal qui pourrait tout aussi bien faire figure de simple dessin animé destiné à la télévision.

  • Y’a-t-il un exorciste pour sauver le monde ?

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    Il y a 17 années, alors qu’elle n’était encore qu’une enfant, Nancy Aglet (Linda Blair) fut possédée par le Diable et pour preuve elle a même reçu un certificat signé de la main du Pape. A l’époque, c’est le Père Gédéon (Leslie Nielsen) qui avait organisé l’exorcisme permettant de chasser le malin de son corps. Aujourd’hui, Nancy est une mère de famille et a une vie des plus calme mais voilà qu’elle se retrouve de nouveau possédée. Elle décide de faire appel au Père Luke Brophy (Anthony Starke). Hélas, celui-ci s’estime impuissant face à cet évènement et décide donc de retrouver la trace de son confrère le Père Gédéon.

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    Célèbre grâce aux différentes déclinaisons des Y’a-t-il …, le nom de Leslie Nielsen suffit souvent à porter les comédies du moins à la fin des années 1980. Profitant du succès de ces comédies, Y’a-t-il un exorciste pour sauver le monde ? s’est donc glissé dans le lot pour profiter certainement de la crédulité des spectateurs. S’il existait un niveau 0 de la comédie américaine, ce film réussit l’exploit de descendre encore plus bas car on a droit à un véritable gratin de navets. Humour poussif et donc plus consternant que marrant, on se demande comment une telle chose a pu se permettre d’être sorti sur les écrans et la présence de Linda Blair n’y sauvera rien !

  • Jonah Hex

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    Il a vu sa femme et son fils mourir sous ses yeux emportés par les flammes, notre pote Jonah Hex (Josh Brolin) a alors tout perdu. Crucifié des jours durant, lui aussi était destiné à embrasser la mort mais il fut sauvé par des indiens et leurs sortilèges mystiques. Il acquiert alors des pouvoirs surnaturels comme la capacité de dialoguer avec les morts mais il ne pense qu’à une chose : la vengeance. Il veut retrouver le Général Quentin Turnbull (John Malkovich), responsable de son malheur hélas il apprend que celui-ci a péri dans un incendie. Hex se forge alors une réputation en tant que chasseur de primes jusqu’au jour où Turnbull réapparait.

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    Et oui, toutes les adaptations de comics ne mettent pas en scène des gars en collants et vêtus d’une cape. Beaucoup moins populaire que ses collègues super-héros de chez DC Comics, Jonah Hex est né sous les plumes de John Albano & Tony DeZuniga. Ici pas de super pouvoirs à gogo juste un cow-boy qui cause avec les morts incarné par Josh Brolin et qui va devoir se débarrasser de John Malkovich. Entre les 2 acteurs, on retrouve aussi Megan Fox essentiellement présente pour faire valoir ses atouts féminins. Une adaptation pas aussi désolante que ne l’aurait fait présager sa sortie directe en DVD, juste un film sans caractère et sans conviction de la part des acteurs.

  • Y’a-t-il enfin un pilote dans l’avion ?

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    Voyager à destination de la lune c’est désormais plus un rêve, les passagers de Mayflower 1 ont l’immense honneur d’écrire l’histoire. L’évènement fait la une des journaux et c’est ainsi que Ted Stryker (Robert Hays) a appris la nouvelle mais lui est convaincu que ce vol est une erreur monumentale. Il avait participé aux vols d’essais qui se sont avérés catastrophiques puisqu’il n’a pas pu éviter le crash. Alors que Ted renvoie la faute au matériel technique, la justice le condamne à être interné dans un hôpital psychiatrique. Désormais, il doit s’échapper et prévenir Elaine (Julie Hagerty) et tout l’équipage du risque qu’ils courent.

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    L’énorme succès de Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? a bien évidemment conduit les producteurs à lancer cette suite qui n’est pas allé bien loin pour pondre son scénario. Il a juste suffit de remplacer l’avion par une navette spatiale puis de faire un léger remake des gags de l’épisode précédent. Comble de la fainéantise ou clin d’œil c’est vous qui déciderez, on rappelle également une bonne partie du casting pour nous faire revivre la même expérience. Y’a-t-il enfin un pilote dans l’avion ? est donc une suite peu inspirée qui n’a vu uniquement le jour que sous l’impulsion du succès de son prédécesseur.

     

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  • Foolproof

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    Sam, Kevin & Rob (Kristin Booth, Ryan Reynolds & Joris Jarsky) sont 3 potes d’enfance qui se sont connus à la fac où ils tentaient déjà de pirater des logiciels informatiques. Depuis, ils ont fait du chemin et mettent désormais leur talent au service d’une même cause : le braquage. Non ce ne sont pas de simples voleurs, pour eux le véritable challenge est de pouvoir trouver le plan parfait pour que le vol se fasse sans fioritures. Leur dernière cible est la bijouterie Hamish et alors qu’ils ont finalisés leurs plans ; ceux-ci sont dérobés lors d’un cambriolage.

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    Loin du casting clinquant d’un Ocean’s eleven ; Foolproof est un peu le film de braquage du pauvre. La formule est aussi simple qu’elle est connue ; un lieu réputé impénétrable qui va finalement être violé après un plan minutieusement préparé. Pour faire durer un peu plus le suspense ; notre trio de héros est victime d’un chantage et ils se retrouvent forcés à commettre ce délit. Pas très excitant tout ça, le film a été fait avec peu de moyens et ça se voit mais c’est tout à fait honorable pour qui n’est pas pointilleux sur ce qu’il regarde !

  • Y’a-t-il un pilote dans l’avion ?

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    Pour Ted Striker (Robert Hays) rien n’est terminé ! Malgré ce que dit Elaine (Julie Hagerty), leur couple a encore un avenir et c’est pourquoi il n’a pas hésité une seconde à suivre cette hôtesse de l’air pour le vol à destination de Chicago. Alors qu’il tente désespérément de la convaincre de lui laisser une seconde chance, un évènement inattendu provoque la panique. Le poisson qui était servi pour les repas provoque des intoxications alimentaires touchant également le cockpit. Désormais une seule question se pose : y’a-t-il un pilote dans l’avion ?

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    Avant toute chose, il convient de remettre ce film dans son contexte, David & Jerry Zucker ainsi que Jim Abrahams sortent cette comédie au début des années 1980 et donnent sans le savoir un élan prodigieux à la comédie américaine. A le revoir aujourd’hui, il est évident que Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? a pris quelques rides mais cette forme d’humour lui s’est perpétué à travers d’autres comédies et nul doute qu’elle a également inspiré les séries des Movies initiée par les frères Wayans. C’est à cette époque également que la carrière de Leslie Nielsen se construit puisqu’il deviendra ensuite le célèbre Frank Drebin dans la série des Y’a-t-il un flic …

     

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  • The dinner

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    Coincé au 6ème étage, notre pote Tim Wagner (Paul Rudd) a l’opportunité de décrocher la promotion qu’il espérait tant. Ce courtier a tenté un pari risqué en prenant contact avec le millionnaire Müeller (David Walliams) et si celui-ci venait à confier son portefeuille d’action à la société, ce serait le jackpot pour Tim. Toutefois, il lui reste une étape importante à franchir ; un diner ce samedi en compagnie de M. Fender (Bruce Greenwood). Un repas particulier puisqu’il faudra venir accompagné d’un invité un peu spécial. Est-ce le destin qui a ainsi placé Barry (Steve Carrell), un mec dont le hobby est d’empailler des petites souris, sur le chemin de Tim.

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    Qui ne connait pas Le diner de cons que ce soit au théâtre ou bien au cinéma avec le film de Francis Weber ? Une fois encore les américains ont eu la mauvaise idée d’acheter les droits pour mettre en production ce remake fadasse. Si Steve Carrell avait effectivement les épaules pour reprendre le rôle de notre regretté Jacques Villeret, son personnage est traité comme un débile profond. L’humour est devient donc rapidement très lourd et on se dit que ceux qui sont pris pour des cons ce sont ceux qui regardent le film en question. Seul intérêt de The dinner, une introduction séduisante après cela, vous pouvez passer à autre chose.

  • The invincible Iron Man

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    Tony Stark n’a peur de rien ni de personne. C’est sous son autorité que son pote d’enfance James Rhodes est parti en Chine pour superviser d’importantes recherches archéologiques. Tony souhaite en effet déterrer les vestiges anciens du Mandarin. Une entreprise qui n’est pas du gout de tout le monde puisqu’un groupe de dissidents attaquent régulièrement le site. La violence est montée d’un cran avec le massacre de tous les ouvriers à l’exception de Rhodes capturé pour servir d’appât et faire venir Stark jusqu’à eux. Si Tony Stark n’est pas à l’abri de ces attaques, Iron Man saura rééquilibrer les forces.

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    Le film consacré à tête de fer ayant fait un carton au box-office, il était naturel que l’on surfe sur la vague et les studios Marvel ne se sont pas privés ! Ce film d’animation revient donc sur la naissance du héros tout en prenant ses libertés puisqu’ici Tony Stark a déjà conçu ses armures dans le plus grand secret de tous. De plus, l’action se situe en Chine où l’on retrouve son ennemi le plus redoutable à savoir le Mandarin. Déception à ce niveau là puisque ce dernier n’intervient réellement que dans le dernier quart d’heure et sa confrontation avec Iron Man nous laisse sur notre faim. The invincible Iron Man s’avère tout juste correct et constitue un bon point de départ pour les nouveaux, les fans eux seront un peu déçus.