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Les séances de 2011-2012 - Page 8

  • Sex addicts

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    Depuis sa rupture avec Cynthia après une relation qui a duré 5 ans, Andy (Josh Cooke) souffre de ne plus avoir une vie sentimentale normale. Impossible pour lui désormais de coucher avec une femme lorsqu’il n’y a pas de sentiments derrière. En attendant de retrouver la compagne idéale, il s’est installé chez son pote d’enfance et collègue de travail Jerry (Greg Grunberg) qui lui ne pense pas à des futilités comme l’amour. Un soir, alors qu’Andy se promenait, il finit par entrer dans un bar où il va entendre une magnifique femme chanter. Persuadé qu’il ne faut pas la laisser filer, il la suit et découvre qu’elle est partie rejoindre un groupe très spécial. Elle s’appelle Vanessa (Odette Annable) et … c’est une accro du sexe !

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    Du sexe et du rire, voici donc les 2 ingrédients promis par Sex addicts pour tenter de séduire les spectateurs et je dis bien tenter ! Difficile en effet de percevoir une quelconque alchimie dans le duo formé par Josh Cooke & Greg Grunberg et le reste du film ne réussit hélas pas davantage à relever le niveau. L’idée du groupe de soutien pour accros du sexe aurait pu permettre au film de jouer bien plus la carte de l’irrévérence histoire de ne pas passer pour une énième et banale comédie. La seule consolation ce sera de se contenter de la belle Odette Annable et surtout de l’apparition en guest-star de notre pote Henry Winkler a.k.a. Arthur Fonzarelli ! Un film qui ne risque pas de faire beaucoup d’accros.

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    Rien ne va plus dans le Sentier et notre pote Eddy (Richard Anconina) l’a compris à ses dépens et maintenant il souhaite développer son business auprès de la grande distribution. C’est en compagnie d’Yvan (Bruno Solo) qu’il est allé prospecter auprès de M. Vierhouten (Daniel Prévost), Directeur des achats de la chaine Euro Discount mais ce qu’il croyait être une belle opportunité va s’avérer être une belle arnaque. Pendant ce temps, Serge (José Garcia) a rencontré le grand amour en la personne de Chochona Boutboul (Elisa Tovati) mais pour la séduire, il a un peu enjolivé la vérité avec l’aide involontaire de son cousin Patrick (Gilbert Melki).

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    Avec le succès qu’a rencontré le premier épisode, il était presque naturel de voir apparaitre un second épisode et la bonne nouvelle c’est qu’on retrouve presque toute l’équipe. Presque oui car Vincent Elbaz laisse sa place à Gad Elmaleh en dehors de ça la bande potes est au complet et la vérité, la bonne humeur est toujours au rendez-vous ! Bon l’effet de surprise n’est plus là mais pour compenser on a droit à un Serge Benamou déchainé et qui éclipserait presque ses petits camarades. La vérité si je mens 2 est une comédie digne de son prédécesseur, le seul reproche c’est que les personnages féminins finissent par faire de la simple figuration.



    La scène à ne pas louper : Le passage sous le tunnel !


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  • City of crime

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    Un motel à Palm Springs. C’est là que se sont donnés rendez-vous nos potes Roy, Lee & Jorge (Harvey Keitel, Timothy Hutton & Wade Dominguez) et ils ne sont pas venus faire du tourisme ! Un tuyau les a informés qu’il y avait un beau coup à réaliser : une bijouterie reçoit chaque mois une livraison exceptionnelle de diamants, de quoi assurer leurs vieux jours. L’équipe n’est pas encore au complet puisqu’ils attendent l’arrivée de Skip (Stephen Dorff) qui doit ramener les armes et qui est également leur chauffeur. Leur plan se déroule sans encombres sauf que ce vieux Skip a décidé de se la jouer solo et abat froidement ses partenaires, seul Roy est parvenu à s’enfuir et il a bien l’intention de régler ses comptes.

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    Plus tout jeune ce film de John Irvin sorti en 1997 et cela s’en ressent. Le concept est simple ; le braquage d’une bijouterie, une trahison et une vengeance, un plat qui se mange toujours froid. Froid, on le restera devant ce City of crime ; quand on a droit à quelques scènes d’action celles-ci sont relativement pauvres et la seule séquence marquante reste cet "éclatage de gueule" initié par Keitel sur ce pauvre Stephen Dorff. Pour l’anecdote on notera aussi les participations discrètes de Famke Janssen et celle encore plus modeste de Lucy Liu qui décrochaient ici un de leurs premiers rôles au cinéma. Un film qui n’a donc rien de l’indispensable.

  • Superman / Batman : Apocalypse

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    Une pluie de météorites s’est abattue sur Terre et notre pote Batman est particulièrement intrigué par l’une d’elles. En partant à sa recherche, il s’aperçoit en fait qu’il y a un vaisseau spatial qui a échoué et qu’une jeune fille s’en est échappé. Désorientée, elle provoque de nombreux dégâts avant que le chevalier noir ne la trouve ; son nom est Kara Zor-El et il s’agit de la cousine de Kal-El autrement dit Superman ! En quelques jours elle apprend notre langue mais ses pouvoirs exceptionnels restent dangereux tant qu’elle ne saura pas les maitriser et c’est pour cela que Wonder Woman la prend sous son aile. Pendant ce temps sur Apolokolyps, Darseid est à la recherche d’une nouvelle furie et voit en Kara la candidate idéale.

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    Ce nouveau film d’animation tout droit sorti des studios de chez DC Comics s’inspirant d’un numéro du comic Superman/Batman et est la suite directe de Superman/Batman Public enemies. Pour les connaisseurs, on sent bien l’influence de Michael Turner sur le dessin et notamment sur le casting féminin réunissant entre autres Big Barda, Wonder Woman et ses amazones et of course Supergirl qui fait ici sa première apparition. C’est elle la véritable héroïne de ce film bien rythmé par de nombreuses bastons et qui nous faire voyager entre la Terre, l’ile de Themyscira et Apokolyps ; Superman / Batman : Apocalypse c'est donc juste un petit bonheur pour les fans de super-héros.

  • La vérité si je mens

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    Edouard Vuibert (Richard Anconina) est sur le point de se faire expulser. Au chômage, il ne lui reste que 200 francs pour vivre et n’a aucune solution à l’horizon. Alors qu’il voulait se refaire à un jeu de hasard, il atterrit dans la cour de Victor Benzakem (Richard Bohringer), un des grands patrons du sentier. Sur un malentendu, celui-ci pense qu’Edouard est juif et par solidarité lui offre un travail dans sa fabrique de tissu. Avec le temps, notre pote apprend les ficelles du métier et se crée de nombreuses relations qui vont lui permettre de lancer sa propre affaire ce qui risque de ne pas plaire à Victor. Une décision qui ne sera pas sans conséquence puisqu’en plus de cela il est tombé sous le charme de Sandra (Amira Casar), la fille de son ancien patron.

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    Succès surprise au box-office, La vérité si je mens est entré dans l’histoire du cinéma français grâce notamment à l’esprit de franche camaraderie qui régnait. Ancré dans la culture juive et communautaire du quartier populaire du sentier, Thomas Gilou a su constituer une vraie famille rassemblant tout de même Richard Anconina, Richard Bohringer, Vincent Elbaz, Bruno Solo, José Garcia et le regretté Elie Kakou. Généreux et drôle, on pourrait reprocher à cette comédie de tirer un peu trop sur les ficelles aisées de la caricature mais ça n’en reste pas moins un excellent film malgré le poids des années et qu’on a toujours plaisir à revoir.

     

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  • La naissance de l’incroyable Hulk

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    David Banner (Bill Bixby) a échappé de peu à la mort après un terrible accident de la route qui aura toutefois couté la vie à sa compagne Laura (Lara Parker). Depuis cette tragédie, il continue de faire de nombreux cauchemars ce qui inquiète sa pote d’enfance et collègue Elaina (Susan Sullivan). Tous deux font actuellement des recherches et s’intéressent notamment à la force physique que les humains sont capables de déployer dans les situations les plus extrêmes. Une force qui lui aurait permis de sauver Laura et c’est pourquoi il est obnubilé par cette découverte jusqu’à prendre des risques considérables. David décide en effet de s’exposer volontairement aux rayons Gamma mais il ignore que cela va le transformer en un immense monstre vert ; l’incroyable Hulk.

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    Bien avant les films d’Ang Lee et de Louis Leterrier, vous n’êtes pas sans savoir que le monstre vert de chez Marvel Comics a eu droit à sa série télévisée. La naissance de l’incroyable Hulk est donc un téléfilm et le point de départ des aventures de David Banner interprété par le regretté Bill Bixby et son alter ego Lou Ferrigno. Evidemment, ça n’a rien à voir avec les récentes adaptations au cinéma, les effets spéciaux les plus impressionnants ici étant de voir Bixby avec des lentilles vertes. Le look de Hulk vous fera également bien sourire notamment au niveau capillaire mais les fans de comics et les plus nostalgiques et d’entre vous ne rechigneront pas à (re)-voir les incroyables aventures d’Hulk !


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  • Marley & moi 2

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    Notre pote Bodi Grogan (Travis Turner) s’est vu confier la garde provisoire de Marley et il en est très heureux au point qu’il aimerait désormais lui aussi avoir un chien. Avant cela, il devra convaincre sa mère qu’il est assez responsable pour s’en occuper et puis surtout qu’il est capable de le dresser. Parce que sa mère doit s’absenter dans le cadre de son travail, Marley et lui sont donc recueillis par Fred (Donnelly Rhodes), le grand-père de Bodi et ils ne vont pas s’ennuyer. Ils entendent en effet parler du championnat des bébés chiens et c’est l’occasion ou jamais de faire ses preuves ! Il parvient à trouver 2 autres labradors d’une voisine et se lance dans un rigoureux entrainement car il faudra bien ça pour battre Hans (Alex Zahara) et son Woof gang.

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    Comment détruire le souvenir d’un film émouvant … Je vous l’accorde Marley & moi n’était pas du grand cinéma mais c’était tout de même un bon et respectable divertissement familial capable de vous tirer une petite larme des yeux. Voilà donc qu’ils ont eu la mauvaise idée d’en faire une suite et surtout d’en faire un pathétique film où nos potes à 4 pattes se voient doter de parole à l’instar de la saga des Toutous de chez Disney. Aucun rapport avec son prédécesseur donc en dehors d’une rapide allusion au couple vedette que vous n’apercevrez évidemment pas, Marley & moi 2 pourra à peine contenter les moins de 7 ans sauf si ceux-ci préfèrent aller jouer avec leur chien et franchement on ne leur en voudra pas !

     

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  • Pigs

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    Elle s’appelle Gabrielle Xeropolous (Melanie Marden) et est devenue le centre d’attention de nombreux mecs. Oui c’est vrai qu’elle est d’une beauté renversante et pourtant l’intérêt de ces garçons se porte sur tout autre chose : un pari ! Miles (Jefferson Brown) est un beau gosse et il s’est spécialisé dans les relations à durée déterminée ce qui a donné une idée saugrenue à ses potes d’enfance. Au vu de son succès phénoménale auprès de la gente féminine, un pari est lancé : il devra coucher avec 26 filles dont les noms correspondent à l’alphabet. Certaines lettres passent plus facilement que d’autres et vient alors le tour du X !

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    Le sexe c’est toujours un thème qui marche au cinéma alors il suffit de trouver un scénario aussi bancal soit-il pour faire un film. Il aura suffit de réciter son alphabet pour trouver la trame de Pigs où un groupe de mecs jouent les parieurs sur les performances disons de séduction d’un de leur pote d’enfance pour se divertir un peu. Evidemment, il y a des mecs qui n’hésitent pas à prendre les femmes pour des objets et un autre gars offusqué par ce comportement néandertalien bref, vous connaissez déjà la chanson. A l’image du scénario, voilà donc un teen movie relativement affligeant qui ne trouvera aucun intérêt à vos yeux à moins de vouer un culte à la médiocrité.

  • Independence day

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    Tout a commencé lorsque le SETI, situé au Nouveau-Mexique a intercepté des signaux émanant de l’espace suivis par de nombreuses perturbations partout sur Terre. Ce que l’on pensait être du domaine de la science-fiction est alors devenu réalité, des vaisseaux spatiaux sont apparus et nous avons désormais la preuve que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Jusqu’à présent on ignore tout des intentions de ces extraterrestres mais on va vite découvrir qu’ils ne sont pas venus avec un esprit pacifique. Aux 4 coins du monde, l’espoir de rentrer en contact avec ces êtres venus d’ailleurs se transforme en un horrible cauchemar ; les vaisseaux ravagent tout et l’humanité pleure ses disparus. Il faut cependant réagir rapidement et c’est sous l’autorité du Président des Etats-Unis Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) que la résistance va s’organiser.

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    Œuvre incontestable dans la filmographie de Roland Emmerich ; Independence day fut le blockbuster de l’année 1996, le pop-corn movie par excellence. A l’époque, on pouvait facilement s’extasier devant les effets spéciaux accompagnant la destruction de notre bonne vieille planète mais aujourd’hui cela parait bien dérisoire. Difficile tout de même de trouver film plus patriotique que celui-là car non seulement c’est grâce aux américains que les envahisseurs sont vaincus (désolé pour le spoiler) mais leur Président va jusqu’à devenir pilote héroïque et symbole de l’hégémonie yankee. A voir pour enrichir (??) sa culture cinématographique mais un film qu’on n’aura pas forcément envie de se retaper par la suite.

  • Yamakasi

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    Non monsieur, tous les jeunes des cités ne sont pas des délinquants ; la preuve par 7 avec nos potes les Yamakasi, de jeunes athlètes capables de se mouvoir dans un environnement urbain tels des panthères. Hélas, à faire l’admiration des enfants ceux-ci tentent de reproduire les exploits de leurs ainées et un accident est vite arrivé ! C’est l’histoire de Djamel (Nassim Faid) qui a fait une grave chute et qui avait déjà des problèmes de santé ce qui rend son état encore plus préoccupant. Il a besoin d’une greffe du cœur en urgence et cette opération coute extrêmement chère et malheureusement sa famille n’a pas les ressources financières nécessaires. Les Yamakasi entrent alors en jeu et décident de remettre au gout du jour la légende de Robin des bois.

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    Si on peut être fier des Yamakasi et de leurs exploits physiques, on ne peut pas en dire autant de ce film qui repose sur une intrigue aussi élaborée que les chansons d’Eve Angeli. Producteur du film, Luc Besson a voulu tendre la main à ces jeunes prodiges qui sont loin d’être des comédiens nés et en dehors de les voir sauter à gauche et à droite pendant 1H30, il ne se passe strictement rien. Humour poussif, personnages bien caricaturés ; Yamakasi ressemble davantage à une belle opportunité commerciale qu’à une œuvre cinématographique. S’il fallait rendre hommage à ces artistes urbains, un documentaire sur leurs exploits aurait été mieux accueilli plutôt que ce concentré de médiocrité.