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faye dunaway

  • Cougar Club

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    Fraichement diplômés de leur école de commerce, nos potes Spencer & Hogan (Jason Jurman & Warren Kole) n’ont pas le temps de souffler. S’ils fêtent dignement l’évènement, ils vont vite se remettre à travailler enfin cela était vrai jusqu’à ce qu’Hogan se mettre à coucher avec la femme de leur ex-futur nouveau patron. Finalement, ils parviennent à se faire embaucher chez Stack, Conrad & Archibald et Spencer compte sur cette expérience pour se faire recommander son entrée à Yale. Comme à son habitude, Hogan lui préfère penser aux femmes mais uniquement aux femmes expérimentées et il se voit offrir une opportunité en or. La loi de l’offre et de la demande va lui permettre de créer le Cougar Club où les membres devront payer des cougars prêtes à chasser le gibier.

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    Avec un scénario pareil, on s’attend évidemment à une petite resucée de ces teen-movies à la American Pie. Subtile nuance de ce film, il s’intéresse au phénomène des cougars, ces femmes d’un certain âge qui n’ont plus la moindre appréhension à s’amuser avec les jeunes (Demi, si tu me lis salut !). A part ce détail, on retrouve tout ce qui fait le succès du genre à savoir quelques femmes topless avec ou sans raisons (un soi-disant pari perdu par exemple), une fiesta avec une piscine et quelques vannes salaces. En fait la seule chose qui m’aura fait sourire c’est ce running-gag avec le jardinier mexicain en arrière-plan soit tout au plus 1 minute d’intéressante sur l’ensemble de Cougar Club. On se demande quand même comment Faye Dunaway & Carrie Fischer ont pu atterrir ici !

  • Killer Hacker

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    Notre monde dans un futur proche. Notre pote Jackie (Parry Shen) a le chic pour s’empêtrer dans des galères pas possibles et le fait qu’il soit un joueur compulsif n’arrange en rien ses affaires. Une fois encore il est à la recherche d’argent pour rembourser ses dettes et décide alors de cambrioler un appartement, celui de Christian (Alec Newman). Le butin amassé est maigre mais il dérobe une espèce de gant qu’il compte revendre à bon prix sans savoir qu’il s’agit en fait d’un Transcodeur. Lorsque les ennuis commencent à poindre le bout de leur nez, il va devoir demander l’aide de sa grande sœur Michelle (Bai Ling) ; une femme qui n’a pas peur de se salir les mains puisqu’elle est une killer hacker !

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    Je suis parfois impressionné par certains films qui parviennent à trouver un distributeur tout en sachant qu’ils tiennent là une superbe daube. Il faudra vraiment m’expliquer comment on a pu croire que Killer Hacker parviendrait à trouver la voie du succès, l’hypothèse la plus probable étant qu’on comptait certainement sur le physique de Bai Ling pour assurer quelques ventes. Le film est ambitieux, beaucoup trop au vu des moyens mis à disposition ; on a voulu créer un monde futuriste en nous balançant un univers crée tout en images de synthèse obtenus à prix discount. Au moins l’ensemble est homogène puisque le scénario est lui aussi totalement superficiel.

  • La tour infernale

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    La nuit s’annonce longue à San Francisco où l’on s’apprête à inaugurer la Tour de verre, le plus haut immeuble jamais construit dans le monde entier. C’est notre pote Doug Roberts (Paul Newman) qui est à l’origine de ce prodige et il n’en est pas peu fier cependant il va rapidement déchanter. Alors que l’on attend plus de 300 invités pour cette soirée exceptionnelle, il découvre en effet que le matériel et notamment l’installation électrique de cet immeuble n’est pas celui qu’il avait demandé. Le responsable n’est autre que Simmons (Richard Chamberlain) qui est également le gendre du promoteur Jim Duncan (William Holden) et qui a agit ainsi dans le simple but d’alléger les dépenses. Un acte irresponsable qui va leur couter très cher puisqu’un incendie se déclare et va tout ravager.

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    Tout d’abord un petit tour d’horizon du casting pour mieux se rendre compte de ce film immense en tous points : Paul Newman, Steve McQueen, Faye Dunaway, William Holden, Fred Astaire ou encore Richard Chamberlain. La tour infernale c’est simplement le film catastrophe par excellence, si par certains aspects on peut le considérer comme une perle du kitsch (ah ces fameux bureaux oranges !), au niveau des scènes d’action on ne peut qu’être admiratif. Pas d’effets spéciaux à tire-larigot ici, on a droit à du vrai cinéma à l’ancienne et ça donne des séquences dantesques accompagné d’un suspense intense. Un film qui fait évidemment parmi des classiques pour tout amateur du 7ème art.

     

    La scène à ne pas louper : L’explosion des réservoirs d’eau.