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denis o'hare

  • Pyramide

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    Égypte en Août 2013. Alors que la ville du Caire est en pleine effervescence, Le Dr. Miles Holden (Denis O'Hare) et sa fille Nora (Ashley Hinshaw) sont sur le point de faire une incroyable découverte. Les fouilles archéologiques qu'ils ont mené ont en effet mis à jour une pyramide jusque-là inédite. Sunni Marshe (Christa Nicola) et son cameraman Fitzie (James Buckley) venus tourner un documentaire tiennent là un sujet en or mais ils vont vite déchanter en raison de la situation instable du pays ; les recherches sont soudainement arrêtés. Avant de plier bagage, ils décident d'envoyer un robot dans cette pyramide mais l'appareil confié par la NASA semble se faire attaquer par quelque chose et ce groupe va devoir s'engouffrer dans l'édifice pour le retrouver.

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    Allez, on vous propose un petit tout du coté de l’Égypte qui sera aussi votre tombeau ! Bon, l'histoire de Pyramide ne va pas réveiller les pharaons de leur sommeil ; une mystérieuse pyramide et un groupe d'aventuriers innocents qui va s'y engouffrer sans retenue, ça sent le déjà-vu quand même ! Le film qui est la première réalisation du français Gregory Levasseur (grand pote d'enfance d'Alexandre Aja) n'est pas non plus aidé par des personnages inintéressants au possible et une première partie assez laborieuse. Quelques images à la façon found-footage, un sosie de Wall-e et un soupçon de frayeur ; il n'y a au final pas grand chose à se mettre sous la dent, un grain de sable qu'on va vite oublier.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de vous aventurer dans les pyramides !

  • Dallas Buyers Club

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    Le rodéo et les femmes ce sont les 2 péchés mignons de notre pote Ron Woodroof (Matthew McConaughey) mais sa vie va soudainement prendre un autre sens. Après avoir été hospitalisé, on découvre en effet qu’il est atteint du VIH et qu’il ne lui reste tout au plus que 30 jours à vivre. Au même moment, un laboratoire pharmaceutique met sur le marché un produit appelé AZT destiné à aider les malades atteints du sida. Par des manières détournées, Ron réussit à s’en procurer pendant un premier temps mais va devoir par la suite se rendre au Mexique. C’est là qu’il découvre que l’AZT n’est peut-être pas le produit idoine à prescrire puisqu’il provoque notamment de nombreux effets secondaires. On assiste ainsi au début du Dallas Buyers Club.

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    Peu de chances que le nom de Ron Woodroof vous dise quelque chose et ce biopic signé Jean-Marc Vallée vient combler cette lacune. A son échelle, cet homme aura en effet permis une avancée considérable dans la lutte contre le virus du Sida aux Etats-Unis. Devant Dallas Buyers Club, on est d’abord impressionné par la transformation physique de Matthew McConaughey (tel un Christian Bale dans The machinist) alliée à la performance de Jared Leto. Il y a aussi un formidable message de tolérance dans l’évolution de ce personnage qui s’impose au départ comme un rustre homophobe. Voilà donc tout simplement un magnifique biopic prenant par son histoire et par les prestations des 2 principaux comédiens.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de prendre aveuglément vos médicaments !

  • En quarantaine

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    Dans le cadre de l’émission télévisée Equipe de nuit, la présentatrice Angela Vidal (Jennifer Carpenter) et son caméraman Scott Percival (Steve Harris) ont partagé une nuit à la caserne des pompiers de Los Angeles. Ce sont Jake & Fletcher (Jay Hernandez & Johnathon Schaech) qui vont leur servir de guides mais la nuit est plutôt calme et Angela commence à s’impatienter attendant un peu d’action. Son vœu est exaucé lorsqu’une alarme retentit, les pompiers sont appelés à intervenir dans un immeuble où la police est déjà sur place. Des voisins ont appelé lorsqu’ils ont entendus Mme Espinoza (Jeannie Epper) pousser d’horribles cris mais tous sont loin d’imaginer la nuit d’horreur qui les attend.

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    Sorti en 2008 sur nos écrans, [Rec] fut l’un des cartons du box-office espagnol et des producteurs américains ont flairé la manne financière en achetant les droits. C’est donc un énième remake auquel nous avons droit parce qu’évidemment l’œuvre originale se déroulant dans un immeuble à Barcelone ne pouvait pas convenir au public américain. Il est vrai qu’il est certainement plus économique de tourner un autre film que d’insérer des sous-titres. L’action prend donc désormais place à Los Angeles et pour le reste c’est du très bon copier/coller si ce n’est qu’on ne retrouve aucunement l’ambiance angoissante du film espagnol. S’il vous fallait choisir entre les deux pas d’hésitations à avoir ; oubliez En quarantaine et optez pour la version originale !