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jennifer carpenter

  • F.B.I. Fausses Blondes Infiltrées

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    Ils pensaient démanteler un important réseau de drogue et en fait ils n’auront fait que mettre la main sur une cargaison de … crème glacée ! Kevin & Marcus Copeland (Shawn & Marlon Wayans) sont désormais la risée du FBI, difficile de les prendre au sérieux c’est pourquoi on leur a confié une mission particulière. A eux de récupérer Brittany & Tiffany Wilson (Maitland Ward & Anne Dudek), sœurs fortunées qui doivent participer à la réception organisée par le prestigieux Hamptons Magazine. Le problème c’est que sur le trajet, un léger accident va les défigurer - enfin ça c’est ce qu’elles estiment - et refusent désormais de se montrer en public. Nos 2 agents sont donc dans une situation inconfortable et pour sauver leur réputation ils vont devoir prendre la place des 2 sœurs !

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    «Après la croute, je fais prout» Cette simple citation pleine de finesse et tirée du film vous donne une petite idée du potentiel comique qui vous est réservé. Un humour peu raffiné auquel nous ont habitué les Wayans que l’on retrouve aussi bien devant (via Keenen Ivory) que derrière la caméra, les spectateurs avertis ne seront pas dépaysés. Dans la lignée d’un Big Mamma, nos 2 potes sont donc amenés à faire appel au travestissement pour mener à bien leur mission, l’occasion de nous offrir des situations cocasses. F.B.I. Fausses Blondes Infiltrées n’est pas avare en matière de clichés qu’il propage dans une comédie où tout devient vite excessif et donc lourdingue. Au mieux quelques sourires seront arrachés sinon ça sent fort la Fausse Bonne Idée.

  • Disparue

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    Notre pote Jill (Amanda Seyfried) rentrait de son travail de nuit au Lucky Star et à son arrivée sa sœur Molly (Emily Wickersham) avait demandé à ce qu’elle la réveille. Seulement c’est un lit vide que découvre Jill et très vite l’angoisse monte d’un cran ; il est de retour et sa sœur a été kidnappée. Elle se rend immédiatement à la police mais son histoire n’a pas l’air d’émouvoir grand monde et pour cause, il la connaisse bien. Selon ses dires, il y a quelques mois de cela elle aurait été enlevée par un homme et jeté dans un trou au cœur de Forest Park et d’autres victimes y seraient enterrées. La police n’a jamais trouvé la moindre preuve et Jill ayant des antécédents de troubles mentaux, tout le monde pense que tout ceci n’est que le fruit de son imagination.

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    Vrai thriller ou délire paranoïaque, Disparue tente vainement d’éveiller en nous le doute sans jamais réellement y parvenir. L’histoire part d’un supposé kidnapping qui va faire remonter à la surface de douloureux souvenirs pour la pauvre Jill seule contre le monde et qui va devoir jouer elle-même les justiciers. Aussi charmante que soit Amanda Seyfried, sa prestation totalement linéaire rend inévitablement son personnage antipathique au possible, les autres rôles qui l’entourent étant inexistants. D’autant plus que le réalisateur Heitor Dhalia au lieu de nourrir l’amalgame entre imaginaire et réalité afin d’entretenir un peu le suspense ne fait qu’enchainer des scènes d’action sans conviction qui plongent un peu plus le film dans une lente, lente, lente dépression. Si vous voulez un conseil, laissez-le disparaitre !

     

    Il faut le voir pour : Rajoutez quelques serrures à votre porte d’entrée !

  • Le pacte

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    Notre pote Will Gerard (Nicolas Cage) est professeur à la Nouvelle-Orléans, c’est un homme profondément bon qui n’hésitera jamais à vous aider si vous avez besoin de lui. Comment une telle personne pourrait donc soudainement se transformer en meurtrier recherché par la police ? Tout a commencé lorsqu’il a appris que sa femme Laura (January Jones) s’est faite agresser et violer ; peu de temps après un certain Simon (Guy Pearce) est venu à sa rencontre. Celui-ci lui a proposé de s’occuper de l’agresseur de sa femme mais Will sera alors redevable à cette organisation. Complètement désespéré, il accepte cette offre sans savoir que ce choix aura de graves répercussions. 6 mois plus tard, Simon refait surface dans sa vie en lui demandant de tuer un homme accusé de pédophilie.

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    Ce film du réalisateur Roger Donaldson reprend de manière détournée le principe du Vigilante en faisant intervenir une mystérieuse organisation. Nicolas Cage est donc le grand gagnant et se retrouve au cœur d’une terrible machination mais Le pacte qu’il a conclu est lui loin de nous emballer. Déjà, ce qui est assez pénible c’est de constater l’absence de nuances dans ce film ; au héros il ne manquerait que l’auréole au dessus de la tête pour en faire un saint. Reste ensuite que le dilemme qui lui est soumis ou l’existence même de cette association à but meurtrière auraient pu permettre une exploration plus intellectualisé du sujet ce qui est loin d’être le cas. Le hibou ravi jubile peut-être mais le spectateur ne ressent pas du tout la même chose.



    Il faut le voir pour : Ne jamais mais alors plus jamais acheter 2 barres de chocolat à un distributeur !

  • En quarantaine

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    Dans le cadre de l’émission télévisée Equipe de nuit, la présentatrice Angela Vidal (Jennifer Carpenter) et son caméraman Scott Percival (Steve Harris) ont partagé une nuit à la caserne des pompiers de Los Angeles. Ce sont Jake & Fletcher (Jay Hernandez & Johnathon Schaech) qui vont leur servir de guides mais la nuit est plutôt calme et Angela commence à s’impatienter attendant un peu d’action. Son vœu est exaucé lorsqu’une alarme retentit, les pompiers sont appelés à intervenir dans un immeuble où la police est déjà sur place. Des voisins ont appelé lorsqu’ils ont entendus Mme Espinoza (Jeannie Epper) pousser d’horribles cris mais tous sont loin d’imaginer la nuit d’horreur qui les attend.

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    Sorti en 2008 sur nos écrans, [Rec] fut l’un des cartons du box-office espagnol et des producteurs américains ont flairé la manne financière en achetant les droits. C’est donc un énième remake auquel nous avons droit parce qu’évidemment l’œuvre originale se déroulant dans un immeuble à Barcelone ne pouvait pas convenir au public américain. Il est vrai qu’il est certainement plus économique de tourner un autre film que d’insérer des sous-titres. L’action prend donc désormais place à Los Angeles et pour le reste c’est du très bon copier/coller si ce n’est qu’on ne retrouve aucunement l’ambiance angoissante du film espagnol. S’il vous fallait choisir entre les deux pas d’hésitations à avoir ; oubliez En quarantaine et optez pour la version originale !