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  • American Ultra

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    Cela fait maintenant 5 ans que nos potes Phoebe & Mike (Kristen Stewart & Jesse Eisenberg) forment un couple avec la particularité de n’avoir jamais quitté Liman en Virginie de l’Ouest. Ils avaient organisé un voyage à Hawaï mais une fois encore Mike a été pris de crises faisant tomber à l’eau leur projet. Le jeune homme reprend alors son travail dans une petite épicerie où il va croiser une femme assez étrange. Le plus incroyable reste à venir puisqu’il va se découvrir des capacités extraordinaires lui permettant notamment de tuer deux hommes (dont un avec une simple cuillère). Il ne le sait pas encore mais il est en fait un agent dormant de la CIA qui vient d’être activé !

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    Après avoir organisé la plus grosse fiesta avec Projet X, notre pote Nima Nourizadeh met le pied dans l’action avec American Ultra. L’histoire d’un mec lambda qui se transforme soudainement en une incroyable machine à tuer ce qui n’est pas sans nous rappeler un film comme Wanted : Choisis ton destin. Ici aussi on a droit à une réalisation dynamique avec des scènes d’action à la violence exacerbée mais on déplore tout de même un scénario qui manque clairement d’éclat. Le couple formé par Kristen Stewart & Jesse Eisenberg nous offre ainsi un petit divertissement qui n'a cependant rien d'extra et encore moins d'ultra.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas sous-estimer un mec en train de manger des nouilles !

  • Equalizer

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    Notre pote Robert McCall (Denzel Washington) vit à Boston où il a un quotidien plutôt routinier entre son boulot chez Home Mart et le dinner où il apprécie sa tasse de thé avec un bon livre. C’est d’ailleurs là qu’il fait la connaissance de Teri (Chloë Grace Moretz), une prostituée qui rêve d’une autre vie. Un soir, Robert apprend que la jeune femme a été sévèrement battue par les hommes qui l’exploitent et il entend bien rendre justice à sa manière. Ce règlement de comptes ne passe pas inaperçu et il ne tarde pas à avoir à ses trousses un certain Teddy (Marton Csokas) qui lui aussi a des méthodes assez musclées !

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    Le duo Antoine Fuqua / Denzel Washington se reforme à l’occasion de cette adaptation puisqu’à l’origine Equalizer est une série télévisée datant des années 1980. Reprenant le concept bien connu du Vigilante, le personnage de Robert séduit par son attitude d’ange gardien stoïque en toutes circonstances mais aussi par le mystère qui entoure son passé. Rythmé par des scènes d’action efficaces et en particulier le final dans le magasin mais aussi parsemé de quelques bonnes notes d’humour, que demander de plus ? Voilà typiquement le film dont on se délecte  avec son paquet de pop-corn.

     

    Il faut le voir pour : Faire votre liste de livres !

  • May in the summer

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    Retour en Jordanie et plus précisément dans la ville d’Amman pour notre pote May (Cherien Dabis). C’est l’occasion pour elle de revoir ses 2 sœurs Dalia & Yasmine (Alia Shawkat & Nadine Malouf) ainsi que sa mère Nadine (Hiam Abbass) ; son père Edward (Bill Pullman) a lui refait sa vie avec une autre femme. Alors que son nouveau livre vient de sortir, May vient surtout au pays pour préparer son prochain mariage avec Ziad (Alexander Siddig) qui a du rester pour le moment à New York. Une union que désapprouve totalement Nadine, chrétienne qui ne peut accepter que sa fille épouse un musulman à tel point qu’elle ne tient pas à assister au mariage.

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    Pour son second film, la réalisatrice Cherien Dabis (qui tient aussi le premier rôle) aborde la question du mariage entre deux personnes de cultures différentes. Derrière des allures sérieuses, May in the summer cache en fait une comédie dramatique qui fait son effet. May est un personnage attachante et délicieuse mais c’est aussi le trio qu’elle forme avec Alia Shawkat & Nadine Malouf qui donne au film toute sa saveur. On trouvera juste à redire sur certains personnages secondaires qui apparaissent un peu trop superficiels  (la sœur Yasmine ou encore la belle mère) sans ça on passe un bon moment malgré une histoire finalement assez banale.

     

    Il faut le voir pour : Aller à l’Eglise pour trouver l’âme sœur !

  • Independence day

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    Tout a commencé lorsque le SETI, situé au Nouveau-Mexique a intercepté des signaux émanant de l’espace suivis par de nombreuses perturbations partout sur Terre. Ce que l’on pensait être du domaine de la science-fiction est alors devenu réalité, des vaisseaux spatiaux sont apparus et nous avons désormais la preuve que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Jusqu’à présent on ignore tout des intentions de ces extraterrestres mais on va vite découvrir qu’ils ne sont pas venus avec un esprit pacifique. Aux 4 coins du monde, l’espoir de rentrer en contact avec ces êtres venus d’ailleurs se transforme en un horrible cauchemar ; les vaisseaux ravagent tout et l’humanité pleure ses disparus. Il faut cependant réagir rapidement et c’est sous l’autorité du Président des Etats-Unis Thomas J. Whitmore (Bill Pullman) que la résistance va s’organiser.

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    Œuvre incontestable dans la filmographie de Roland Emmerich ; Independence day fut le blockbuster de l’année 1996, le pop-corn movie par excellence. A l’époque, on pouvait facilement s’extasier devant les effets spéciaux accompagnant la destruction de notre bonne vieille planète mais aujourd’hui cela parait bien dérisoire. Difficile tout de même de trouver film plus patriotique que celui-là car non seulement c’est grâce aux américains que les envahisseurs sont vaincus (désolé pour le spoiler) mais leur Président va jusqu’à devenir pilote héroïque et symbole de l’hégémonie yankee. A voir pour enrichir (??) sa culture cinématographique mais un film qu’on n’aura pas forcément envie de se retaper par la suite.

  • The killer inside me

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    Lou Ford (Casey Aflleck) est le shérif adjoint d’une petite ville de l’Oklahoma, un endroit plutôt calme en apparence. Pourtant, un soir on retrouve le corps sans vie d’un homme et à ses cotés se trouve une jeune prostituée du nom de Joyce (Jessica Alba) passée à tabac et dont les chances de survie sont minces. Pour Lou, ce serait une affaire délicate à traiter s’il n’en connaissait pas déjà les tenants et les aboutissants. Il n’a pas à chercher bien loin le coupable puisque c’est lui-même qui a orchestré tout cela. Derrière son uniforme de représentant de la loi, l’homme est en fait un véritable psychopathe qui n’en est pas à ses premiers méfaits.

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    C’est en 1952 que nait le roman de Jim Thompson qui a inspiré cette deuxième adaptation cinématographique. L’aspect thriller du film de Michael Winterbottom tourne court puisqu’on apprend rapidement que le personnage incarné par Casey Affleck n’est pas celui qu’il parait être. The killer inside me se transforme alors en un portrait psychologique du personnage dévoilant notamment une part de son enfance et l’origine du mal qui le ronge. Ponctué de scènes assez violentes (vous ne reconnaitrez pas Jessica Alba) et avec une misogynie ambiante, le film a tendance à se disperser et cela s’en ressent pour les humbles spectateurs que nous sommes.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier qu’il y a des fous qui se promènent dans la nature !

  • Surveillance

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    Un couple a été sauvagement assassiné sans que l’on ait pu appréhender le moindre suspect mais l’on sait qu’ils agissent munis de masques. Peu de temps après, un autre massacre a lieu en pleine journée et cette fois, il y a 3 survivants : un policier, une junkie et une petite fille. Pour tirer cette affaire au clair Elizabeth Anderson & Sam Hallaway (Julia Ormond & Bill Pullman), agents du FBI ont été dépêchés et vont mener l’interrogatoire dans ce petit commissariat. Chaque témoin est ainsi isolé et au fur et à mesure que les questions sont posées, le voile sur la vérité commence à tomber.

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    Cela faisait 10 ans que Jennifer Lynch n’avait pas touché une caméra et on se félicite de son retour quand on voit l’excellent Surveillance. Un thriller policier diaboliquement efficace où l’on découvre l’intrigue par à coups où chaque témoin participe à la mise en place de l’histoire. On se laisse entrainer dans cette passionnante enquête avant un retournement de situation légèrement prévisible mais qui redonne un coup de fouet bienvenu. S’il n’est pas exceptionnel, le film est suffisamment bien mené pour vous faire passer un bon moment d’autant plus qu’actuellement les thrillers de qualité ne se bousculent pas au portillon.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de craner avec votre bagnole rouge.