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Tu seras mon fils

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Les vendanges approchent à grands pas et Paul De Marseul (Niels Arestrup) vient d’apprendre une terrible nouvelle : son régisseur et pote d’enfance François (Patrick Chesnais) est atteint d’un cancer ! Bien entendu, l’état de santé de son ami occupe ses pensées mais il est également inquiet pour l’avenir de son domaine viticole malgré la présence à ses cotés de Martin (Lorànt Deutsch). Il faut dire que les relations entre le père et le fils sont particulièrement difficiles et Paul n’imagine pas une seule seconde que celui-ci soit capable de prendre en charge les vendanges. Il entre alors en contact avec Philippe (Nicolas Bridet), fils de François actuellement en Californie pour l’informer de la maladie de son père. Lorsque celui-ci fait son retour au domaine, l’idée de faire de lui le prochain régisseur fait progressivement son chemin.

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Que celles et ceux qui apprécient le cinéma et le bon vin se lèvent car voici le film indispensable du moment pour eux. Tu seras mon fils, c’est la confrontation entre un père et son fils unis en apparence mais tellement étrangers l’un pour l’autre à la suite un drame qui aura bouleversé leurs vies. A l’image d’un bon vin, plus le temps s’écoule et plus l’immense Niels Arestrup devient irrésistible et c’est l’occasion de découvrir Lorànt Deutsch dans un registre bien différent lui qu’on a plutôt l’habitude de voir dans des comédies. Le film de Gilles Legrand évoque également l’univers des vignobles où se perpétue savoir-faire ancestrale et traditions familiales, une plongée véritablement passionnante. Un excellent cru à déguster sans modération !

 

Il faut le voir pour : Eviter les vins de l’année 1963, ils ont un gout particulier.

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