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jeremy irvine

  • La dame en noir 2 : L’ange de la mort

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    1941. Les bombes pleuvent sur Londres et afin de les protéger, un groupe d’enfants va être évacué par Jean Hogg & Eve Parkins (Helen McCrory & Phoebe Fox). Alors que le train s’apprête à partir, le petit Edward (Oaklee Pendergast) les rejoint. Ce garçon désormais orphelin a eu le malheur de voir sa mission bombardée et depuis ce drame il est resté muet. Ils vont ainsi rejoindre une demeure abandonnée située à Crythin Gifford mais très vite des évènements étranges se manifestent. Pour Eve c’est certain ; elle a ressenti la présence d’une autre personne dans cette maison et ses intentions sont loin d’être bienveillantes.

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    Déjà que le premier épisode ne m’avait pas laissé de grands souvenirs, voilà que cette suite se passe également des services de Daniel Radcliffe. La dame en noir 2 : L’ange de la mort se déroulant 40 ans après son prédécesseur, ce sont de nouveaux protagonistes qui font leur apparition. Avec une histoire qui prend racine en pleine Seconde Guerre Mondiale, on s’attendait à ce que le film tire davantage profit de cette atmosphère particulière mais ce n’est pas le cas. On préfère revenir à ce qui caractérise le Jump scare avec les banales portes grinçantes et  apparitions inopinées pour tenter de surprendre les spectateurs. A la recherche de grands frissons ? Allez voir ailleurs !

     

    Il faut le voir pour : Garder le sourire !

     

    En savoir plus sur La dame en noir ?

  • Les voies du destin

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    Notre pote Eric Lomax (Colin Firth / Jeremy Irvine) est un passionné de trains alors lorsque ceux-ci ont du retard, lui pense immédiatement aux autres itinéraires qu’il peut emprunter. C’est ainsi qu’il croisera la belle Patti (Nicole Kidman) dont il tombe instantanément amoureux et de cette relation découle un joli mariage. S’ils ont tout pour être heureux, Patti va découvrir une part d’ombre que son mari tentait de dissimuler. Durant la Seconde Guerre Mondiale, Eric a été constitué prisonnier par l’armée japonaise et a en outre participé à la construction du célèbre pont de la rivière Kwaï. Une époque dont le traumatisme ne s’est pas refermé malgré les années.

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    C’est une histoire forte et vraie qui unit le britannique Eric Lomax et le japonais Nagase Takashi néanmoins le réalisateur Jonathan Teplitzky ne parvient pas à donner à son film cette charge émotionnelle. Bien au contraire, on a cette désagréable sensation d’avoir quelque chose de très artificiel (à commencer par la prestation de Kidman) et qui cherche à tout prix à nous tirer la larme de l’œil. Même Colin Firth peine dans ce rôle de traumatisé de guerre ; il ne suffit pas de se rouler par terre et d’avoir le regard vide pour nous convaincre. Si on retiendra l’incroyable lien qui s’est tissé entre les deux personnages principaux, on oubliera tout aussi vite ce long-métrage qui s’est embarqué sur les rails de la mièvrerie.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de râler quand le train arrive en retard et essayer de chercher d’autres itinéraires !

  • Les voies du destin

    Lorsque notre pote Nicole Kidman a épousé Colin Firth, elle ne s'attendait peut-être pas à trouver un homme encore traumatisé. Il a en effet vécu l'enfer durant la Seconde Guerre Mondiale lorsqu'il s'est retrouvé prisonnier des japonais, un enfer qu'on va découvrir dans Les voies du destin.

    Date de sortie : 11 Juin 2014.


  • Cheval de guerre

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    C’est par pure fierté que Ted Narracott (Peter Mullan) a acheté ce cheval et sa femme Rose (Emily Watson) n’arrive toujours pas à croire qu’il ait dépensé 30 Guinées pour ça ! Alors qu’elle souhaitait rendre l’animal, son fils Albert (Jeremy Irvine) réussit à la convaincre de le garder à la condition de le dresser comme il se doit. Il lui donne ainsi le nom de Joey qui va devenir un vrai pote d’enfance. Bien que celui-ci soit magnifique, il n’est pas taillé pour les travaux de la ferme et pourtant, alors que personne n’y croyait, il va accomplir des miracles. Hélas pour Albert, ses parents traversent une période difficile et Ted n’a d’autres choix que de vendre le cheval. La guerre vient en effet d’être déclarée et Joey va traverser de nombreux champs de bataille.

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    En jetant un coup d’œil rapide à l’histoire, on se dit que l’amitié entre un garçon et son cheval va quand même avoir du mal à nous captiver mais Steven Spielberg n’est pas n’importe qui ! C’est sur que si Cheval de guerre avait continué sur le même rythme que la première demi-heure, on aurait pu trouver le temps long. Seulement, le réalisateur a l’ingéniosité de nous faire partager d’autres récits autour de ce cheval exceptionnel et surtout le film se pare de magnifiques scènes de guerre, l’impressionnante attaque des cavaliers en tête. Il faut un peu de temps pour se laisser entrainer mais après ça on ne décroche plus de l’écran et l’émotion est au rendez-vous.  

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à appeler un cheval !