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james purefoy

  • John Carter

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    C’est une aventure qui commence en 1868, notre pote John Carter (Taylor Kitsch) tente d’échapper à la cavalerie américaine qui souhaiterait l’enrôler de gré ou de force. Dans sa fuite et sous la menace des indiens, il trouve refuge dans une grotte où est renfermé un mystérieux signe inscrit dans la roche. Un homme vêtu de manière étrange apparait soudainement et dans la confusion, John  perd conscience. A son réveil, il est au milieu d’un désert mais le plus surprenant c’est qu’au départ il n’arrive même pas à faire un pas sans tomber. Il l’ignore encore pour le moment mais il a atterri sur une autre planète appelée Barsoom que nous humains connaissons sous le nom de Mars.

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    Né de l’imagination du romancier Edgard Rice Burroughs (connu aussi comme le papa de Tarzan), le personnage de John Carter pourrait bien devenir le héros d’une nouvelle saga cinématographique. Expédié sur la planète rouge, c’est l’occasion pour le spectateur de découvrir de drôles de créatures, des monstres gigantesques et 2-3 engins volants. Il est toujours amusant de découvrir un nouvel univers malheureusement ici on en fait rapidement le tour. Les héros n’arrivent pas non plus à nous emballer, Taylor Kitsch manque de charisme tandis que Lynn Collins essaie de faire concurrence à la Princesse Leïa dans Le retour du Jedi. Si techniquement le film a les moyens de ses ambitions, il n’offre pas du tout le spectacle divertissant qu’on était en droit d’attendre.

     

    Il faut le voir pour : Vous entrainer au saut en hauteur.

  • Le sang des templiers

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    1215. L’Angleterre est sous le joug du roi Jean (Paul Giamatti) mais son règne fut contesté par le peuple et il fut contraint de signer une charte pour leur rendre leurs libertés. Cependant, le souverain n’entend pas laisser le pouvoir lui échapper aussi facilement et avec l’aide de mercenaires danois il entreprend de reconquérir son royaume. Durant sa quête, il va croiser le chemin de Frère Thomas (James Purefoy), chevalier de l’ordre des templiers qui va s’associer avec le Baron d’Albany (Brian Cox). Afin de stopper l’avancée des troupes du roi, ils vont s’emparer du château de Rochester, lieu stratégique mais ils ne sont qu’une vingtaine d’hommes pour vaincre des milliers d’ennemis !

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    Sur le papier, ça a tout de l’énième film d’action épique et d’ailleurs en dehors de Paul Giamatti, le reste du casting devrait vous laisser plutôt indifférent. Et puis très vite, ce qui nous frappe en plein visage dans Le sang des templiers ce sont les scènes de combat, violentes et impitoyables, c’est particulièrement sanglant et l’interdiction aux moins de 16 ans se justifie amplement. Outre les corps déchiquetés, les hectolitres d’hémoglobine versée et des mains tranchées ; il faut bien un peu de douceur dans ce monde de brutes et on c’est à ce titre qu’on nous sort l’habituelle romance entre le héros et la jeune princesse. Bourrin à souhait, c’est un film à réserver aux vrais mecs qui ont envie de se changer les idées agréablement.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de passer chez le boucher pour le diner !

  • Solomon Kane

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    Il était autrefois un guerrier impitoyable qui ne laissait derrière que ruines et cadavres mais Solomon Kane (James Purefoy) cherche désormais la rédemption. Menacé par le diable de voir son âme emporté, il a changé et a renoncé à toutes formes de violence en trouvant refuge auprès de l'Eglise. Malheureusement, il est contraint de quitter ce sanctuaire et reprend donc la route où il va rencontrer la famille Crowthorn. A peine ont-ils eu le temps de faire connaissance qu'ils sont attaqués par les hommes de Malachi (Jason Flemyng) qui n'auront aucune pitié pour femmes et enfants.

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    Personnage crée par Robert E. Howard, le papa de Conan le barbare, Solomon Kane jouit d'une filiation bien prestigieuse, ce qui ne lui évite pas de se révéler extrêmement mauvais. Héros des temps anciens où l'on éclatait tout sur son passage avant de parlementer, Kane n'est pas plus réfléchi que son ancêtre Conan et ce n'est pas avec la piètre prestation de James Purefoy que le film parviendra à attirer les foules. Même en prenant le film au 2nd degré, on n'a pas le cœur à se moquer devant cette histoire ridicule accumulant les clichés et ce sera un exploit de ne pas vous endormir pendant la séance !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de jouer avec le diable ça donne des films pourris.