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steve carell

  • Bienvenue à Marwen

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    Pour prendre de la distance avec son compagnon, notre pote Nicol (Leslie Mann) a emménagé dans une nouvelle maison devenant ainsi la voisine de Mark Hogancamp (Steve Carell). Ce dernier ne passe pas inaperçu puisque dans son jardin se trouve la reconstitution d’un village belge imaginaire de nom de Marwen. A l’aide des poupées qu’il traite soigneusement, il vit des aventures incroyables en ce lieu où il replonge en pleine Seconde Guerre Mondiale. Mark fait tout pour rendre les scènes les plus réalistes possibles au point de produire des clichés qui vont prochainement faire l’objet d’une exposition à New York. A l’origine de cette activité, il y a pourtant un fait-divers malheureux puisqu’il est devenu amnésique après une violente agression.

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    Parce que c’est Robert Zemeckis derrière la caméra, parce que son héros est un homme qui respire la bonté et aussi parce qu’ils ne se sont pas foulé pour l’affiche ; on s’est dit qu’on tenait peut-être un nouveau Forrest Gump. Il faut savoir que l'histoire de Mark Hogancamp a déjà été contée à travers le documentaire Marwencol dont s’est inspiré le réalisateur. Rien à dire sur Steve Carell qui est investi à 100% dans son rôle mais cela est balayé par des scènes d’animation qui pullulent dans le film et qui finissent par reléguer la tragédie vécue par notre héros au second plan. Il y a donc un véritable déséquilibre au point que Bienvenue à Marwen semble davantage être un film d’animation qu’autre chose et là l’émotion n’est vraiment pas au rendez-vous !



    Il faut le voir pour : Laisser vos enfants jouer à la poupée dans le jardin !

  • Free love

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    Notre pote Laurel (Julianne Moore) fait partie des forces de police du Comté d’Ocean, son dévouement pour l’uniforme est reconnu par tous ses collègues à commencer par Dane (Michael Shannon). Souvent, elle se plonge à corps perdu dans son travail mais ne néglige pas pour autant sa vie sentimentale où elle a toutefois du mal à s'épanouir. Homosexuelle, Laurel craint la réaction de son entourage mais elle ne pourra plus le cacher. Quelques temps après sa rencontre avec Stacie (Ellen Page), on a diagnostiqué à cette policière un cancer et ses chances de survie sont malheureusement très minces. Au cas où un malheur arriverait, elle souhaiterait donc qu’une pension soit versée à Stacie ce qui va poser problème et marquer le début d'un long combat.

     

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    Inspiré de l’histoire vraie vécue par Laurel Hester, Free love nous donne l’occasion de découvrir le combat acharné que cette policière aura livré avec le soutien indéfectible de sa compagne Stacie Andree pour faire valoir ses droits. Une lutte qui aura grandement contribué à défendre la cause homosexuelle en participant notamment, quelques années plus tard, à l’instauration du mariage gay dans l’Etat du New Jersey. Fort de ce sujet, le réalisateur Peter Sollett déroule ensuite une histoire qui suit un schéma on ne peut plus classique laissant la part belle aux interprètes. Julianne Moore se montre une nouvelle fois bouleversante formant avec Ellen Page un excellent duo. Un film qui constitue avant tout un hommage mérité à une femme qui se sera montré aussi courageuse qu’admirable.

     

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme de changer les roues de la voiture, elle ira plus vite que vous !

  • Foxcatcher

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    Déjà sacré Champion olympique de lutte, Mark Schultz (Channing Tatum) a pour objectif de ramener une nouvelle médaille lors des prochains Jeux Olympiques à Séoul en 1988. Il y aura d’abord les championnats du monde et c’est dans cette optique qu’il s’entraine avec ardeur en compagnie de son frère Dave (Mark Ruffalo). Un soir, il reçoit un appel ; Mark est invité en Pennsylvanie  afin de rencontrer John E. du Pont (Steve Carell). Issu d’une dynastie prestigieuse, cet homme se passionne pour la lutte et aimerait que le champion olympique rejoigne l’équipe de Foxcatcher pour l’amener jusqu’à la victoire.

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    C’est une histoire qui fait plutôt froid dans le dos puisqu’il s’agit d’évènements réels. L’intérêt de Foxcatcher se centre vite sur l’interprétation avec tout d’abord un Channing Tatum totalement imprégné dans son rôle. Le plus impressionnant reste tout de même les transformations physiques de Steve Carell & Mark Ruffalo qui en deviennent méconnaissables. Il est certain que ce trio porte à bout de bras musclés le film car la réalisation de Bennett Miller se montre à la longue monotone rendant toutefois la conclusion bien plus abrupte aux yeux des spectateurs. A voir forcément pour les performances d’acteurs.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment perdre 5 Kilos en 90 minutes !

  • Légendes vivantes

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    Le couple Veronica Corningstone / Ron Burgundy (Christina Applegate / Will Ferrell) avait tout pour être heureux. Unis par l’amour, ils étaient aussi les vedettes d’un journal télévisé de WBC jusqu’au jour où le big boss Mack Tannen (Harrison Ford) a décidé de confier les rênes de l’information exclusivement à Veronica. Six mois plus tard, le couple n’y a pas survécu et c’est un Ron Burgundy dépressif que retrouve Freddie Shapp (Dylan Baker), lui qui est venu lui proposer un incroyable projet. Global News Network sera la première chaine à proposer des informations 24H/24, une idée folle à l’époque mais qui va changer à jamais le paysage de l’information télévisée. Le journaliste déchu accepte le défi mais pas avec n’importe qui !

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    Ce n’est pas forcément une comédie très connue mais Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy était un joli petit délire signé Will Ferrell accompagné de sa fidèle bande. On ne peut que se réjouir de retrouver ses potes d’enfance presque 10 ans après les avoir quitté car l’humour est toujours aussi absurde avec un Steve Carrell revenu d’entre les morts ou encore un bébé requin nourri au biberon. Avec ça vous avez un casting 5 étoiles puisque viennent participer à la fête entre autres Kristen Wig, Meagan Good sans oublier une incroyable bataille de journalistes avec une pléthore de guests prestigieux dont notre Marion Cotillard. Légendes vivantes c’est un délire comme on les aime c’est un beau Coup de cœur Ciné2909, on en redemande et il n’y a qu’un mot à dire : Whammy !

  • Moi, moche et méchant 2

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    Le monde court un grand danger et c’est pourquoi l’Agence de Vigilance de Lynx se doit d’intervenir immédiatement. Quelqu’un vient en effet de voler un laboratoire où était conçue une potion : le PX-41 capable de transformer n’importe qui en un monstre enragé. L’AVL décide donc de recourir aux services d’un méchant d’envergure comme par exemple celui qui a volé la lune. Gru est ainsi sollicité mais refuse dans un premier temps car depuis qu’il a adopté Margo, Edith & Agnès ; il est devenu quelqu’un de respectable. Il changera finalement d’avis et sera associé pour l’occasion à Lucy Wilde afin de démasquer celui qui se cache derrière cette affaire.

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    Après une première apparition qui a connu un joli succès, le méchant le plus sympathique est de retour et bien évidemment il est accompagné des indispensables Minions (Banana !!). On retrouve également ses 3 filles toujours aussi fantasques (et une Agnès toujours aussi adorable) mais moins présentes pour mieux laisser Gru flirter avec Lucy. De l’aventure, de l’espionnage, un catcheur mexicain, des Minions violets ; le programme est chargée et c’est sur qu’on n’aura pas le temps de s’ennuyer. Si la surprise n’est plus au rendez-vous Moi, moche et méchant 2 est néanmoins le divertissement qu’on attendait, un film d’animation beau et drôle et qui devrait donc sans difficultés trouver son public qu’il soit petit ou grand.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que si vous êtes un garçon, c’est normal d’être chauve !

     

    En savoir plus sur Moi, Moche et Méchant ?

    En savoir plus sur Les Minions ?

  • Tous les espoirs sont permis

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    31 ans de mariage ! Pour certains couples, ce serait un évènement mais pour nos potes Kay & Arnold Soames (Meryl Streep & Tommy Lee Jones), c’est devenu presque anecdotique. La passion semble avoir quitté le couple et ce depuis bien longtemps déjà puisque tous deux sont embrigadés dans un quotidien routinier les conduisant jusqu’à faire chambre à part. Kay se dit qu’il faut réagir et prend donc l’initiative de les inscrire à une thérapie proposée par le Docteur Bernie Feld (Steve Carrell). En apprenant cela, Arnold est loin de se réjouir d’autant plus que cela coute une vraie fortune ! Il accepte à contrecœur d’accompagner sa femme et ce voyage est certainement la dernière chance de ce couple de sauver leur mariage.

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    A notre époque, on pourrait presque croire que l’amour éternel est une belle utopie or c’est une flamme qu’il faut apprendre à raviver de temps à autre (snif… c’est beau !). C’est l’histoire du couple Meryl Streep/ Tommy Lee Jones parti à la recherche de cette petite étincelle et l’occasion de nous pondre une comédie qui nous fera vite déchanter. Tous les espoirs sont permis mais aucuns ne se concrétisent ; le duo de comédiens est bien sympathique mais ne masque pas une histoire sans caractère. A quoi bon inviter Steve Carrell à cette thérapie si ce n’est simplement pour lui faire porter des cravates en laine ; David Frankel nous gratifie d’un film soporifique et qui ne trouvera audience qu’auprès d’un public d’un certain âge (jusqu’à provoquer des applaudissements dans la salle, véridique !).

     

    Il faut le voir pour : Donner un vrai baiser à votre femme lorsque vous partez travailler !

  • Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare

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    C’est désormais une réalité ; dans 3 semaines l’astéroïde Matilda frappera la Terre et signera la fin du monde. Quelques secondes après cette annonce officielle, notre pote Dodge (Steve Carell) voit sa femme le quitter et commence alors pour lui une lente dépression. Alors que tout son entourage l’invite à profiter de ses derniers moments et de vite retrouver une compagne, lui n’y voit aucun intérêt. Ceci était vrai jusqu’à ce qu’il croise Penny (Keira Knightley), une voisine qui vient de rompre avec son petit-ami. Celle-ci cherche n’a désormais qu’un but ; revoir sa famille mais elle a manqué le dernier avion qui pouvait l’amener jusqu’à eux et ça la désespère. Pendant ce temps, Dodge découvre une lettre qu’il n’espérait plus et qui pourrait bien changer le peu de vie qu’il lui reste !

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    A priori, l’extinction de la race humaine serait une perspective peu réjouissante mais c’est aussi et surtout l’occasion de se lâcher. De la folie, on aurait bien aimé que la réalisatrice Lorene Scafaria en donne davantage à son film tellement l’ensemble est plat. Ça n’aurait pas été du luxe de voir un trait d’humour plus prononcé car le peu de scènes qui vont dans ce sens sont rapidement gommées par la mélancolie générale de Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare. Il est vrai que ce n’est pas un défaut en soi mais en l’occurrence, ça plonge le spectateur dans une ambiance plutôt soporifique jusqu’à ce que la fin du film nous réveille ! On pourra à peine se consoler en croisant des têtes bien connues du petit écran comme Connie Britton, William Petersen ou encore Gillian Jacobs.

     

    Il faut le voir pour : Penser à redonner le courrier à votre voisin !

  • Crazy, stupid, love

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    La soirée s’achevait et le diner s’était plutôt bien déroulé jusque-là mais en guise de dessert Cal (Steve Carell) vient d’apprendre que sa femme Emily (Julianne Moore) demande le divorce après 25 ans de mariage. Ce n’est pas tout puisqu’elle lui révèle également qu’elle l’a trompé avec David Lindhagen (Kevin Bacon), un collègue de bureau. Cal redevient donc bien malgré lui célibataire et noie ses soirées dans un bar où il ressasse ses désillusions à qui veut bien l’entendre et justement cela arrive aux oreilles de Jacob (Ryan Gosling) qui va le prendre en main. Celui-ci est le tombeur de la boite, (presque) aucune femme ne lui résiste et il va révéler tous ses secrets à son nouveau pote d’enfance. Première mission : changer complètement sa garde-robe et en un instant Cal va devenir le nouveau playboy du coin.

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    Quand Julianne Moore fait sa crise de la quarantaine, c’est notre pote Steve Carell qui en fait les frais et ça donne une comédie bien sympathique. Il ne faut pas être trop regardant sur le scénario qui reste très basique mais on s’attache rapidement aux personnages de Crazy, stupid, love et même le beau gosse Ryan Gosling parvient à se rendre charmant avec ses abdominaux en béton qui en énerveront plus d’un. Les seconds rôles (Jessica & Robbie) ont également une place importante dans le film et apportent un peu plus de fantaisie ainsi qu’une pointe de fraîcheur à l’histoire. Ça n’a rien de la comédie incontournable mais c’est en tout cas un film agréable qui vous fera sans aucun doute passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Répéter la chorégraphie de Dirty Dancing.

  • Crazy Night

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    Pour éviter que leur couple tombe dans la spirale infernale de la routine, nos potes Claire & Phil Foster (Tina Fey & Steve Carell) ont décidé que ce soir ils se feront plaisir ! Ils vont jusqu'à Manhattan pour aller dîner au Claw, dernier restaurant à la mode où il faut réserver au moins un mois à l'avance. Le couple s'imaginait pouvoir, avec de la chance, bénéficier d'une table mais ils sont déçus et sont à deux doigts de quitter les lieux lorsque Phil décide de prendre la réservation de quelqu'un d'autre. Ils se font donc passer pour les Triplehorn et passent une charmante soirée jusqu'à ce que deux hommes viennent les menacer.

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    Si la réputation de Steve Carell en tant que comique n'est plus vraiment à faire, celle de Tina Fey - du moins au cinéma- est encore à écrire. La comédienne découverte dans le Saturday Night Live et star de la série 30 rock forme avec Carell un duo dynamique et nous entraîne pour une 1H30 de franche rigolade. L'histoire repose sur un simple quiproquo mais on oublie vite cette légèreté scénaristique pour se laisser guider par la complicité de ce couple détonant avec quelques scènes qu'on n'oubliera pas de si tôt. Si vous êtes à la recherche d'une bonne comédie et bien vous l'avez trouvé avec Crazy Night !

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais piquer la réservation au restaurant de quelqu'un d'autre.