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analeigh tipton

  • Lucy

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    Tout ce que notre pote Lucy (Scarlett Johansson) voulait ; c’était rentrer chez elle prendre une douche et se plonger dans les révisions mais Richard (Pilou Asbæk) en a décidé autrement. Elle l’a rencontré il y a une semaine et le connait peu mais il va lui demander un service assez spécial : remettre une mallette à un certain Mr. Jang (Min-sik Choi). Menottée à cette mallette, la jeune femme n’a pas vraiment le choix et va découvrir qu’elle contient une nouvelle drogue très puissante. Le calvaire de Lucy est loin d’être terminée puisqu’elle va servir de mule cependant un accident est vite arrivé et le sachet de drogue s’ouvre dans son estomac. Elle ne sera plus jamais la même.

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    Après avoir côtoyé Michelle Pfeiffer et Robert De Niro dans Malavita, Luc Besson continue de taper dans l’international et s’offre le luxe d’avoir Scarlett Johansson mais aussi Morgan Freeman ou encore Min-sik Choi (Old Boy). S’il peut faire penser à Limitless, le scénario se montre assez accrocheur nous permettant de suivre l’évolution de Lucy, une héroïne qui malheureusement manque de consistance tout comme le reste des personnages. La réalisation est elle aussi assez banale avec notamment au début du film cette comparaison naïve avec un animal tombant dans les griffes du prédateur. Coté action, ce n’est pas plus réjouissant avec seulement une petite course dans les rues parisiennes et un gunfight sans inspirations. Si on utilisait réellement 100% des capacités de notre cerveau, il y a de grandes chances qu’on évite ce film !

     

    Il faut le voir pour : Vous contenter d’exploiter 29.09% de votre cerveau, ce sera déjà pas si mal !

  • Warm bodies

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    Ça fait des jours et des jours que notre pote R (Nicholas Hoult) traine dans cet aéroport et pour cause c’est un mort-vivant ! Alors qu’il partait à la recherche d’un petit en-cas, il tombe sur un groupe d’humains parmi lequel se trouve la belle et très vivante Julie (Teresa Palmer). Vous ne le croirez peut-être pas mais notre zombie a un vrai coup de foudre et après avoir dégusté un peu de cervelle, il réussit à la ramener dans son antre ; un avion abandonné. Evidemment, Julie a du mal à comprendre ce qui lui arrive mais s’aperçoit rapidement que R ne lui veut pas de mal bien au contraire et si ces morts-vivants étaient capables de redevenir les êtres humains qu’ils étaient avant ?

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    Le zombie fait toujours recette au petit comme au grand-écran mais avec Warm bodies on change les habitudes puisqu’on nous réserve une petite comédie romantique ! Mais oui après les vampires et les loups-garous,  les mort-vivants ont eux aussi le droit d’aimer et ça pourrait même les conduire à une guérison inespérée. Une idée plutôt amusante pour une comédie qui se contente du strict minimum car on ne peut pas dire qu’on s’éclate à faire réveiller des morts. C’est sur qu’on passe un moment sympathique en compagnie de nos héros mais l’histoire adopte un schéma convenu ce qui enlève pas mal de charme au film.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que tous les chômeurs portent des sweat-shirts à capuche !

  • Damsels in distress

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    Etudiante en 2ème année, Lily (Analeigh Tipton) vient d’être transférée à l’Université de Seven Oaks. Un peu perdue, elle est repérée par Violet, Heather & Rose (Greta Gerwig, Carrie MacLemore & Megalyn Echikunwoke) qui vont alors devenir ses nouveaux potes d’enfance allant jusqu’à lui proposer de partager la même chambre. C’est la découverte d’un groupe très particulier, sensible à certaines odeurs mais qui s’occupe également d’un centre de prévention contre le suicide (et inutile de jouer les dépressifs pour avoir des donuts et du café à l’œil !). L’année qui se profile s’annonce riche en surprises !

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    Projeté en plein cœur d’une université américaine, on pouvait craindre que ce Damsels in distress ne tombe dans la comédie facile ou tout simplement sur un énième et vulgaire teen-movie mais il cache quelques atouts dans sa manche. Non ce qui nous est offert c’est un film assez décalé pourvu de dialogues à priori superflus mais qui peuvent parfois prendre des directions très étonnantes. En l’occurrence, difficile d’oublier la confession de Lily sur les pratiques sexuelles prônées par la religion Cathare. Il faut un certain temps pour s’adapter à l’esprit particulier du film ; imprévisible, presque loufoque dommage que ça ne se confirme pas sur la durée.

     

    Il faut le voir pour : Aller acheter une balle anti-stress.

  • Crazy, stupid, love

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    La soirée s’achevait et le diner s’était plutôt bien déroulé jusque-là mais en guise de dessert Cal (Steve Carell) vient d’apprendre que sa femme Emily (Julianne Moore) demande le divorce après 25 ans de mariage. Ce n’est pas tout puisqu’elle lui révèle également qu’elle l’a trompé avec David Lindhagen (Kevin Bacon), un collègue de bureau. Cal redevient donc bien malgré lui célibataire et noie ses soirées dans un bar où il ressasse ses désillusions à qui veut bien l’entendre et justement cela arrive aux oreilles de Jacob (Ryan Gosling) qui va le prendre en main. Celui-ci est le tombeur de la boite, (presque) aucune femme ne lui résiste et il va révéler tous ses secrets à son nouveau pote d’enfance. Première mission : changer complètement sa garde-robe et en un instant Cal va devenir le nouveau playboy du coin.

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    Quand Julianne Moore fait sa crise de la quarantaine, c’est notre pote Steve Carell qui en fait les frais et ça donne une comédie bien sympathique. Il ne faut pas être trop regardant sur le scénario qui reste très basique mais on s’attache rapidement aux personnages de Crazy, stupid, love et même le beau gosse Ryan Gosling parvient à se rendre charmant avec ses abdominaux en béton qui en énerveront plus d’un. Les seconds rôles (Jessica & Robbie) ont également une place importante dans le film et apportent un peu plus de fantaisie ainsi qu’une pointe de fraîcheur à l’histoire. Ça n’a rien de la comédie incontournable mais c’est en tout cas un film agréable qui vous fera sans aucun doute passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Répéter la chorégraphie de Dirty Dancing.