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  • Les ailes de l'enfer

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    Un soir tout a bousculé pour notre pote Cameron Poe (Nicolas Cage). Alors qu'il voulait simplement se défendre, ce militaire tue accidentellement un de ses agresseurs ce qui le condamnera à une peine de prison. Il faudra attendre 8 ans pour qu'il soit libéré mais avant de revoir sa femme Tricia (Monica Potter) et surtout sa fille Casey (Landry Allbright) qu'il n'a jamais vu, il va lui falloir encore un peu de patience. Il prend en effet place dans un avion particulier puisqu'il sert pour les transferts de prisonniers et voilà comment il se retrouve accompagné des pires criminels du pays. Les choses vont s'empirer lorsque ces prisonniers parviennent à prendre le contrôle de l'avion sous le commandement d'un certain Cyrus (John Malkovich).

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    Soyons clairs, Les ailes de l'enfer c'est avant tout un petit plaisir coupable. En fait, il s'agit d'un de mes souvenirs d'adolescence qui remonte à la surface dès que je vois Nicolas Cage et sa coupe improbable (une de plus diront certains). Paré d'un scénario aussi basique que caricatural où brille notre héros boy-scout, ce film signé Simon West ne fait pas dans la dentelle et offre son lot d'action faisant son effet. N'oublions pas non plus un casting bien riche qui rassemble entre autres John Malkovitch, Steve Buscemi, John Cusack ou encore Danny Trejo ! C'est comme une mauvaise friandise ; on a beau savoir que c'est gorgé d'artifices, on finit quand même par se laisser tenter.

  • Maps to the stars

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    Après un séjour en Floride, notre pote Agatha (Mia Wasikowska) vient de débarquer à Hollywood et ce n’est pas vraiment pour partir à la chasse aux autographes ! Pourtant grâce à la relation qu’elle a tissée avec Carrie Fisher, la jeune femme va devenir l’assistante personnelle de l’actrice Havana Segrand (Julianne Moore). Cette dernière veut par tous les moyens décrocher un rôle important dans le prochain film Stolen waters. Il s’agit en fait d’un remake et la particularité c’est que Clarice Taggart (Sarah Gadon), la mère d’Havana tenait le premier rôle de l’œuvre originale il y a 30 ans. Ce serait un coup du destin magnifique d’autant que les relations entre cette mère et cette fille ont été pour le moins tumultueuses.

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    Hollywood ce n’est pas que le strass et les paillettes, non ici c’est plutôt cures de désintoxications associées à des relations familiales plus qu’ambigües avec une bonne dose de cynisme. Si Juliane Moore se montre savoureuse en actrice névrosée et sans scrupules, on est aussi séduit par le jeune Evan Bird qui fait preuve d’une maturité étonnante. Malheureusement, au-delà de ces performances Maps to the stars n’a rien de très attractif puisqu’on tombe rapidement dans une espèce de léthargie dont on ne sortira jamais. Une fois encore David Cronenberg nous déstabilise mais dans le cas présent ce n’est pas vraiment de manière positive.

     

    Il faut le voir pour : Créer un compte Twitter si vous voulez devenir pote d’enfance avec des stars.

  • Le majordome

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    Ce n’était encore qu’un jeune garçon lorsque note pote Cecil Gaines (Michael Rainey Jr. / Aml Ameen / Forest Whitaker) a vu son père abattu d’une balle dans la tête alors qu’il travaillait dans un champ de coton. Quelques années plus tard, il quittera une mère qui a totalement perdu l’esprit depuis ce drame et parvient à trouver un emploi à l’Hôtel Excelsior de Washington avant de rejoindre la prestigieuse Maison-Blanche. En tant que majordome, il aura ainsi l’honneur de servir 8 présidents de Dwight Eisenhower (Robin Williams) à Ronald Reagan (Alan Rickman) en passant par John Kennedy (James Marsden) mais sera surtout le témoin privilégié de l’évolution politique de son pays envers ses concitoyens Afro-Américains.

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     « Le film qui a fait pleurer Barack Obama ». En voilà une belle promotion  pour un film inspiré de la véritable histoire d’Eugene Allen qui aura passé 34 années au sein de la Maison-Blanche. Lee Daniels propose ainsi une incroyable fresque historique à travers le personnage de Cecil Gaines qui se trouve aux premières loges devant l’évolution de la situation des noirs-américains. Impossible de ne pas souligner la performance de Forest Whitaker qui trouve là un rôle phare de sa carrière mais je n’ai pas trouvé dans ce film la dose d’émotions qui réussit à transcender cette œuvre pour la rendre incontournable. Avec son casting fleuve, Le majordome offre une belle histoire qui mérite évidemment d’être partagée sans pour autant nous marquer réellement.

     

    Il faut le voir pour : Réviser l’histoire des Etats-Unis !

  • Le majordome

    Il est certainement l’un des plus anciens pensionnaires de la Maison Blanche, Forest Whitaker va incarner Le majordome inspiré d’une véritable histoire et qui bénéficie qu’un casting richissime où l’on croisera aussi bien John Cusack, Jane Fonda, Robin Williams ou encore Mariah Carey, Lenny Kravitz et même Oprah Winfrey !

    Date de sortie : 11 Septembre 2013


  • L'ombre du mal

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    Baltimore, notre pote Edgar Allan Poe (John Cusack) est un auteur en manque de reconnaissance plus habitué aux moqueries qu’aux louanges. Il va pourtant découvrir qu’il a un admirateur secret qui s’inspire de ses écrits pour commettre d’horribles crimes, une enquête dont est en charge l’inspecteur Fields (Luke Evans). Il est le premier à avoir décelé les similitudes avec les nouvelles de Poe et c’est tout naturellement que l’écrivain est devenu son principal suspect. L’auteur sera cependant rapidement mis hors de cause et va devenir un précieux allié pour découvrir l’identité du tueur d’autant plus que ce dernier va enlever sa bien-aimée Emily Hamilton (Alice Eve) au nez et à la barbe de la police !

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    Célèbre par ses écrits, Edgar Allan Poe est mort dans des circonstances mystérieuses ce qui a permis de fantasmer les aventures de L’ombre du mal. On est donc plongé dans un thriller directement inspiré de ses œuvres en compagnie d’un John Cusack plutôt terne dans la peau du nouvelliste. L’idée de départ est plutôt intéressante seulement le film de James McTeigue (V pour Vendetta / Ninja assassin) ne propose lui rien de très excitant ; l’intrigue est assez linéaire tout comme le jeu global des acteurs. S’il n’a rien de rédhibitoire, difficile d’être réellement emballé et il n’y a vraiment rien qui donne envie de se rendre dans les salles pour le découvrir. Pas inoubliable quoi !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous identifier aux héros de vos romans !

  • La machine à démonter le temps

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    Parce que leur pote d’enfance Lou (Rob Corddry) s’est retrouvé à l’hôpital après ce qui parait être une tentative de suicide, Adam & Nick (John Cusack & Craig Robinson) ont décidé de s’offrir un séjour à Kodiak Valley. Un voyage qui leur rappelle de merveilleux souvenirs et qu’ils vont tenter de partager avec Jacob (Clark Duke), le neveu d’Adam mais les temps ont changé ! Ce n’est plus le paradis qu’ils avaient connu auparavant et ils ne peuvent que se consoler dans le spa qui, en raison d’un court-circuit, se transforme en une machine à voyager dans le temps. Ainsi lorsqu’ils se réveillent, ils sont de retour en 1986 et doivent prendre leurs précautions pour ne pas modifier le futur, leur présent !

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    Voyager dans le temps reste certainement le fantasme ultime de l’homme et pour notre quatuor de potes d’enfance, c’est l’occasion de revivre l’un des plus grands moments de leur vie. La machine à démonter le temps est une comédie tout à fait convenable avec quelques vannes bien inspirées (excellent le coup de la couleur de la peau de Michael Jackson comme repère temporel) mais qui va passer inaperçu chez nous en l’absence de grandes stars (hormis John Cusak). Un mélange de Retour vers le futur et d’American Pie qui ne s’impose pas pour une soirée au cinéma mais qui fera bien l’affaire pour se détendre lors d’une soirée DVD.

     

    Il faut le voir pour : Avoir un brin de nostalgie !

  • 2012

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    C'est en 2009 que l'on a découvert les prémices de la catastrophe, le professeur Adrian Helmsley (Chiwetel Ejiofor) était revenu d'Inde avec d'inquiétantes analyses. Très vite, ces informations ont été communiquées au Président des Etats-Unis (Danny Glover) puis aux autres chefs d'Etat. Nous sommes en 2012, chez Jackson Curtis (John Cusack) qui s'apprête à partir camper avec ses enfants du coté du Parc de Yellowstone. Sur place, le lac qu'il avait connu dans le passé s'est asséché et plus étrange, il constate la présence de l'armée. Il l'ignore encore mais le monde est sur le pont d'être profondément bouleversé, la Terre telle que nous la connaissons vit ses dernières heures.

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    Les films catastrophes ont plutôt bonne cote sur le grand écran et pour cause, ce genre d'évènements s'encre plus que jamais dans notre réalité. Selon de nombreuses croyance mayas, 2012 devrait être la date fatidique, celle où toute vie cessera sur Terre et surtout où Ciné2909 disparaitra ! C'est notre ami Roland Emmerich qui vient une nouvelle fois ravager notre planète avec un film gigantesque au niveau visuel mais au contenu peu novateur (Comment ça c'est un pléonasme ?). On retrouve ainsi le héros, un homme ordinaire qui se transcende pour échapper aux catastrophes en chaine et sauvant par la même occasion sa famille et l'humanité égoïste qui va se repentir. Pop-corn movie à apprécier sur grand écran pour ses effets spéciaux mais pas forcément indispensable.

     

    Il faut le voir pour : Mettre 1 milliard d'euros de coté pour 2012, on sait jamais.

     

  • Grace is gone

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    Quand elle est partie défendre les couleurs de son pays en Irak, Stanley Philipps (John Cusack) était très fier de sa femme. Il aurait lui aussi voulu prêter main forte à son armée mais sa vue déficiente a condamné sa carrière militaire et le voilà aujourd’hui gérant de magasin. Avec l’absence de sa femme, il doit également prendre soin de ses 2 adorables filles que sont Dawn & Heidi (Gracie Bednarczyck & Shélan O’Keefe). Un jour, 2 officiers viennent frapper à sa porte venant lui apprendre une nouvelle qu’il redoutait. Encore abasourdi par ce drame, il n’arrive pas à l’annoncer à ses enfants et sur un coup de tête va les conduire au Jardin enchanté, une fuite qui ne pourra pas durer éternellement. Il faudra se résoudre à admettre que Grace est partie.

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    On le sait l’implication militaire américaine en Irak a divisé l’opinion publique avec d’un coté les défenseurs d’une paix mondiale utopique et des patriotes fiers de voir leur armée combattre pour un semblant de justice. Malgré un Stanley plutôt favorable à cette intervention, Grace is gone nous ramène sur terre en s’intéressant avant tout au sort de cette famille abandonnée au désespoir. Retardant une échéance que l’on sait inéluctable et point culminant en terme d’émotion ; ce road-movie traine un peu en longueur mais en même temps ne prend pas cause à un parti quel qu’il soit. Devant la disparition d’un proche, il n’y a plus vraiment grand-chose à comprendre ; que l’on soit partisan ou opposant à ce conflit ; la souffrance reste immense.

     

    Il faut le voir pour : Partager avec votre enfant sa première clope (et savoir jouer un peu de la comédie).

  • Chambre 1408

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    Mike Enslin (John Cusack) est un écrivain dont le talent lui promettait un avenir doré. Une promesse de bonheur qui a volé en éclat à la suite d’un drame familial qui le hante encore aujourd’hui. Depuis, notre pote arpente les routes devenant le spécialiste des hôtels qui se prétendent hantés. Pour parachever son dernier ouvrage, il décide de se rendre à New York au Dolphin Hotel, dans la Chambre 1408. A en croire le directeur de l’hôtel, M.Olin (Samuel L. Jackson) ; Mike ne tiendra pas plus d’une heure dans ce lieu qui a vu plus de 50 morts. Pour lui aucun doute, tout cela fait parti de la mise en scène pour attirer les clients mais si il se trompait ?

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    Reprenant la bonne vieille recette de la maison hantée appliquée à une petite chambre d’hôtel ; Chambre 1408 est un petit film sans prétention aucune mais qui s’avère un bon divertissement. Par son espace restreint, le sentiment d’oppression se fait grandissant nous plongeant dans l’angoisse la plus totale. Après 1 heure enfermée dans la chambre, on trouve quand même le temps un peu longuet d’autant plus que le fantastique prend vite le dessus. Le genre de film à voir dans de bonnes conditions pour en profiter pleinement sans nous offrir un spectacle exceptionnel mais qui vous fera sans aucun doute passer le temps.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus aller à l’hôtel.

  • Le contrat

     

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    Depuis la mort de sa mère emportée par un cancer, notre pote Chris Keene (Jamie Anderson) semble perturbé malgré les efforts de son père Ray (John Cusack). Pour resserrer leurs liens, Père et fils décident de partir camper, entrer en communion avec la nature mais ce séjour va très rapidement se transformer en enfer ! Ils tombent nez à nez avec Frank Carden (Morgan Freeman), un prisonnier qui dit travailler en tant qu’agent des Opérations Spéciales. Ses hommes de main sont bien décidé à le récupérer et qu’importe le prix à payer mais ils ne sont pas les seuls dans la course.

     

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    Film d’action typiquement américain avec son lot d’armes à feu, d’explosions, cascades en tous genres, un soupçon de complot gouvernemental sans oublier un brin (mais alors tout petit) d’émotion. Ça a des allures de Fugitif en version allégée avec une tension beaucoup moins palpable et on se surprend à admirer davantage les paysages que les prestations de Morgan Freeman et John Cusack. Vous ne découvrirez rien de nouveau avec Le contrat si ce n’est une belle excursion en foret mais quitte à le faire mieux vaut l’effectuer réellement plutôt que de s’enfermer au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Constater ce qu’il en coute de fumer au restaurant.