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victor rasuk

  • Cinquante nuances de Grey

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    Pour rendre service à sa pote d'enfance Kate (Eloise Mumford), Anastasia Steele (Dakota Johnson) a accepté de se rendre à Seattle pour mener une interview. C'est ainsi qu'elle va faire la connaissance de Christian Grey (Jamie Dornan), un homme d'affaire de 27 ans à qui tout semble sourire et ce sera une rencontre déterminante pour cette jeune étudiante. Déjà très troublée durant l'entretien, Ana a du mal à le chasser de son esprit et cela semble réciproque puisque Christian réapparaît soudainement dans la boutique où elle travaille. C'est ainsi que leur relation commence et elle s'annonce tumultueuse car cet homme va révéler avoir des goûts assez particuliers.

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    Que celui qui n'a pas entendu parler du succès littéraire de E.L. James prennent 29 coups de fouets (et je sais que certains vont apprécier). Porté à l'écran par Sam Taylor-Johnson, inutile de préciser que Cinquante nuances de Grey était attendu au tournant et en voyant le film on peut quand même se demander pourquoi. En fait, on aurait tout aussi bien pu lui donner le titre de Cinquante clichés pour romance à l'eau de rose parce qu'entre le beau gosse riche, qui sait jouer du piano, piloter un hélico et la jeune étudiante maladroite, qui manque de confiance on a droit à un festival. Les quelques scènes sulfureuses qui ont fait la réputation de l’œuvre pourraient être choquantes si on retournait 20 ans en arrière, aujourd'hui en 2015 c'est comme le film ; plutôt anecdotique.

     

    Il faut le voir pour : Réaménager votre salle de jeux et pas question d'y remettre votre X-Box !

  • Godzilla (2014)

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    Il y a 15 ans, notre pote Ford (Aaron Taylor-Johnson) vivait au Japon avec ses parents mais il a eu le malheur de perdre sa mère lors d’un terrible séisme. Du moins c’est la version officielle mais son père Joe (Bryan Cranston) est convaincu qu’on lui cache quelque chose et veut absolument découvrir la vérité, il le doit pour sa femme. C’est ainsi que Ford, à peine revenu chez lui à San Francisco, doit déjà repartir au Japon où son père a été arrêté pour avoir pénétré dans une zone placée en quarantaine. Tous deux vont alors se retrouver impliqués dans une histoire incroyable où va apparaitre un monstre gigantesque du nom de Godzilla qui va changer à jamais le visage du monde.

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    A l’occasion des 60 ans de la créature crée par le studio Toho, ce ne seront pas les japonais qui vont préparer le gâteau mais nos cousins américains. Cette version de Godzilla n’a pas été confiée à n’importe qui puisque c’est Gareth Edwards (Monsters) qui tient la caméra et l’on nous annonce déjà une trilogie ! Ajoutez à ça les participations de Bryan Cranston & Aaron Taylor-Johnson et sur le papier cette incarnation du célèbre monstre avait de quoi donner l’eau à la bouche. Sauf que la déception n’aura d’égal que l’immensité du monstre ; quel ennui devant le film avec son scénario peu excitant. On nous apprend de ne pas essayer de contrôler la nature et si la sélection naturelle est bien faite, cette nouvelle version ne devrait pas survivre très longtemps.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre réellement pourquoi Chirac a fait des essais nucléaires.

  • Monsieur Flynn

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    Depuis son enfance, notre pote Nick Flynn (Paul Dano) ambitionne de devenir un jour écrivain, une vocation qui résulte des nombreuses lettres envoyées par un père absent. Durant 18 ans, Jonathan (Robert De Niro) n’a pas pris de nouvelles de son fils et puis un jour il décide de l’appeler pas vraiment pour reprendre contact mais plutôt pour lui demander un service. Suite à une légère altercation avec le voisinage, Jonathan est expulsé de son appartement et fait ainsi appel à Nick pour qu’il l’aide à déménager ses affaires. Leurs retrouvailles n’iront pas plus loin et il faudra attendre plusieurs mois avant qu’ils ne se croisent de nouveau dans des conditions particulières. Nick travaille désormais dans un centre d’aide aux sans-abris et se retrouve sans voix lorsque son père se présente devant lui.

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    Inspirée de la véritable expérience de Nick Flynn qu’il a retranscrit dans son livre Another bullshit night in suck city, ce film de Paul Weitz revient sur une relation père / fils pour le moins unique et tumultueuse. Robert De Niro incarne avec conviction un père absent et fantasmé par son fils en un talentueux écrivain avant que la réalité ne laisse finalement place à un chauffeur de taxi raciste et homophobe. Face à lui, Paul Dano malgré une prestation plus qu’honorable a un peu de mal à donner le change et imposer sa présence. On retiendra donc surtout de Monsieur Flynn le jeu de De Niro qui nous réconcilie un peu avec l’acteur qui s’était un peu égaré après les récents Happy new year ou L’amour a ses raisons.

     

    Il faut le voir pour : Penser à vos voisins et faire moins de bruits sinon vous allez avoir de la visite !