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marc andreoni

  • 3 days to kill

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    Non seulement sa dernière mission en Serbie a été un désastre mais en plus de cela, notre pote Ethan Renner (Kevin Costner) vient d’apprendre qu’un cancer va l’achever d’ici 6 mois. Le temps lui manque et celui qui était jusqu’ici un agent hors-pair de la CIA veut remettre un peu d’ordre dans sa vie. C’est ainsi qu’il fait ses valises pour Paris où vivent sa femme Christine (Connie Nielsen) et sa fille Zooey (Hailee Steinfeld) qu’il a bien trop délaissées ces dernières années. On ne s’improvise pas père du jour au lendemain et il y a aussi des rancœurs difficiles à effacer mais Ethan est prêt à faire des efforts. Cependant, il n’avait pas prévu sa rencontre avec Vivi Delay (Amber Heard) qui a besoin de ses talents et lui propose un traitement expérimental pour se soigner.

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    Le retour de Kevin Costner nous rendait déjà assez pessimiste mais à la réalisation on a McG  et un léger espoir persiste alors. Mais lorsqu’au générique apparait le nom de Luc Besson présent comme producteur mais surtout en tant que co-scénariste, un frisson nous parcourt. On ne va pas se mentir, l’histoire de 3 days to kill est à la fois dépassée et parsemée d’idées préconçues. Qu’il s’agisse des personnages ou des situations, on ne frôle même plus le ridicule on tombe à pied joint dedans. Le must étant tout de même cette belle leçon de vélo au Sacré cœur, il y a de quoi pleurer … de rire. Sinon, il parait aussi qu’il y a de l’action mais on se retrouve tellement désespéré par le reste que cela passe inaperçu. Vous avez 1H56 à tuer ? Allez vous promener !

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre père de vous apprendre à faire du vélo !

  • Pauvre Richard

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    Tout le quartier ne parle que de ça ; quelqu’un est l’euro gagnant de 124 millions d’euros, une fortune qui fait bien des envieux ! La question est maintenant de savoir qui est l’heureux élu et il suffira d’attendre une livraison de meubles pour que tout le monde sache qu’il s’agit de Richard (Frédéric Diefenthal). Pourtant, il ne faut pas se fier aux apparences car le véritable gagnant est en fait son pote d’enfance Omar (Yacine Belhousse) qui a préféré garder l’anonymat  et semant un peu plus le trouble. Désormais Richard est sollicité de toute part et il n’en peut vraiment plus, il ne veut désormais qu’une chose : retrouver le gagnant et régler ses comptes !

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    Allez, on en a tous rêvé et si j’étais riche …. Bon revenez vite sur Terre car pour l’instant on se retrouve avec Pauvre Richard et c’est vrai qu’en terme de pauvreté, on est gâté ! On sera conciliant et on passera outre un scénario très léger par contre niveau réalisation et jeu d’acteurs, on est plus proche du film amateur qu’autre chose. Bien sur, le film de Malik Chibane n’a pas bénéficié d’un grand budget mais le problème c’est que ceci est bien trop flagrant à l’écran (est-ce trop compliqué d’avoir des ordinateurs allumés dans une banque ?). Ajouté à cela des personnages bien caricaturaux plongés dans cette mer de moralité qui nous apprend que l’argent ne fait pas le bonheur et ce film le fait encore moins !

     

    Il faut le voir pour : Eviter de vous faire livrer des meubles, ça attirera le regard de vos voisins !