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morris & goscinny

  • Lucky Luke

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    C’est sur la tombe de ses parents assassinés par le Gang des tricheurs qu’il avait juré de ne jamais tué personne. Une promesse qu’il a rompu aujourd’hui en laissant pour mort Pat Poker (Daniel Prévost) et depuis ce drame, Lucky Luke (Jean Dujardin) n’est plus le même cow-boy. Celui que l’on considérait comme la meilleure gâchette de tout le Far-West, l’homme qui tire plus vite que son ombre a pris la décision de raccrocher son colt. Il a repris la ferme de ses parents en compagnie de Belle (Alexandra Lamy) pour mener une vie paisible ; loin des malfrats. Mais le Far-West sans Lucky Luke c’est comme un saloon sans bagarres et il va se rendre compte que sa retraite était un peu anticipée.

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    Si l’on excepte la version légère de Terence Hill et son apparition anecdotique chez Les Dalton de Philippe Haim ; Lucky Luke connait ici sa première véritable adaptation au cinéma. Après Brice de Nice, James Huth célèbre ses retrouvailles avec Jean Dujardin impeccable dans ses bottes et incarnant à la perfection le célèbre cow-boy. Après une première partie très riche aussi bien en action qu’en détails se référant à l’œuvre de Morris & Goscinny, le film perd un peu de sa vigueur. Ce ne sont pas les apparitions de Calamity Jane (étonnante Sylvie Testud), Billy the kid ou Jesse James qui parviendront à relancer la machine. Et puis il y aura de la déception également à ne pas voir à l’écran Ran Tan Plan ou Les Dalton.

     

    Il faut le voir pour : Foutre une baffe à tous ceux qui vous disent merci car faut jamais dire merci !