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film - Page 44

  • Dernier combat

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    La boxe c’était du passé pour notre pote Sailor O’Connor (Dominic Purcell) jusqu’à ce qu’on lui propose une offre très intéressante. Le jeune King Solomon (Izaak Smith) est un grand boxeur en devenir et on lui cherche donc un adversaire d’envergure et Sailor qui n’a jamais été K.O. semblait tout désigné. L’objectif de ce dernier n’est pas tant de poursuivre cette incroyable série mais il souhaite avant tout gagner assez d’argent pour offrir à sa mère gravement malade un voyage en Irlande. De son coté, King va prochainement devenir père de famille et une victoire lui assurerait un solide apport financier.

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    SI le héros Sailor O’Connor peut se targuer de n’avoir jamais été K.O. ce n’est pas non plus Dernier combat qui réussira à nous mettre au tapis. Rapidement on découvre le combat entre les 2 boxeurs mais l’histoire va se construire à travers de (trop) nombreux flashbacks. Coté scénario rien de très brillant ; des héros au parcours mouvementé pour essayer de susciter l’empathie du spectateur mais sans convictions. On ne sera pas plus passionné par cette confrontation de boxe qui provoque plus d’ennui qu’il n’assure le spectacle. Enfin, le casting nous laisse indifférent que ce soit Dominic Purcell bien sans panache ou encore Famke Janssen qui ne semble là que pour apporter son nom au générique.

  • Valentin Valentin

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    Le corps sans vie de Valentin (Vincent Rottiers) a été retrouvé sous le petit pont. C’est une tragédie qui émeut tout un quartier où le jeune homme était apprécié de tous. A bientôt 30 ans, il avait touché un gros héritage de sa tante qui l’avait décidé de prendre une année sabbatique et à s’acheter un appartement. Au sein de cet immeuble, l’arrivée de Valentin n’a pas laissé insensible Noor, Florence & Elodie (Victoria Lafaurie, Agathe Bonitzer & Marilou Berry) qui vivent en colocation. Son charme semble opérer auprès de toutes les femmes et pourtant il va choisir la complication en s’engageant dans une relation avec Claudia (Marie Gillain) qui n’a aucuns scrupules à tromper son mari.

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    Dès les premiers instants, le spectateur est averti qu’un drame va se jouer. Le film choral s’installe et nous permet de découvrir le quotidien d’un immeuble à travers les portraits des différents habitants. Tout cela n’est qu’un prétexte pour multiplier les pistes conduisant à ce crime et nous poussant à échafauder tous les mobiles et donc coupables imaginables ; atmosphère que connait bien Pascal Thomas pour avoir adapté quelques œuvres d’Agatha Christie. C’est cette fois le roman La maison du lys tigré de Ruth Rendell qui donne naissance à Valentin Valentin, un policier qu’on appréciera surtout pour son casting éclectique et dynamique. Malgré une conclusion décevante, on passe plutôt un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre femme de ne plus s’épiler les aisselles !

  • Sébastien - Belle et Sébastien

     Alors c’est toi la bête ?

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    01.jpgMoi je m’appelle Sébastien (Félix Bossuet) et tout à l’heure avec César (Tchéky Karyo) on était à ta recherche. Il en a assez que tu lui tues des moutons alors il est bien décidé à t’attraper et tu devrais faire attention à toi parce qu’il a disposé des pièges un peu partout.

     

    Plus je te regarde et plus je me dis que tu n’as pas l’air si méchant. Je suis sur que tu n’as rien à voir avec tout ça. Allez, viens avec moi je vais te montrer où sont les pièges comment ça tu pourras les flairer et les éviter.

     

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    Tu es gentil comme tout mais qu’est-ce que tu pues. Je connais un endroit où on pourra prendre un bain. Qu’est ce que t’es beau … ah ba non t’es Belle ! Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de toi à partir de maintenant.

     

     

    En savoir plus sur Belle et Sébastien ?

  • L’affaire SK1

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    Octobre 1991. C’est un rêve d’enfant qui devient réalité pour notre pote Franck Magne (Raphaël Personnaz) qui intègre le prestigieux 36, quai des orfèvres. Ses talents d’enquêteur vont immédiatement être mis à contribution avec l’affaire Pascale Escarfail, une jeune femme retrouvée égorgée, violée et torturée. Si Franck surnommé désormais Charlie parvient à identifier des pistes intéressantes, aucune d’entre elles ne s’avèrent réellement concluantes et ce dossier va le tourmenter pendant des années. La liste des victimes s’allonge et malgré les efforts de la police, aucune piste ne leur permet de mettre la main sur le coupable. Il faudra attendre les progrès en matière de génétique pour qu’on identifie l’ADN d’un certain Guy Georges (Adama Niane) !

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    Le tueur Guy Georges avait plongé la France et notamment la ville de Paris dans une véritable psychose. L’affaire SK1 revient ainsi sur ce fait-divers hors-norme d’abord par l’horreur des crimes perpétrés mais aussi parce qu’il marque une évolution pour la police avec la mise en place du fichier national des empreintes ADN sur notre territoire. Le réalisateur Frédéric Tellier a fait le choix de s’intéresser non seulement à la traque du tueur mais aussi à son procès en 2001 alternant ainsi les 2 récits menés par Raphaël Personnaz et Nathalie Baye. A leurs cotés, on appréciera également les présences de Michel Vuillermoz, Olivier Gourmet, Thierry Neuvic ou encore la méconnue Chloé Stefani. Excellent film haletant de bout en bout.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier que votre mec n’a pas le pied égyptien !

  • Bad Milo !

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    Ça ne semble pas vraiment s’arranger pour notre pote Duncan (Ken Marino) qui souffre depuis longtemps de maux de ventre. Parallèlement à cela, son patron Phil (Patrick Warburton) a décidé de le promouvoir et voilà comment ce comptable se retrouve maintenant aux ressources humaines pour s’occupe des licenciements. Son quotidien va être soudainement bouleversé lorsqu’il apprend que son collègue Allistair (Erik Charles Nielsen) est mort à la suite de ce qui apparait être une attaque de raton-laveur ! La plus grande surprise est à venir car après un mal de ventre prodigieux, Duncan va découvrir que le coupable n’est autre que lui-même ou du moins une partie de lui-même.

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    Une créature qui sort du c.. ! Un pitch efficace qui suffit pour faire de Bad Milo ! un classique instantané ou du moins un film qu’il serait dommage de manquer. Et puis quand il n’est pas de mauvaise humeur (ce qui est rarement le cas quand on sait d’où il sort), notre créature affiche une bonne petite bouille avec ses yeux globuleux. Passé ces premières impressions plutôt délirantes, force est de constater que cette comédie a bien du mal à se renouveler par la suite. Les amateurs de la série culte Community seront quant à eux ravis de voir Gillian Jacobs. S’il n’a pas l’étoffe d’une œuvre culte, il a quand même le potentiel pour animer une bonne soirée entre potes d’enfance.

  • Chic !

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    Notre pote Hélène Birk (Marina Hands) travaille dans l’univers de la mode et c’est un job qu’elle adore mais elle pourrait prochainement voir ce rêve s’écrouler. Tout dépend en fait du prochain défilé de la célèbre Alicia Ricosi (Fanny Ardant) et ça part sur de mauvaises bases puisque celle-ci parle de tout plaquer après une déception amoureuse. Hélène a alors l’idée de lui trouver dans le plus secret un homme au moins le temps de finaliser sa nouvelle collection. Son plan connait un petit accroc car Alicia va tomber sous le charme de Julien Lefort (Eric Elmosnino) et il se trouve que ce paysagiste a été congédié sans ménagement par Hélène !

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    Vous aimez rire et vous suivez la mode ? Alors cette comédie a toutes les chances de vous plaire mais c’est peut-être aller vite en besogne car Chic ! n’a rien du produit de haute-couture. En cause d’abord un scénario cousu de fil blanc de la première jusqu’à la dernière minute. La comédie de Jérôme Cornuau ne peut pas vraiment non plus compter sur Marina Hands qui se montre peu convaincante dans la peau de cette femme carriériste et égocentrique. Le reste de la galerie de personnages n’est pas non plus très réjouissant entre un Laurent Stocker quintessence du cliché, une Fanny Ardant sans saveur et puis Eric Elmosnino qui ne peut que se fondre dans le paysage en se mettant au niveau de ce marasme.

     

    Il faut le voir pour : Prendre soin de votre jardin !

  • The riot club

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    Les premières années font leur rentrée à la prestigieuse université d’Oxford et parmi eux il y a nos potes Lauren, Miles & Alistair (Holliday Grainger, Max Irons & Sam Claflin). Ce n’est pas vraiment l’amour fou entre les deux garçons et pourtant le hasard va les réunir puisqu’ils vont devenir les nouveaux membres du Riot club. Fondé à l’origine pour rendre hommage à l’excentricité de Lord Riot, ce club s’est construit une solide réputation et beaucoup rêverait d’en faire partie. Miles & Alistair ont donc le privilège d’avoir été sollicités par les 8 autres membres d club qui organise un diner pour célébrer ces nouveaux arrivants. Direction le Bull’s head où la soirée sera arrosée et surtout très mouvementée.

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    Les premières minutes donnent d’abord l’impression que le film va voguer sur les flots du second degré mais la suite ne nous donne pas vraiment raison. Comme pour de nombreuses confréries étudiantes, The riot club se laisse ensuite aller aux traditionnels bizutages sans imagination et jusque là on se croirait dans un teen-movie à l’américaine. Pour découvrir ce qui se cache réellement derrière ce film, il faut attendre le fameux diner où les choses se dérident mais là encore nos attentes ne sont pas totalement comblées. Même s’il met un peu de temps à démarrer, c’est plutôt sympa et si l’histoire avait fait preuve d’un peu plus de provocation ça aurait pu être une très bonne surprise.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de laisser trainer votre portable quand vous sortez avec vos "potes d’enfance" !

  • Peur sur la ville

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    Une femme a été retrouve morte défenestrée depuis le 17ème étage de son immeuble. Elle s’appelait Nora Elmer (Léa Massari) et quelques instants avant le drame, elle avait contacté la police pour signaler d’inquiétants appels téléphoniques. L’affaire est désormais aux mains du Commissaire Jean Letellier (Jean-Paul Belmondo) qui a lui surtout envie de mettre le grappin sur Marcucci (Giovanni Cianfriglia) qui a ruiné sa carrière. L’actualité va cependant le rattraper ; Nora fut victime d’un homme mystérieux se faisant appeler Minos (Adalberto Maria Merli) et il ne compte pas s’arrêter là. Ses victimes sont toutes des femmes qui selon lui méritent leur châtiment en raison de leur comportement jugé trop frivole.

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    Les premières notes de la musique composée par un certain Ennio Moriconne nous font immédiatement pénétrer dans l’atmosphère angoissante du film. Visuellement Peur sur la ville a bien pris quelques rides mais sur le fond, ça reste encore un polar de référence en grande partie grâce à la participation de notre cher Jean-Paul Belmondo. Flic qui ne connait pas la peur, il ne recule pas devant une fusillade ou encore une poursuite sur les toits de Paris d’autant plus qu’à l’époque il n’avait pas besoin qu’un cascadeur prenne sa place ! Pour tout ça, on a donc là un véritable classique du cinéma français qu’on ne rechigne jamais à revoir.

     

    La scène culte à ne pas louper : La poursuite en métro !

  • A most violent year

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    New York City, 1981. La ville doit faire face à une forte criminalité et c’est dans ce contexte hostile que notre pote Abel Morales (Oscar Isaac) va vivre des moments difficiles. A la tête de la Standard Heating Oil, il est aujourd’hui à une étape charnière puisqu’il s’est engagé à acheter un terminal qui sera le lieu stratégique pour ses futures activités. Il compte sur le soutien de sa banque pour apporter les investissements nécessaires mais une série d’évènements va perturber l’affaire. Cela fait 2 ans que le procureur Lawrence (David Oyelowo) examine scrupuleusement les dossiers de la société d’Abel et surtout celui-ci doit subir une série d’agressions visant ses chauffeurs de camions-citernes.

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    A la tête de A most violent year, nous avons J.C. Chandor qui comme à son habitude signe à la fois le scénario et la réalisation. Si on ne sera pas forcément scotché par son scénario finalement assez banal, on est davantage captivé par cette nouvelle performance d’Oscar Isaac. Il est tout simplement impeccable dans sa panoplie complète du parfait gangster mais qui met (presque) toujours un point d’honneur à rester dans le droit chemin. Quant à Jessica Chastain elle s’impose avec son caractère affirmé et on en vient à regretter que ce personnage n’ait pas bénéficié d’un peu plus de présence à l’écran. Par contre si vous vous attendez à une succession de règlements de comptes, vous faites fausse route car ici on privilégie la psychologie à l’action.

     

    Il faut le voir pour : Vérifier votre jardin avant de laisser vos enfants y jouer !

  • Middleton

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    Ça va être une journée chargée pour notre pote Conrad Hartman (Spencer Lofranco) qui se rend à l’Université de Middleton. Le jeune garçon va en effet visiter l’établissement mais ne semble pas aussi convaincu malgré l’enthousiasme de son père George (Andy Garcia). Tout le contraire d’Audrey Martin (Taissa Farmiga) qui tient plus que tout à rejoindre Middleton car elle aimerait y suivre les cours dispensés par le professeur Riley (Mirjana Jokovic). C’est sa mère Edith (Vera Farmiga) qui l’accompagne durant cette journée découverte maiselle trouvera vite un moyen de s’éclipser. Ce qui est inattendu c’est que George va la suivre et qu’ils ne sont pas prêts d’oublier ce qu’ils vont partager.

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    Passage important dans la vie d’un étudiant américain, le choix d’une université c’est tout un rituel. Bien sur, Middleton s’éloigne assez vite de ces élèves pour s’intéresser surtout au couple Vera Farmiga / Andy Garcia incarnant des personnages au caractère on ne peut plus opposés. On est alors convié à une visite des lieux plutôt insolite où les deux parents s’amuseront à "emprunter" des vélos, se cacheront dans les buissons ou encore s’inviteront dans un cours de théâtre. Si le duo est plutôt mignon, leurs roucoulades nous lassent assez vite et au même titre qu’un cours ennuyeux, on attend avec une certaine impatience que ça se termine !