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  • The riot club

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    Les premières années font leur rentrée à la prestigieuse université d’Oxford et parmi eux il y a nos potes Lauren, Miles & Alistair (Holliday Grainger, Max Irons & Sam Claflin). Ce n’est pas vraiment l’amour fou entre les deux garçons et pourtant le hasard va les réunir puisqu’ils vont devenir les nouveaux membres du Riot club. Fondé à l’origine pour rendre hommage à l’excentricité de Lord Riot, ce club s’est construit une solide réputation et beaucoup rêverait d’en faire partie. Miles & Alistair ont donc le privilège d’avoir été sollicités par les 8 autres membres d club qui organise un diner pour célébrer ces nouveaux arrivants. Direction le Bull’s head où la soirée sera arrosée et surtout très mouvementée.

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    Les premières minutes donnent d’abord l’impression que le film va voguer sur les flots du second degré mais la suite ne nous donne pas vraiment raison. Comme pour de nombreuses confréries étudiantes, The riot club se laisse ensuite aller aux traditionnels bizutages sans imagination et jusque là on se croirait dans un teen-movie à l’américaine. Pour découvrir ce qui se cache réellement derrière ce film, il faut attendre le fameux diner où les choses se dérident mais là encore nos attentes ne sont pas totalement comblées. Même s’il met un peu de temps à démarrer, c’est plutôt sympa et si l’histoire avait fait preuve d’un peu plus de provocation ça aurait pu être une très bonne surprise.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de laisser trainer votre portable quand vous sortez avec vos "potes d’enfance" !

  • Pride

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    1984 en Angleterre. La politique de fer instaurée par Margaret Thatcher secoue le pays et provoque ce qui sera la plus grande grève des mineurs ; un mouvement qui ne se déroule pas toujours de manière pacifique. Cette situation, notre pote Mark (Ben Schnetzer) la connaît assez bien puisqu’il la vit tous les jours ; être homosexuel lui a valu de nombreuses discriminations. Il décide ainsi avec d’autres potes d’enfance de créer le LGSM en solidarité avec les mineurs et de récolter les fonds qui pourraient les aider. Seulement lorsqu’ils contactent les syndicats, ces derniers se montrent très frileux jusqu’au moment où la LGSM entre directement en contact avec un village du Pays de Galles.

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    Après de ce film, un constat s'impose : c'est une histoire tout de même merveilleuse qui méritait vraiment la peine d’être racontée sur le grand écran. Inspiré de faits réels, Pride nous invite ainsi à découvrir le destin commun de 2 mondes totalement différents à savoir les travailleurs et les homosexuels. Au niveau du récit, le réalisateur Matthew Warchus s'appuie sur un schéma très classique mais on se laisse entraîner avec grand plaisir par cet exemplaire élan de solidarité parcouru par quelques rires. Un feel-good movie qui redonne un peu foi en l'humanité et donc c'est à ne pas manquer d'où ce Coup de cœur Cin2909 !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de croire que les lesbiennes sont végétariennes !