Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

holliday grainger

  • The finest hours

    star 02.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Février 1952 à proximité des côtes du Massachussetts. Une terrible tempête fait rage et à bord du SS Pendleton, l’inquiétude grandit. Ray Sybert (Casey Affleck) craint en effet que le pétrolier ne tienne pas le coup face à la mer déchainée et ses prédictions s’avèrent malheureusement exactes. Ce que ses hommes et lui n’imaginaient pas c’était l’étendue des dégâts puisque le navire a été littéralement coupé en deux ! Pendant ce temps, les garde-côtes sont sur le pied de guerre ; ils ont reçu un appel de détresse mais celui-ci a été envoyé par un autre pétrolier ayant subi le même sort et pour le moment ils ignorent tout du sort du Pendleton. C’est finalement une petite équipe menée par Bernie Webber (Chris Pine) qui va se lancer dans une des opérations de sauvetage les plus périlleuses.

    02.jpg

    Parce que c’est un véritable acte héroïque qu’a accompli Bernie Webber et son équipe, son histoire méritait d’être dévoilée à tous. The finest hours sait se montrer impressionnant visuellement lorsqu’il nous entraine sur les flots surtout quand il se focalise sur le sort du SS Pendleton mais la tension retombe de manière brutale lorsqu’on remet pied à terre. Ceci est notamment vrai dans la première partie où se développe la relation Miriam / Bernie pour renforcer l’aspect dramatique du scénario. Une petite déception aussi car malgré son beau casting, les personnages incarnés par Ben Foster et Eric Bana sont trop effacés. On reconnaitra le mérite de vouloir rendre hommage à un vrai héros mais ça reste au final un film assez banal.

     

     

    Il faut le voir pour : Faire appel à votre femme si vous avez peur de demander quelque chose !

     

  • Cendrillon

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Il était une fois une petite fille du nom d'Ella (Eloise Webb / Lily James) qui vivait heureuse auprès de ses parents. Son bonheur allait toutefois se fissurer une première fois avec la mort de sa mort de sa mère emportée par la maladie et bien des années plus tard, celle de son père. Entre-temps ce dernier s'était remarié avec Lady Tremaine (Cate Blanchett) et Ella se découvrit ainsi une nouvelle famille et notamment ses 2 demi-sœurs Anastasie & Javotte (Holliday Grainger & Sophie McShera). Avec la disparition de son père, la jeune femme devient progressivement une servante aux yeux de sa marâtre jusqu'au jour où elle rencontre le charmant Kit (Richard Madden).

    01.jpg

    Que le premier d'entre vous qui n'a jamais entendu parler de l'histoire de Cendrillon me jette la première chaussure en verre ! Le géant Disney a ainsi confié au britannique Kenneth Brannagh le soin d'adapter le célèbre conte et on n'a pas lésiné sur les moyens. Décors somptueux, costumes étincelants, un joli couple Lily James / Richard Madden et quelques effets spéciaux scintillants viennent réveiller la petite princesse qui sommeille en vous. Fidèle au conte de fée que l'on connaît, ce scénario sans surprises n’empêchera pas les nombreux spectateurs de retomber en enfance pour se laisser charmer.

     

    Il faut le voir pour : Toujours être courageux et bienveillant !

  • The riot club

    star 03.jpg

    AFF.jpg

    Les premières années font leur rentrée à la prestigieuse université d’Oxford et parmi eux il y a nos potes Lauren, Miles & Alistair (Holliday Grainger, Max Irons & Sam Claflin). Ce n’est pas vraiment l’amour fou entre les deux garçons et pourtant le hasard va les réunir puisqu’ils vont devenir les nouveaux membres du Riot club. Fondé à l’origine pour rendre hommage à l’excentricité de Lord Riot, ce club s’est construit une solide réputation et beaucoup rêverait d’en faire partie. Miles & Alistair ont donc le privilège d’avoir été sollicités par les 8 autres membres d club qui organise un diner pour célébrer ces nouveaux arrivants. Direction le Bull’s head où la soirée sera arrosée et surtout très mouvementée.

    01.jpg

    Les premières minutes donnent d’abord l’impression que le film va voguer sur les flots du second degré mais la suite ne nous donne pas vraiment raison. Comme pour de nombreuses confréries étudiantes, The riot club se laisse ensuite aller aux traditionnels bizutages sans imagination et jusque là on se croirait dans un teen-movie à l’américaine. Pour découvrir ce qui se cache réellement derrière ce film, il faut attendre le fameux diner où les choses se dérident mais là encore nos attentes ne sont pas totalement comblées. Même s’il met un peu de temps à démarrer, c’est plutôt sympa et si l’histoire avait fait preuve d’un peu plus de provocation ça aurait pu être une très bonne surprise.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de laisser trainer votre portable quand vous sortez avec vos "potes d’enfance" !

  • Bel Ami

    star 01.5.jpg

    aff.jpg

    C’est au cours d’une soirée dans un bar parisien que Georges Duroy (Robert Pattinson) a retrouvé Charles Forestier (Philip Glenister), un pote d’enfance qu’il a connu 5 ans auparavant à l’armée. Les retrouvailles s’achèvent par un rendez-vous le lendemain chez Charles où il introduira son bel ami à ses connaissances et lui permettre ainsi de trouver sa place dans la capitale française. Paré d’un beau costume, Georges fait ainsi la rencontre d’hommes influents mais surtout de femmes irrésistibles à commencer par Clotilde de Marelle (Christina Ricci). Elle aussi est loin d’être insensible aux charmes du jeune homme qui ne peut cependant s’empêcher de penser à Madeleine Forestier (Uma Thurman).

    01.jpg

    Pour faire un peu son chauvin, on pourra déjà apprécier que l’une des œuvres de Guy de Maupassant fasse l’objet d’une adaptation sur le grand écran. Et puis les choses n’ont pas été faites à moitié puisque c’est un Robert Pattinson à peine sorti de son Cosmopolis qui incarne le personnage principal entouré d’une belle brochette d’actrices (Thurman, Scott-Thomas, Ricci). Seulement, on ne retiendra pas grand-chose de ce Bel Ami qui se limite aux aventures sentimentales d’un Georges Duroy insatiable. Le duo de réalisateurs Declan Donnellan & Nick Ormerod signent ainsi un premier film fade, sans véritable passion qui réussit à peine à tromper notre ennui et est loin de rendre hommage à l’écrit de l’auteur français.

     

    Il faut le voir pour : Eviter de présenter votre Bel Ami à votre femme !