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sam reid

  • The riot club

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    Les premières années font leur rentrée à la prestigieuse université d’Oxford et parmi eux il y a nos potes Lauren, Miles & Alistair (Holliday Grainger, Max Irons & Sam Claflin). Ce n’est pas vraiment l’amour fou entre les deux garçons et pourtant le hasard va les réunir puisqu’ils vont devenir les nouveaux membres du Riot club. Fondé à l’origine pour rendre hommage à l’excentricité de Lord Riot, ce club s’est construit une solide réputation et beaucoup rêverait d’en faire partie. Miles & Alistair ont donc le privilège d’avoir été sollicités par les 8 autres membres d club qui organise un diner pour célébrer ces nouveaux arrivants. Direction le Bull’s head où la soirée sera arrosée et surtout très mouvementée.

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    Les premières minutes donnent d’abord l’impression que le film va voguer sur les flots du second degré mais la suite ne nous donne pas vraiment raison. Comme pour de nombreuses confréries étudiantes, The riot club se laisse ensuite aller aux traditionnels bizutages sans imagination et jusque là on se croirait dans un teen-movie à l’américaine. Pour découvrir ce qui se cache réellement derrière ce film, il faut attendre le fameux diner où les choses se dérident mais là encore nos attentes ne sont pas totalement comblées. Même s’il met un peu de temps à démarrer, c’est plutôt sympa et si l’histoire avait fait preuve d’un peu plus de provocation ça aurait pu être une très bonne surprise.

     

    Il faut le voir pour : Éviter de laisser trainer votre portable quand vous sortez avec vos "potes d’enfance" !

  • Les voies du destin

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    Notre pote Eric Lomax (Colin Firth / Jeremy Irvine) est un passionné de trains alors lorsque ceux-ci ont du retard, lui pense immédiatement aux autres itinéraires qu’il peut emprunter. C’est ainsi qu’il croisera la belle Patti (Nicole Kidman) dont il tombe instantanément amoureux et de cette relation découle un joli mariage. S’ils ont tout pour être heureux, Patti va découvrir une part d’ombre que son mari tentait de dissimuler. Durant la Seconde Guerre Mondiale, Eric a été constitué prisonnier par l’armée japonaise et a en outre participé à la construction du célèbre pont de la rivière Kwaï. Une époque dont le traumatisme ne s’est pas refermé malgré les années.

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    C’est une histoire forte et vraie qui unit le britannique Eric Lomax et le japonais Nagase Takashi néanmoins le réalisateur Jonathan Teplitzky ne parvient pas à donner à son film cette charge émotionnelle. Bien au contraire, on a cette désagréable sensation d’avoir quelque chose de très artificiel (à commencer par la prestation de Kidman) et qui cherche à tout prix à nous tirer la larme de l’œil. Même Colin Firth peine dans ce rôle de traumatisé de guerre ; il ne suffit pas de se rouler par terre et d’avoir le regard vide pour nous convaincre. Si on retiendra l’incroyable lien qui s’est tissé entre les deux personnages principaux, on oubliera tout aussi vite ce long-métrage qui s’est embarqué sur les rails de la mièvrerie.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de râler quand le train arrive en retard et essayer de chercher d’autres itinéraires !