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A most violent year

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New York City, 1981. La ville doit faire face à une forte criminalité et c’est dans ce contexte hostile que notre pote Abel Morales (Oscar Isaac) va vivre des moments difficiles. A la tête de la Standard Heating Oil, il est aujourd’hui à une étape charnière puisqu’il s’est engagé à acheter un terminal qui sera le lieu stratégique pour ses futures activités. Il compte sur le soutien de sa banque pour apporter les investissements nécessaires mais une série d’évènements va perturber l’affaire. Cela fait 2 ans que le procureur Lawrence (David Oyelowo) examine scrupuleusement les dossiers de la société d’Abel et surtout celui-ci doit subir une série d’agressions visant ses chauffeurs de camions-citernes.

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A la tête de A most violent year, nous avons J.C. Chandor qui comme à son habitude signe à la fois le scénario et la réalisation. Si on ne sera pas forcément scotché par son scénario finalement assez banal, on est davantage captivé par cette nouvelle performance d’Oscar Isaac. Il est tout simplement impeccable dans sa panoplie complète du parfait gangster mais qui met (presque) toujours un point d’honneur à rester dans le droit chemin. Quant à Jessica Chastain elle s’impose avec son caractère affirmé et on en vient à regretter que ce personnage n’ait pas bénéficié d’un peu plus de présence à l’écran. Par contre si vous vous attendez à une succession de règlements de comptes, vous faites fausse route car ici on privilégie la psychologie à l’action.

 

Il faut le voir pour : Vérifier votre jardin avant de laisser vos enfants y jouer !

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