Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

comédie - Page 68

  • The mask

    aff.jpg

    Notre pote Stanley Ipkiss (Jim Carrey) est un homme généreux et beaucoup de personnes dans son entourage profitent sans vergogne de sa crédulité. Sa vie sentimentale est elle aussi loin d’être un conte de fée jusqu’à sa rencontre avec la magnifique Tina Carlyle (Cameron Diaz) mais il faut qu’il se fasse une raison ; il n’a aucunes chances. D’ailleurs, ce soir encore il s’est fait jeter du Coco Bongo mais dans son malheur il va ramasser un drôle de masque. Piqué par la curiosité mais aussi par une certaine attirance, il le place sur son visage et se transforme alors en une créature extraordinaire ; une tornade humaine. La soirée s’annonce Spleeendide !

    1273829916_Prison-Break-1600x1200-Wallpaper.jpg

    Avant même que les super productions de Marvel & DC Comics n’explosent dans les salles de cinéma ; The mask fut l’un des précurseurs en la matière. Le personnage dont les aventures ont été publiées par Dark horse Comics s’éloigne de ses origines pour donner naissance à une splendide comédie. Révolutionnaire pour son époque avec notamment des effets spéciaux dernier cri (Le film remporta d’ailleurs l’Oscar des meilleurs effets visuels en 1995), ce film a aussi permis de lancer la carrière de Cameron Diaz et de faire connaitre au monde entier l’inimitable Jim Carrey. Même s’il n’est pas exceptionnel, on prend toujours plaisir à le revoir ce qui n’est pas le cas de sa très mauvaise suite.

  • Magic Baskets 2

    aff.jpg

    Comme son père, Jérôme Jenkins Jr (Jascha Washington) s’est promis qu’un jour il deviendra un grand champion de basket et aura son nom sur le ballon de la gloire. D’ailleurs lui et ses potes d’enfance Rodney & Nathan (Brett Kelly& Micah Stephen Williams) vont participer au tournoi du Game On rassemblant la crème des joueurs de Street. A la veille de cet évènement, Jérôme trouve une paire de Baskets avec les initiales MJ inscrits dessus et quand il les porte, il devient imbattable. Devant le prodige, la troupe du Game On n’hésite pas une seconde pour enrôler le jeune garçon mais attention de ne pas attraper la grosse tête !

    01.jpg

    Un film à réserver aux Michael Jordan en herbe qui s’émerveilleront devant les quelques phases de jeu et s’éclateront avec les improbables mouvements du jeune prodige. Comme son nom l’indique si bien, Magic Baskets 2 est la suite du premier volet mais exit le jeune rappeur Lil’ Bow Wow pour laisser place à Jascha Washington, inconnu au bataillon et qui risque de le rester s’il continue à jouer dans ce genre de films. Destiné aux enfants, on ne s’est pas beaucoup creusé les méninges pour pondre le scénario avec évidemment une histoire qui se finit bien et dont la morale nous dicte de ne jamais abandonner ses potes d’enfance !

     

    En savoir plus sur Magic Baskets ?

  • Bullit - Mais qui a tué Pamela Rose (2)

    01.jpg

     

    Bullit : J'ai été marié 25 ans et elle est partie avec mon dentiste. A chaque fois que je me brosse les dents je pense à elle... Une fois par mois...

  • Scream

    aff1.jpg

    Toute la communauté de Woodsboro est sous le choc lorsqu’elle a appris cette terrible nouvelle : Casey Becker (Drew Barrymore) et son petit ami ont été retrouvés sauvagement assassinés. La police est à la recherche de pistes et commence son enquête au lycée tandis que les médias locaux se jettent sur ce fait divers qui rappelle curieusement un autre meurtre commis 1 an plus tôt. Une affaire que Sidney Prescott (Neve Campbell) connait bien puisque la victime n’était autre que sa mère. Toujours est-il que ce crime n’est que le point de départ d’une série de meurtres et Sidney pourrait bien en être la prochaine victime. Au cours de la soirée, elle reçoit un coup de fil inquiétant avant d’être surprise par son agresseur vêtu d’un masque blanc.

    01.jpg 02.jpg 03.jpg

    On pourra dire ce que l’on voudra mais on ne peut pas nier que le Scream de Wes Craven aura insufflé un nouveau souffle aux slash-movies. Après ce film, on verra ainsi déferler les Souviens-toi l’été dernier, Urban legends et il inspirera fortement la saga Scary-movie. Surtout le papa de Freddy Krueger (qui fait d’ailleurs une apparition clin d’œil) bouscule le genre en se moquant ouvertement de tous les codes qui caractérisent les films d’horreur pour construire le sien. Pour l’occasion, il donne sa chance à Neve Campbell (notons qu’à l’origine c’est Drew Barrymore qui devait tenir ce rôle) tout droit sortie de la série 7 à la maison ou encore à Courteney Cox de Friends. Marquant le début d’une saga, Scream a su se démarquer dans l’esprit des spectateurs mais on ne pourra pas vraiment en dire autant de ses suites.

     

    La scène à ne pas louper : L’introduction et l’exécution de Drew Barrymore !

  • Le cochon de Gaza

    aff.jpg

    Notre pote Jafaar (Sasson Gabai) vit avec sa femme Fatima (Baya Belal) à Gaza où le conflit Israélo-palestinien rythme leur quotidien. D’ailleurs, des soldats israéliens se sont même installés au-dessus de leur maison. Pour gagner sa vie, Jafaar sort chaque jour avec son bateau de pêche mais les prises sont minces et il récupère davantage de détritus que de poissons à vendre. Un jour cependant il attrape dans ses filets une chose incroyable : un cochon vietnamien ! Comment cet animal impur a-t-il pu croiser son chemin ? C’est certainement un châtiment de Dieu toujours est-il que ce cochon va lui permettre de gagner un peu d’argent. Il réussit à trouver en effet du coté de l’Israël une personne intéressée par cet animal mais plus particulièrement … par son sperme !

    01.jpg

    Les années passent et le conflit Israélo-palestinien n’en finit plus de durer et l’espoir d’une trêve ressemble de plus en plus à une chimère. On a donc bien besoin que le cinéma continue de dénoncer les aberrations de cette guerre et quoi de mieux qu’une comédie comme Le cochon de Gaza pour détendre l’atmosphère. Sylvain Estibal se lance dans la réalisation après avoir inspiré le film Le dernier vol avec son roman, un premier essai plutôt réussi puisque malgré le sujet sensible le spectateur a droit à quelques délicieux moments de rires. Si on ne peut pas crier au génie, on sortira largement satisfait de cette jolie fable avec l’espoir qu’un jour une paix pourra être célébré entre ces peuples.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de ramener un cochon la prochaine fois que vous irez à la pêche.

  • Mais comment font les femmes ?

    aff1.jpg

    Notre pote Kate Reddy (Sarah Jessica Parker) est une femme très occupée, elle est gestionnaire de fonds, un poste à hautes responsabilités qui accapare la plupart de son temps. Quand elle n’est pas au bureau, elle est en déplacement et cela lui donne donc peu d’occasions de passer du temps avec son mari Richard (Greg Kinnear). Et de voir grandir ses 2 enfants. La situation ne va pas aller en s’arrangeant puisque son talent a été reconnu et que M. Jack Abelhammer (Pierce Brosnan) lui propose une opportunité qu’elle ne peut pas refuser. Elle va devoir multiplier les allers-retours entre Boston et New-York et au sein de sa famille on apprécie que modérément tous les sacrifices que Kate est en train de faire.

    01.jpg

    On ne peut pas dire que les projets de cinéma se bousculent auprès de Sarah Jessica Parker et ce n’est certainement pas prêt de changer. Mais comment font les femmes ? c’est aussi la question qu’on est en droit de se poser quand on se dit que certaines d’entre elles vont se délecter de cette comédie aussi bien poussive que convenue (Ah le coup du message électronique on le voit pas venir !). D’un sujet pourtant contemporain - la conciliation chez les femmes entre vie privée et vie professionnelle - le réalisateur Douglas McGrath n’en sort qu’un film sans intérêt et qui manque clairement d’humour pour parvenir à capter notre attention. Si vous manquez de temps libre entre votre travail et votre vie familiale, mieux vaut ne pas le gâcher à voir cette comédie falote.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de faire des liste de vos taches !

  • La nouvelle guerre des boutons

    aff1.jpg

    C’est sur le chemin de l’école que les frères Gibus (Théophile Baquet & Clément Godefroy) ont surpris ceux de Velrans en train de chasser des lapins sur leurs terres ; un véritable affront ! Pour Lebrac (Jean Texier) et tous ses potes d’enfance de Longeverne, l’honneur du village doit être défendu et leurs adversaires n’ont qu’à bien se tenir. Pendant ce temps, l’école accueille une nouvelle élève Violette (Ilona Bachelier), la filleule de Simone (Laetitia Casta) et tous les garçons sont subjugués par cette jolie demoiselle. Cette dernière n’est pas arrivée à Longeverne totalement par hasard ; le pays est sous l’occupation nazie et de par ses origines juives, elle doit se cacher pour éviter d’être capturé par les officiers allemands.

    01.jpg

    Après La guerre des boutons de Yann Samuell, c’est maintenant au tour de Christophe Barratier de proposer sa version. Ce qui est sur c’est que ce n’est pas avec La nouvelle guerre des boutons que les critiques arrêteront de reprocher au réalisateur de surfer sur la vague de la nostalgie. Pour en  revenir sur le film, l’approche de situer l’histoire au cœur de l’occupation allemande apparait comme une bonne idée seulement ça manque de développement ; on reste très proche de l’œuvre d’Yves Robert avec un gros clin d’œil à la célèbre citation de Tigibus. On aurait bien apprécié une plus grande prise de risque à travers un scénario plus remanié mais ce film, qui se défend d’être un remake,se contente vraiment du minimum.

     

    Il faut le voir pour : Recoudre vos boutons à la mode parisienne.

  • La fée

    aff1.jpg

    Une nuit au Havre. Dom (Dominique Abel) se dépêche de rejoindre l’hôtel où il travaille comme veilleur de nuit mais son vélo n’arrête pas de dérailler et pour ne rien arranger, la pluie est du voyage. Son retard, sa patronne ne manquera pas de le lui faire remarquer et la nuit s’annonce riche en surprises. Dom reçoit en effet la visite d’un anglais accompagné d’un sac sur pattes puis celle de Fiona (Fiona Gordon) qui prétend être une fée capable  de lui exaucer 3 vœux. A lui la gloire, la richesse mais curieusement ses 2 premiers souhaits sont d’avoir un scooter et l’essence gratuite à vie. Quant au troisième, il y réfléchit encore mais après une nuit magique passée à la plage en compagnie de Fiona, cette dernière disparait sans laisser de traces.

    01.jpg

    Tout comme moi, le grand public ne connait pas forcément le duo Dominique Abel & Fiona Gordon qui se connaissent depuis les années 1980 et qui ont mis en œuvre plusieurs spectacles burlesques. Ils ont ensuite prolongé leur expérience au cinéma avec la participation de Bruno Romy et c’est ainsi que voit le jour leur 3ème long-métrage La fée. C’est sur, il y a dans ce film un humour assez particulier dans lequel on pénètre assez rapidement et dès lors, les crises de rires se multiplient. Il y a vraiment des scènes magnifiques comme cette séquence musicale dans les fonds marins magnifiés par des effets spéciaux old school. La comparaison sera certainement flatteuse mais dans l’esprit, cela me rappelle fortement les œuvres de Charlie Chaplin pour vous dire !

     

    Il faut le voir pour : Découvrir comment sortir discrètement quelqu’un d’un hôpital !

  • La guerre des boutons (1962)

    aff1.jpg

    Tous les enfants des villages de Velrans et de Longeverne attendent chaque jour que sonne la cloche annonçant la fin de la classe pour se retrouver et se livrer à une guerre sans merci ! Armé d’épées en bois et de lance-pierres, chacun donne le meilleur de lui-même pour l’honneur de son village mais aujourd’hui, c’est Longeverne qui a pris l’avantage. Ils ont en effet réussi à capturer un ennemi et celui-ci va subir de terribles sévices : ses lacets et des bretelles sont déchirés, les boutons de ses habits sont arrachés et il ne pourra que rentrer chez lui avec le froc à la main. La réponse de Velrans ne tarde pas et c’est Lebrac (Andre Treton), le chef de Longeverne qui va en faire directement les frais mais la guerre elle est loin d’être terminée !

     01.jpg 02.jpg 03.jpg

    Que ce soit à travers le roman de Louis Pergaud ou avec le film d’Yves Robert, une chose est sure La guerre des boutons fait définitivement partie du riche patrimoine français. D’ailleurs, malgré le fait que je ne l’ai pas revu depuis au moins 15 ans, chaque scène revient immédiatement à la mémoire comme si ce film ne m’avait jamais quitté. On se souvient également tous de la célèbre phrase de Tigibus "Si j’aurais, j’aurais pas venu" qui n’est pas présent dans le livre mais qui est une création géniale du réalisateur (et dont les droits ne seront rétrocédés à aucun des remakes ou appelez ça comme vous voudrez sortis en 2011). Ce film se voit et surtout se revoit en famille avec le plus grand des plaisirs avec un doux parfum de nostalgie d’une époque d’insouciance, c’était mieux avant comme disait l’autre !

     

    La scène à ne pas louper : La visite de Tigibus au Père L’aztec !

  • Crazy, stupid, love

    aff1.jpg

    La soirée s’achevait et le diner s’était plutôt bien déroulé jusque-là mais en guise de dessert Cal (Steve Carell) vient d’apprendre que sa femme Emily (Julianne Moore) demande le divorce après 25 ans de mariage. Ce n’est pas tout puisqu’elle lui révèle également qu’elle l’a trompé avec David Lindhagen (Kevin Bacon), un collègue de bureau. Cal redevient donc bien malgré lui célibataire et noie ses soirées dans un bar où il ressasse ses désillusions à qui veut bien l’entendre et justement cela arrive aux oreilles de Jacob (Ryan Gosling) qui va le prendre en main. Celui-ci est le tombeur de la boite, (presque) aucune femme ne lui résiste et il va révéler tous ses secrets à son nouveau pote d’enfance. Première mission : changer complètement sa garde-robe et en un instant Cal va devenir le nouveau playboy du coin.

    01.jpg

    Quand Julianne Moore fait sa crise de la quarantaine, c’est notre pote Steve Carell qui en fait les frais et ça donne une comédie bien sympathique. Il ne faut pas être trop regardant sur le scénario qui reste très basique mais on s’attache rapidement aux personnages de Crazy, stupid, love et même le beau gosse Ryan Gosling parvient à se rendre charmant avec ses abdominaux en béton qui en énerveront plus d’un. Les seconds rôles (Jessica & Robbie) ont également une place importante dans le film et apportent un peu plus de fantaisie ainsi qu’une pointe de fraîcheur à l’histoire. Ça n’a rien de la comédie incontournable mais c’est en tout cas un film agréable qui vous fera sans aucun doute passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Répéter la chorégraphie de Dirty Dancing.