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yves robert

  • Le retour du grand blond

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    Le plan mis en place par le Colonel Toulouse (Jean Rochefort) pour se débarrasser de Milan fut donc une réussite complète, une trop grande réussite même ! 3 mois après ces évènements, il est convoqué par Le ministre (Jean Bouise) qui a entendu parler des exploits de cet espion plus connu sous le nom du grand blond et aimerait lui confier une mission. Toulouse se trouve dans une situation inconfortable et va tenter d’étouffer cela en faisant éliminer le pauvre François Perrin (Pierre Richard) qui est actuellement en train de roucouler avec Christine (Mireille Darc) sous le soleil brésilien. Alors qu’on prépare déjà les funérailles de Perrin, le Capitaine Cambrai (Michel Duchaussoy) s’intéresse de près à cette affaire convaincu que le grand blond est tout sauf un espion.

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    Il s’est fait passer bien malgré lui pour un super agent secret, notre pote François Perrin fait son come-back à peine 2 ans après Le grand blond avec une chaussure noire. Sa paire est toujours dépareillée si ce n’est que cette fois c’est une chaussure rouge (dont s’inspirera le remake américain) et on retrouve la plupart des personnages du précédent volet. On retrouve d’ailleurs bien d’autre chose comme le célèbre générique, un thème musical qui va être décliné à toutes les sauces mais aussi Maurice et son éternel survêtement bleu ou encore Christine avec sa robe échancrée dans le dos. Bref Le retour du grand blond sent le réchauffé mais on se laisse encore charmer par un Pierre Richard irrésistible quand il s’agit de jouer les faux agents !

     

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  • Le grand blond avec une chaussure noire

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    Quelque part aux Etats-Unis, un homme a été arrêté et suspecté de trafic de drogue mais d’après ses dires il aurait seulement agit dans le cadre d’une mission des autorités françaises. A peine de retour de vacances, Louis Toulouse (Jean Rochefort), chef des services secrets est le premier surpris par ces déclarations du moins le fait-il croire car il se sait espionné par son propre adjoint Milan (Bernard Blier) qu’il suspecte immédiatement. Il décide alors d’organiser un piège : un homme providentiel devrait faire son apparition pour régler cette histoire mais il ne s’agit que d’un subterfuge. Pour tromper Milan et son équipe, il va désigner un inconnu ; le grand blond avec une chaussure noire soit un certain François Perrin (Pierre Richard) qu’il va faire passer pour un agent secret.

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    Il n’y a réellement que la présence de Pierre Richard qui donne un véritable intérêt à cette comédie d’Yves Rovert et pourtant Le grand blond avec une chaussure noire a su, avec les années passant, conquérir un fidèle public. Et puis son générique à la flute de pan signé Vladimir Cosma a également contribué à marquer nos mémoires (tout comme la robe de Mireille Darc !). Il suffit bien souvent de voir apparaitre le comédien pour déclencher les sourires et si besoin est c’est sa légendaire maladresse qui prend ensuite le relais. Quelques bonnes idées sont dispersées tout au long du film mais jamais de quoi nous rendre hilares juste de quoi passer un bon moment. Si vous recherchez les fous rires, vous ne trouverez certainement pas chaussure à votre pied mais on s’y sent quand même à l’aise !


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  • La nouvelle guerre des boutons

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    C’est sur le chemin de l’école que les frères Gibus (Théophile Baquet & Clément Godefroy) ont surpris ceux de Velrans en train de chasser des lapins sur leurs terres ; un véritable affront ! Pour Lebrac (Jean Texier) et tous ses potes d’enfance de Longeverne, l’honneur du village doit être défendu et leurs adversaires n’ont qu’à bien se tenir. Pendant ce temps, l’école accueille une nouvelle élève Violette (Ilona Bachelier), la filleule de Simone (Laetitia Casta) et tous les garçons sont subjugués par cette jolie demoiselle. Cette dernière n’est pas arrivée à Longeverne totalement par hasard ; le pays est sous l’occupation nazie et de par ses origines juives, elle doit se cacher pour éviter d’être capturé par les officiers allemands.

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    Après La guerre des boutons de Yann Samuell, c’est maintenant au tour de Christophe Barratier de proposer sa version. Ce qui est sur c’est que ce n’est pas avec La nouvelle guerre des boutons que les critiques arrêteront de reprocher au réalisateur de surfer sur la vague de la nostalgie. Pour en  revenir sur le film, l’approche de situer l’histoire au cœur de l’occupation allemande apparait comme une bonne idée seulement ça manque de développement ; on reste très proche de l’œuvre d’Yves Robert avec un gros clin d’œil à la célèbre citation de Tigibus. On aurait bien apprécié une plus grande prise de risque à travers un scénario plus remanié mais ce film, qui se défend d’être un remake,se contente vraiment du minimum.

     

    Il faut le voir pour : Recoudre vos boutons à la mode parisienne.

  • La guerre des boutons (1962)

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    Tous les enfants des villages de Velrans et de Longeverne attendent chaque jour que sonne la cloche annonçant la fin de la classe pour se retrouver et se livrer à une guerre sans merci ! Armé d’épées en bois et de lance-pierres, chacun donne le meilleur de lui-même pour l’honneur de son village mais aujourd’hui, c’est Longeverne qui a pris l’avantage. Ils ont en effet réussi à capturer un ennemi et celui-ci va subir de terribles sévices : ses lacets et des bretelles sont déchirés, les boutons de ses habits sont arrachés et il ne pourra que rentrer chez lui avec le froc à la main. La réponse de Velrans ne tarde pas et c’est Lebrac (Andre Treton), le chef de Longeverne qui va en faire directement les frais mais la guerre elle est loin d’être terminée !

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    Que ce soit à travers le roman de Louis Pergaud ou avec le film d’Yves Robert, une chose est sure La guerre des boutons fait définitivement partie du riche patrimoine français. D’ailleurs, malgré le fait que je ne l’ai pas revu depuis au moins 15 ans, chaque scène revient immédiatement à la mémoire comme si ce film ne m’avait jamais quitté. On se souvient également tous de la célèbre phrase de Tigibus "Si j’aurais, j’aurais pas venu" qui n’est pas présent dans le livre mais qui est une création géniale du réalisateur (et dont les droits ne seront rétrocédés à aucun des remakes ou appelez ça comme vous voudrez sortis en 2011). Ce film se voit et surtout se revoit en famille avec le plus grand des plaisirs avec un doux parfum de nostalgie d’une époque d’insouciance, c’était mieux avant comme disait l’autre !

     

    La scène à ne pas louper : La visite de Tigibus au Père L’aztec !