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La guerre des boutons (1962)

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Tous les enfants des villages de Velrans et de Longeverne attendent chaque jour que sonne la cloche annonçant la fin de la classe pour se retrouver et se livrer à une guerre sans merci ! Armé d’épées en bois et de lance-pierres, chacun donne le meilleur de lui-même pour l’honneur de son village mais aujourd’hui, c’est Longeverne qui a pris l’avantage. Ils ont en effet réussi à capturer un ennemi et celui-ci va subir de terribles sévices : ses lacets et des bretelles sont déchirés, les boutons de ses habits sont arrachés et il ne pourra que rentrer chez lui avec le froc à la main. La réponse de Velrans ne tarde pas et c’est Lebrac (Andre Treton), le chef de Longeverne qui va en faire directement les frais mais la guerre elle est loin d’être terminée !

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Que ce soit à travers le roman de Louis Pergaud ou avec le film d’Yves Robert, une chose est sure La guerre des boutons fait définitivement partie du riche patrimoine français. D’ailleurs, malgré le fait que je ne l’ai pas revu depuis au moins 15 ans, chaque scène revient immédiatement à la mémoire comme si ce film ne m’avait jamais quitté. On se souvient également tous de la célèbre phrase de Tigibus "Si j’aurais, j’aurais pas venu" qui n’est pas présent dans le livre mais qui est une création géniale du réalisateur (et dont les droits ne seront rétrocédés à aucun des remakes ou appelez ça comme vous voudrez sortis en 2011). Ce film se voit et surtout se revoit en famille avec le plus grand des plaisirs avec un doux parfum de nostalgie d’une époque d’insouciance, c’était mieux avant comme disait l’autre !

 

La scène à ne pas louper : La visite de Tigibus au Père L’aztec !

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