Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

christophe barratier

  • Les choristes

    star 03.5.jpg

    aff.jpg

    C’est le 15 Janvier 1919 que notre pote Clément Mathieu (Gérard Jugnot) a franchi pour la première fois les grilles du Fond de l’étang. C’est dans cette école qu’il va prendre ses nouvelles fonctions de surveillant mais ça ne sera pas de tout repos car il va avoir affaire à des élèves très agités. Si le Directeur Rachin (François Berléand) prône les vertus de l’action / réaction en envoyant les éléments perturbateurs au cachot, Clément va lui s’essayer à une méthode plus douce. Il parvient ainsi à fédérer ses élèves autour de sa passion : la musique ! Qui aurait cru qu’une chorale aurait pu se former avec ses jeunes garçons et comment deviner que le jeune Pierre Morhange (Jean-Baptiste Maunier) avait une voix aussi mélodieuse.

    01.jpg

    "Vois sur ton chemin, gamin oublié égaré donne leur la main pour les mener vers d’autres lendemains" Il fallait certainement être sourd en 2004, époque de la sortie en salles pour ne pas avoir entendu cette chanson qui venait couronner la première réalisation de Christophe Barratier et remake du film La cage aux rossignols. Les choristes nous ramène à la vie de l’après-guerre à travers le quotidien de cette école qui a su réveiller de jolis souvenirs chez des millions de spectateurs. Une nostalgie associée à une galerie de personnages tous plus attachants les uns que les autres ce qui nous donne un beau moment d’émotion qu’on le découvre pour la première fois ou qu’on le revoit.

  • La nouvelle guerre des boutons

    aff1.jpg

    C’est sur le chemin de l’école que les frères Gibus (Théophile Baquet & Clément Godefroy) ont surpris ceux de Velrans en train de chasser des lapins sur leurs terres ; un véritable affront ! Pour Lebrac (Jean Texier) et tous ses potes d’enfance de Longeverne, l’honneur du village doit être défendu et leurs adversaires n’ont qu’à bien se tenir. Pendant ce temps, l’école accueille une nouvelle élève Violette (Ilona Bachelier), la filleule de Simone (Laetitia Casta) et tous les garçons sont subjugués par cette jolie demoiselle. Cette dernière n’est pas arrivée à Longeverne totalement par hasard ; le pays est sous l’occupation nazie et de par ses origines juives, elle doit se cacher pour éviter d’être capturé par les officiers allemands.

    01.jpg

    Après La guerre des boutons de Yann Samuell, c’est maintenant au tour de Christophe Barratier de proposer sa version. Ce qui est sur c’est que ce n’est pas avec La nouvelle guerre des boutons que les critiques arrêteront de reprocher au réalisateur de surfer sur la vague de la nostalgie. Pour en  revenir sur le film, l’approche de situer l’histoire au cœur de l’occupation allemande apparait comme une bonne idée seulement ça manque de développement ; on reste très proche de l’œuvre d’Yves Robert avec un gros clin d’œil à la célèbre citation de Tigibus. On aurait bien apprécié une plus grande prise de risque à travers un scénario plus remanié mais ce film, qui se défend d’être un remake,se contente vraiment du minimum.

     

    Il faut le voir pour : Recoudre vos boutons à la mode parisienne.