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cinéma - Page 137

  • Cougar Club

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    Fraichement diplômés de leur école de commerce, nos potes Spencer & Hogan (Jason Jurman & Warren Kole) n’ont pas le temps de souffler. S’ils fêtent dignement l’évènement, ils vont vite se remettre à travailler enfin cela était vrai jusqu’à ce qu’Hogan se mettre à coucher avec la femme de leur ex-futur nouveau patron. Finalement, ils parviennent à se faire embaucher chez Stack, Conrad & Archibald et Spencer compte sur cette expérience pour se faire recommander son entrée à Yale. Comme à son habitude, Hogan lui préfère penser aux femmes mais uniquement aux femmes expérimentées et il se voit offrir une opportunité en or. La loi de l’offre et de la demande va lui permettre de créer le Cougar Club où les membres devront payer des cougars prêtes à chasser le gibier.

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    Avec un scénario pareil, on s’attend évidemment à une petite resucée de ces teen-movies à la American Pie. Subtile nuance de ce film, il s’intéresse au phénomène des cougars, ces femmes d’un certain âge qui n’ont plus la moindre appréhension à s’amuser avec les jeunes (Demi, si tu me lis salut !). A part ce détail, on retrouve tout ce qui fait le succès du genre à savoir quelques femmes topless avec ou sans raisons (un soi-disant pari perdu par exemple), une fiesta avec une piscine et quelques vannes salaces. En fait la seule chose qui m’aura fait sourire c’est ce running-gag avec le jardinier mexicain en arrière-plan soit tout au plus 1 minute d’intéressante sur l’ensemble de Cougar Club. On se demande quand même comment Faye Dunaway & Carrie Fischer ont pu atterrir ici !

  • Rue Mandar

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    C’est une tragédie qui réunit aujourd’hui Emma, Rosemonde & Charles (Sandrine Kiberlain, Emmanuelle Devos & Richard Berry) ; ils doivent faire leurs adieux à leur mère. Un évènement douloureux pour tous et notre pote Rosemonde doit en plus gérer le départ de son fils Elie (Ivan Cori) qui part étudier à New York pendant 3 ans. Il faut aussi réfléchir à ce qu’ils veulent faire de l’appartement de leur mère situé 13, rue Mandar où ils ont grandi et la décision de la mettre en vente s’impose naturellement. C’est Emma qui sera chargé de la vendre car il faut dire qu’entre les crises d’hystérie de sa sœur et la folle envie de Charles de vouloir effectuer les travaux chez lui, elle est la seule qui puisse s’en occuper.

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    Inspirée par ses souvenirs personnels, la réalisatrice Idit Cebula nous convie à une réunion de famille qui se transforme en une belle foire dans laquelle on se sent parfois un peu perdu. Les situations cocasses s’enchainent et à certaines occasions ça part même dans des envolées loufoques mais les émotions elles ne sont pas au rendez-vous. Rue Mandar peut toutefois compter sur l’évidente complicité liant le trio Sandrine Kiberlain / Emmanuelle Devos & Richard Berry qui viennent apporter un peu d’animation dans la période de deuil que traversent leurs personnages. Une comédie qui n’est pas non plus à la rue et qui malgré quelques bons moments n’a vraiment rien de très attrayant.

     

    Il faut le voir pour : Demander à avoir un cercueil sur-mesure !

  • Cookie

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    Notre pote Adeline (Alice Taglioni) a traversé une terrible épreuve lorsqu’elle a perdu son mari et son fils au cours d’un accident de la route. Aujourd’hui, cette hôtesse de l’air vit seule même si de temps en temps sa sœur Delphine (Virginie Efira) vient squatter sa maison. Alors qu’elle revient d’un voyage, sa femme de ménage Liang Min Su (Yubai Zhang) lui confie son fils Lee Yu (Max Ding) pour une heure, le temps d’effectuer une petite course seulement, elle ne reviendra jamais. Adeline cherche évidemment à joindre la mère du petit garçon mais sans succès et cela est d’autant plus difficile qu’il ne parle pas un mot de français !

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    Un survol rapide de l’histoire laisse à penser qu’on nous ressert une comédie légère mais Cookie se révèle être en fait un film bien plus délicat. Déjà, il faut connaitre l’histoire personnelle d’Alice Taglioni (dont le compagnon  s’est tué en voiture) pour déceler l’écho émotionnel qu’elle peut ressentir en interprétant le personnage d’Adeline. Léa Fazer fait également preuve d’une belle retenue pour ne pas abandonner son film en une comédie populaire et encore moins en un mélo larmoyant. On ne va pas se mentir, c’est loin d’être incontournable mais avec son histoire tout en retenue c’est plutôt touchant.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à économiser un billet d’avion pour vos enfants (à condition qu’ils soient souples !).

  • Sand Sharks : Les dents de la plage

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    Il est de retour à White Land et notre pote Jimmy Green (Corin Nemec) a une idée révolutionnaire pour relancer la vie de l’ile dont le maire n’est autre que son père. Le Sandman Festival va devenir le prochain rendez-vous incontournable pour les amateurs de Spring break, une fête sur la plage qui va tout déchirer … enfin si elle a lieu. L’ile est en effet secouée par de drôles d’évènements ; plusieurs personnes ont succombé par ce qu’il semble être une attaque de requin des sables ! Ça parait insensé mais le Docteur Sandy Powers (Brooke Hogan) confirmera la présence d’un prédateur préhistorique enfoui dans la plage.

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    Un requin des sables ! Mais pourquoi donc personne n’y avait pensé avant ? Parce que c’est totalement débile, oui c’est possible. Sand Sharks : Les dents de la plage sent bon le nanar mais vous serez étonnés d’apprendre qu’il y a quand même de bonnes choses à retenir d’un film qui ne manque pas de d’autodérision. On pense bien sur au personnage incarné par Corin Nemec (le héros de Parker Lewis ne perd jamais ou de Stargate SG-1) qui n’hésite pas à aller dans l’excès et qui nous ferait même sourire. On saura également apprécier la crédibilité de Brooke Hogan (oui, la fille du catcheur Hulk) en tant que docteur qui analyse tout en maillot de bain ou avec un joli décolleté. Même si l’ensemble est pourri, y’a quand même de quoi se marrer !

  • Max

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    La petite Maxine (Shana Castera) n’a jamais eu le bonheur de connaitre sa mère et malgré tout l’amour que lui porte son père Tony (Joey Starr), ce manque se faire ressentir chaque jour un peu plus. Après avoir une fois de plus s’être enfuie de l’école, elle croise la route de Rose (Mathilde Seigner), une femme qui s’occupe des bons hommes. Le lendemain, la petite fille vient la retrouver avec une demande un peu spéciale : elle souhaiterait que Rose vienne s’occuper de son père jusqu’à Noël. D’abord surpris, Tony finit par conclure un arrangement afin de plaisir avec Max et qui sait si le miracle de Noël ne pourrait pas agir et former un nouveau couple.

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    Si on m’avait dit un jour que je verrais Joey Starr en héros de comédie romantique ! D’ailleurs en parlant du casting, c’est certainement le seul véritable attrait de Max qui réunit également Emmanuelle Seigner & Jean-Pierre Marielle. La petite Shana Castera est elle aussi attachante mais joue souvent avec excès. Ce qui est nettement moins mémorable, c’est ce scénario auquel a participé l’homme en noir Thierry Ardisson (officiant également en tant que coproducteur) qui ne fait preuve d’aucune originalité. On a bien sur le couple qui va se former, la petite fille qui s’attache à sa nouvelle pote avec qui elle fait des photos d’identité et tout ça dans une belle ambiance de fêtes de noël déguisé en indien.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi vous avez du poulet à chaque repas.

  • Mille mots

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    Notre pote Jack McCall (Eddie Murphy) est un agent littéraire à qui tout réussit et dernièrement il a fleuré la bonne affaire. Il veut en effet éditer le livre du Dr. Sinja (Cliff Curtis), un gourou qui connait un énorme succès mais il ignore encore que cette rencontre va changer sa vie. De retour chez lui, Jack s’aperçoit qu’un arbre a poussé miraculeusement dans son patio et pas n’importe lequel. Il s’agit de l’arbre de la sagesse qu’il avait vu chez le Dr. Sinja mais le plus étrange reste qu’à chaque mot qu’il prononce, une feuille se détache. Un phénomène inexplicable mais ce qui est sur c’est qu’il ne reste tout au plus qu’un millier de mots avant que l’arbre ne perde toutes ses feuilles et cela signifierait la mort pour Jack !

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    Toujours à la recherche de sa gloire perdue, notre pote Eddie Murphy laisse de coté le travestissement (et on ne s’en plaindra pas !) pour une comédie qui recycle les poncifs du genre. Au niveau du scénario, on opte pour la carte du mec égoïste et bonimenteur dont la vie va miraculeusement prendre un autre sens en se remettant totalement en question. Certains se réjouiront du fait que le sort réservé rend les bouffonneries de l’acteur un peu plus supportable que dans ses précédents films. On notera au passage l’apparition de notre Alain Chabat qui se trouve être également un des coproducteurs. Loin de nous laisser sans voix, Mille mots se résume lui en un seul : insignifiant !

  • Les sorties du 30 janvier

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    A la veille d’une nouvelle grève qui va en enchanter plus d’un et généralement pour éviter la foule qui se presse pour rentrer à la maison, j’aime bien me réfugier au cinéma. Belle actualité encore cette semaine avec d’abord Happiness therapy où notre pote Bradley Cooper tente de reprendre une vie normale après avoir passé quelques temps dans un institut psychiatrique. Il veut notamment essayer de reconquérir sa femme et va recevoir l’aide de la belle Jennifer Lawrence.

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  • Le dernier rempart

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    Las Vegas. Un important dispositif a été mis en place dans le cadre du transfert de Gabriel Cortez (Eduardo Noriega), un dangereux criminel et en dépit de toutes les précautions prises, il est parvenu à s’évader. On retrouve vite sa trace à bord d’une Corvette ZR1 dont on a signalé le vol quelques jours plus tôt et il se dirige vers le Mexique accompagné d’un otage. Pour traverser la frontière, il va devoir passer par une petite ville d’Arizona ; Somerton dont le shérif se nomme Ray Owens (Arnold Schwarzenneger). Cet ancien officier des stups s’était retiré ici en pensant trouver le calme mais il va devoir reprendre les armes pour défendre avec ses potes d’enfance leur territoire et ça va être méchamment violent !

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    "I’ll be back" Il nous l’avait promis et après de brèves apparitions chez son pote Sly, Arnold Schwarzenneger est de retour au cinéma 10 ans après le peu mémorable Terminator 3. Pas de surprises, on a rendez-vous avec un film d’action rythmé par la chasse d’une Corvette boostée et quelques gunfights qui font plutôt mal pas étonnant quand on sait que derrière la caméra il y a Kim Jee-woon (Le bon, la brute et le cinglé / J’ai rencontré le diable …). Comme de tradition, le réalisateur effectuant sa première expérience aux states est quelque peu entravé par la machine hollywoodienne Pour détendre un peu l’atmosphère, Johnny Knoxville & Luis Guzman viennent instiller quelques notes d’humour dans cet univers de violence. Amusant tout simplement.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de vous garer n’importe où !

  • Ultimo Elvis

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    Il s’appelle Carlos Gutiérrez (John McInerny) mais tout le monde le connait sous le nom d’Elvis Presley. Lorsqu’il ne travaille pas à l’usine, notre pote assure des spectacles en tant que sosie du King mais cette activité est loin d’être un simple hobby. Bien que personne ne le prenne au sérieux, il est Elvis Presley et c’est cette passion qui a précipité la fin de son couple avec Priscilla ou plutôt Alejandra (Griselda Siciliani). Ensemble, ils ont donné naissance à Lisa (Margarita Lopez) cependant ce père de famille n’a jamais assuré ce rôle au profit de sa "carrière". Il va pourtant devoir prendre ses responsabilités lorsqu’Alejandra est victime d’un accident, Carlos va devoir veiller sur sa fille.

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    Même s’il est rythmé des chansons du King, ce film argentin n’est pas tant un hommage à Presley que le portrait d’un fan inconditionnel perdant tout sens des réalités. Avec son allure qui prête à sourire, on se prend tout de suite de sympathie pour cette réincarnation du créateur du rock’n’roll d’autant plus qu’il est plutôt convaincant quand il s’agit de prendre le micro. Là où Ultimo Elvis pêche en revanche, c’est par son scénario finalement assez quelconque à l’image de ce moment clé du film des "retrouvailles" de ce père avec sa fille qui ne dégage pas vraiment d’émotions. S’il suscite d’abord une certaine curiosité, il ne réussit pas à maintenir cet intérêt laissant vite place à du simple ennui.

     

    Il faut le voir pour : Préparer des sandwiches au beurre de cacahuète et à la banane pour vos enfants !

  • One missed call

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    Tout a commencé avec la mort de Shelley (Meagan Good) qui s’est noyé de manière inexpliquée chez elle puis est venu le tour de Leann (Azura Skye) et ensuite de Brian (Johnny Lewis). Une série qui fait frémir notre pote Beth (Shannyn Sossamon) d’autant plus qu’elle sait que derrière tous ces drames se cachent des évènements étranges. Quelques jours avant leur décès, Leann & Brian avaient en effet reçu sur leurs portables un mystérieux message qui leur prédisait le jour et l’heure exacte de leur mort. Bien sur, lorsqu’elle raconte tout cela aux policiers qui l’interrogent, on la prend pour une folle sauf l’inspecteur Jack Andrews (Edward Burns) qui la croit lui qui vient de perdre sa sœur de façon bien mystérieuse.

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    Au départ vous avez d’abord une nouvelle japonaise de Yasushi Akimoto adaptée au cinéma par Takashi Miike avant que soit mis en chantier ce remake américain. On peut considérer One missed call comme un croisement entre The ring et Destination finale ; il existe une malédiction qui se répand à travers les portables et la faucheuse aime bien faire flipper ses futures victimes. Par contre, il ne faut pas s’attendre à des exécutions très spectaculaires, tout est vite expédié pour nourrir un climat d’effroi enfin il faut le dire vite. Ça ne vole pas bien haut et ça s’oublie vite, la seule chose à retenir c’est que la réalisation a été confiée à Eric Valette (La proie / Une affaire d’état) grâce sans doute à un coup de fil bien passé.