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dominique besnehard

  • Max

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    La petite Maxine (Shana Castera) n’a jamais eu le bonheur de connaitre sa mère et malgré tout l’amour que lui porte son père Tony (Joey Starr), ce manque se faire ressentir chaque jour un peu plus. Après avoir une fois de plus s’être enfuie de l’école, elle croise la route de Rose (Mathilde Seigner), une femme qui s’occupe des bons hommes. Le lendemain, la petite fille vient la retrouver avec une demande un peu spéciale : elle souhaiterait que Rose vienne s’occuper de son père jusqu’à Noël. D’abord surpris, Tony finit par conclure un arrangement afin de plaisir avec Max et qui sait si le miracle de Noël ne pourrait pas agir et former un nouveau couple.

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    Si on m’avait dit un jour que je verrais Joey Starr en héros de comédie romantique ! D’ailleurs en parlant du casting, c’est certainement le seul véritable attrait de Max qui réunit également Emmanuelle Seigner & Jean-Pierre Marielle. La petite Shana Castera est elle aussi attachante mais joue souvent avec excès. Ce qui est nettement moins mémorable, c’est ce scénario auquel a participé l’homme en noir Thierry Ardisson (officiant également en tant que coproducteur) qui ne fait preuve d’aucune originalité. On a bien sur le couple qui va se former, la petite fille qui s’attache à sa nouvelle pote avec qui elle fait des photos d’identité et tout ça dans une belle ambiance de fêtes de noël déguisé en indien.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre pourquoi vous avez du poulet à chaque repas.

  • Didier

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    Comme si notre pote Jean-Pierre (Jean-Pierre Bacri) n’avait pas assez de problèmes dans sa vie, il a en plus fallu qu’il rende service à Annabelle (Caroline Cellier). Partie à Los Angeles pour le boulot elle laisse derrière son plus grand amour ; Didier un labrador. Jean-Pierre se retrouve donc avec ce chien sur les bras pour 10 jours et la cohabitation n’est pas facile. Mauvaise période pour lui car en plus de ça cet agent de football est dans une situation délicate avec son club le FCB et il doit trouver une solution de toute urgence. Il est temps d’aller se coucher mais il n’est pas au bout de ses peines car une chose incroyable s’est réalisé dans la nuit : Didier (Alain Chabat) a pris l’apparence d’un être humain !

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    Sorti en 1997, on ne peut pas cacher que le film d’Alain Chabat a tout de même pris quelques rides mais il n’en reste pas moins tout aussi magnifiquement drôle et sympathique. Magique aussi que ce duo Bacri / Chabat avec une mention toute particulière pour l’ex-Nul qui incarne à merveille le rôle d’un chien et qui plus est surdoué du football (et dire que même un labrador peut marquer contre le PSG !). D’ailleurs, non content de porter l’habit d’acteur il signe également ce qui est sa toute première réalisation qui empochera le César de la Meilleure première œuvre en 1998. Assurément, Didier fait partie de ces comédies qu’on prend toujours plaisir à voir et surtout à revoir.

  • HH, Hitler à Hollywood

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    La comédienne Maria de Medeiros (Oui, celle-là même qui a joué dans le cultissime Pulp Fiction) s’est lancée dans le projet de réaliser un documentaire sur l’immense carrière de Micheline Presle. Au fil de leurs discussions, Maria apprend l’existence d’un film titré Je ne vous aime pas à laquelle a participé la comédienne et réalisé par un certain Luis Aramchek (Hans Meyer) qui n’a jamais vu le jour. Avec l’aide de son caméraman Thomas (Wim Willaert), elle décide de faire les recherches pour en apprendre davantage sur cet homme et au lieu de trouver les images de ce film, elle en découvre un autre dont le titre l’interpelle immédiatement : Hitler à Hollywood !

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    Avec un titre pareil, ce vrai-faux documentaire ne pouvait pas passer inaperçu et c’est donc avec un regard très curieux que l’on va suivre l’enquête de Maria de Medeiros. L’idée est ingénieuse, d’autant plus qu’il faut savoir que Luis Aramchek a réellement existé et qu’il a effectivement tourné un film inédit avec Micheline Presle. Dommage que le reste ne suive pas ; si on se laisse d’abord embarquer par un thriller renforcé par la présence de nombreux guest-stars il faut bien reconnaitre que HH, Hitler à Hollywood manque de nous captiver. Un postulat de départ intéressant mais à la réalisation trop ordinaire d’où résulte un film irrégulier et pas plus attrayant que ça pour le public.

     

    Il faut le voir pour : Réfléchir à 2 fois avant d’aller voir un film américain.