John Rambo - Rambo 2
John Rambo : Pour survivre à la guerre, il faut devenir la guerre
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John Rambo : Pour survivre à la guerre, il faut devenir la guerre
Le conducteur : Vous me donnez une heure et un lieu. Je vous donne un créneau de cinq minutes, pendant ces cinq minutes, je vous lâche pas, quoi qu’il arrive. J’interviens pas pendant le braquage, je ne porte pas d’arme… Je conduis.
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Il y a encore 6 mois notre pote Will Tanner (Randy Orton) était un chasseur de primes mais en voulant neutraliser le dangereux Cyrus Merrick (Wes Studi), il l’a accidentellement tué. Aujourd’hui, Will est retourné vivre auprès de son père Frank (Eric Roberts) et est devenu dépanneur. Un jour, il croise Michaels (Morse Bicknell) qui faisait autrefois partie de son équipe de chasseurs de primes mais après quelques gorgées de bière, celui-ci cherche à le tuer. Les surprises ne vont pas s’arrêter là puisque un peu plus tard, Lange (Michael Sheets) un autre ancien partenaire pointe à son tour le bout de son nez. Les ennuis ne font que débuter !
Il avait succédé à John Cena sur 12 rounds : Reloaded, voilà que notre pote Randy Orton prend la suite de Steve « 3 :16 » Austin pour The condemned 2. Il retrouve Roel Reiné, un réalisateur habitué des productions WWE pour des résultats loin d’être brillants ; ce nouveau film ne va pas révolutionner sa carrière, pire que ça il fait même un peu peine à voir. Scénario insipide, mise en scène ennuyeuse en dehors d’un faiblard spectacle pyrotechnique à la fin (il se murmure que tout le budget est allé dans le drone !), voilà de quoi le condamner aux oubliettes. La star du catch n’est pas prête de quitter le ring pour se lancer sérieusement au cinéma, prochain objectif s’incruster sur la sage The marine ?
Des cendres de l'Empire a émergé les forces du Premier ordre emmené par le Supreme leader Snoke (Andy Serkis). Pour leur faire face, une vague de résistance s'est organisée sous l'impulsion de Leia Organa (Carrie Fisher) mais le combat est difficile. Le rapport de forces pourrait changer s'ils savaient où se trouve Luke Skywalker (Mark Hamill), le dernier des chevaliers Jedi. Celui-ci a en effet mystérieusement disparu et afin de retrouver sa trace, Leia a envoyé Poe Dameron (Oscar Isaac), son meilleur pilote sur la planète Jakku où il doit récupérer une carte qui mènerait à Luke. Le Premier ordre représenté par Kylo Ren (Adam Driver) aimerait également le retrouver afin de s'assurer de l'extinction totale des Jedi.
Après avoir relancé la franchise Star trek, J.J. Abrams continue d'explorer l'espace en donnant une suite aux aventures de Luke, Leia et compagnie mais place surtout aux nouveaux visages avec Rey, Finn ou encore Dameron. En revanche, le méchant de service n'a pas plus de charisme qu'une quiche lorraine ce qui n'arrange pas vraiment une histoire qui respire le déjà-vu. Le réalisateur a voulu rendre hommage au travail de George Lucas et ça se ressent un peu trop (on attend un "Je suis ta mère" pour l'épisode 8) jusqu'à reprendre la trame scénaristique de l'épisode 4 ! L'attente était grande et la découverte de ce Star wars : Le réveil de la force se fait avec pas mal de déceptions. Espérons que les prochains volets montrent un peu plus de magie car là la force est encore un peu endormie !
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L'espionnage britannique est en pleine réforme et cela pourrait bien mener à la disparition du programme 00 considéré par certains comme obsolète. Les récents exploits d'un certain James Bond (Daniel Craig) au Mexique ne vont pas arranger les choses cependant l'agent secret suivait en fait une piste que lui a confié une source de confiance. Cela va le conduire par la suite à Rome où une mystérieuse organisation s'est réunie et au cours des discussions est évoqué le sort d'un certain Roi pâle, une cible à éliminer. Une surprise attend également James qui va retrouver un visage bien familier ; Franz Oberhauser (Christoph Waltz) qui jusqu'à présent était déclaré mort aux yeux du monde entier.
Les diamants sont éternels et on dirait bien que le héros de Ian Fleming le soit tout autant ! Après Skyfall, notre pote Sam Mendes rempile donc à la réalisation et retrouve le toujours impeccable Daniel Craig. Comme tout James Bond qui se respecte on retrouve tout ce qui a contribué au succès de la saga et c'est bien ce qui nous embête un peu car on aurait apprécié quelque chose de plus surprenant. Bien entendu quand vient le temps de l'action, 007 Spectre fait le job (d'ailleurs ils auraient pu filer un peu plus de dialogues à Dave Bautista parce que là ça fait "cognes et tais-toi !"). Il serait peut-être injuste de dire qu'on nous sert du réchauffé mais les effluves sont là et apporter du sang neuf à la saga ne serait pas du luxe.
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Tout le monde l’ignore mais les sorcières vivent parmi nous ! Un accord a été conclu afin qu’elles ne puissent utiliser leurs sortilèges sur les humains et mieux vaut respecter cette règle pour ne pas avoir affaire à l’impitoyable Kaulder (Vin Diesel). Ce chasseur de sorcières a vaincu la Reine des sorcières (Julie Engelbrecht) il y a 800 ans mais avant de mourir, cette dernière lui a lancé une malédiction et c’est ainsi qu’il est devenu immortel. Dans son combat, il est assisté par le Dolan (Michael Caine) assigné par la Confrérie de la Hache et de la croix mais celui-ci a fait son temps et souhaite introduire auprès de Kaulder son successeur.
Quand il n’est pas au volant de bolides, notre pote Vin Diesel fait travailler ses muscles et ici en l’occurrence c’est pour aller à la chasse aux sorcières. On a un peu l’impression d’avoir un film comme Underworld avec ces créatures fantastiques évoluant dans notre réalité contemporaine et même pour ce qui est de la qualité - discutable - ça se ressemble. Les sortilèges sont évidemment au rendez-vous servis par un flot d’effets spéciaux mais l’intrigue n’a elle rien de magique. Casting quand même intéressant avec les présences Michael Caine & Elijah Wood mais Le dernier chasseur de sorcières est très loin de se montrer passionnant. Ne pas le voir ne sera pas une grande perte.
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Ils ont échappé à Wicked et son désormais en sécurité dans un sanctuaire dirigé par un certain Janson (Aidan Gillen). Place au soulagement pour Thomas (Dylan O'Brien), Teresa (Kaya Scodelario) et leurs potes d'enfance mais ils vont également découvrir qu'ils ne sont pas les seuls à s’être échappés d'un labyrinthe. Parmi eux se trouve Aris (Jacob Lofland) qui va alerter Thomas d'un drôle de manège au sein de ce fameux sanctuaire qui n'est pas l'abri qu'on leur annonçait. Après avoir découvert la vérité sur Janson et ses intentions, ils parviennent à prendre la fuite et se retrouvent dans le désert de la Terre brûlée. D'autres dangers les attendent puisque cela grouille de Fondus, des créatures assoiffées de sang !
Second volet de la saga imaginée par James Dashner, on reprend les mêmes et on recommence ! Toujours aussi en jambes, nos jeunes héros ne vont pas non plus s'ennuyer avec cet épisode où la menace des araignées mécaniques laisse place à celle pas très originale des Fondus, de dangereux zombies. On en découvre toujours un peu plus avec une histoire mettant plus particulièrement en lumière le duo Thomas / Teresa reléguant davantage les autres personnages en tant que faire-valoir. Malgré tout, ça reste toujours aussi riche en action et on n'a vraiment pas le temps de s'ennuyer avec Le labyrinthe : La terre brûlée ce qui en fait un sympathique divertissement. On prend déjà rendez-vous pour le prochain épisode !
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Au Japon, le rêve de tout élève pratiquant le baseball est un jour de disputer un match dans le prestigieux stade Kōshien. Cette année, l'établissement Seido et notamment son principal et entraîneur de l'équipe espèrent qu'ils atteindront cet objectif. C'est donc une véritable désillusion lorsqu'ils apprennent que leurs premiers adversaires seront les membres de l'équipe de Gedo car ceux-ci pratiquent un baseball très particulier. Composée de zombies, ils ne pensent qu'à tuer tous ceux qui se présentent devant eux et à la fin des matchs, les terrains laissent place à des champs de guerre. Il reste toutefois un espoir ; il vient d'arriver à Seido et s'appelle Yakyû Jubei (Tak Sakaguchi).
Du baseball oui mais il y a aussi des zombies, des joueurs robotisés, un mec qui ne cesse de rajeunir ou encore une mamounette très effrayante ! Autant vous prévenir que si vous n'appréciez pas le caractère souvent loufoque des japonais, vous pouvez d'ores et déjà passer votre chemin. En dehors de quelques lancers de balles et coups de battes, le sport est quant à lui relégué au second plan préférant les scènes qu'on dirait tout droit sorties d'un dessin animé, des bastons improbables mais aussi quelques séquences de comédies musicales. Sorti en 2003, Battlefield baseball a clairement pris quelques rides mais ça reste malgré cela un délire bien sympa à mater.
Un peu plus tôt, notre pote Franck Martin (Ed Skrein) a été engagé par Anna (Loan Chabanol). Il était alors prévu qu'il prenne en charge deux paquets mais le transporteur n'imaginait pas un instant qu'il s'agissait en fait de deux femmes. Ce contrat, il est forcé de l'honorer puisque Anna a pris toutes ses précautions en kidnappant le père du conducteur dont les ennuis ne font que commencer ! Franck va en effet se retrouver mêlé dans une histoire impliquant Arkady Kasarov (Radivoje Bukvic) autrement dit l'homme qui se cache derrière le Cœur brisé, un réseau de prostitution qui s'est installé sur la Côte d'Azur depuis 15 ans. Sa priorité sera de sauver son père mais plus facile à dire qu'à faire !
On repart sur de nouvelles bases puisque notre pote Jason Statham n'a pas souhaité reprendre le costume de Franck Martin après 3 épisodes. Place donc à de nouveaux noms avec Ed Skrein en tête d'affiche mais aussi à la réalisation où l'on accueille Camille Delamare (Brick Mansions). A part ça, rien n'a changé ; un chauffeur de voiture qui ne refuse jamais une bonne baston, des filles sexy le plus court-vêtues possible et bien entendu de l'action aussi impressionnante qu'improbable. Le transporteur Héritage est un peu dans la même lignée que la série télévisée qui a été développée c'est-à-dire une pale copie qui peine à nous divertir. Sans Jason, c'est vraiment pas la même chose !
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Ils ont quitté Chicago pour donner un nouvel élan à leur vie mais nos potes Anna & Tom (Kate Hudson & James Franco) n’en n’ont pas fini avec les ennuis. Installés à Londres où ils voulaient rénover une maison dont ils ont hérité, le couple se rend compte que ce projet est un vrai gouffre financier. Comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’ils vont bientôt être expulsés de leur appartement mais un événement pourrait tout changer. Ben (Francis Magee) à qui ils louaient une partie de l’appartement est retrouvé mort, victime d’une overdose et c’est en rangeant ses affaires qu’ils trouvent un sac contenant près de 220 000 livres sterlings !
Adaptation du roman Good People écrit par Marcus Sakey, il est difficile de ressortir quelque chose de positif de ce Dangerous people ; le scénario tout comme la réalisation de l'inconnu Henrik Ruben Genz. Un couple endetté, un sac rempli de billets et le début des ennuis pour le couple Hudson / Franco pris dans un terrible engrenage. A la limite, seul le personnage joué par Tom Wilkinson aurait pu connaître un développement intéressant au lieu de quoi il n'est pas loin de faire de la simple figuration. On pourra toujours se réjouir de voir notre pote Omar Sy étoffer son CV international mais ce film ne propose rien d’excitant ce qui le destine à tomber dans l’oubli.