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anna friel

  • Dangerous people

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    Ils ont quitté Chicago pour donner un nouvel élan à leur vie mais nos potes Anna & Tom (Kate Hudson & James Franco) n’en n’ont pas fini avec les ennuis. Installés à Londres où ils voulaient rénover une maison dont ils ont hérité, le couple se rend compte que ce projet est un vrai gouffre financier. Comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’ils vont bientôt être expulsés de leur appartement mais un événement pourrait tout changer. Ben (Francis Magee) à qui ils louaient une partie de l’appartement est retrouvé mort, victime d’une overdose et c’est en rangeant ses affaires qu’ils trouvent un sac contenant près de 220 000 livres sterlings !

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    Adaptation du roman Good People écrit par Marcus Sakey, il est difficile de ressortir quelque chose de positif de ce Dangerous people ; le scénario tout comme la réalisation de l'inconnu Henrik Ruben Genz. Un couple endetté, un sac rempli de billets et le début des ennuis pour le couple Hudson / Franco pris dans un terrible engrenage. A la limite, seul le personnage joué par Tom Wilkinson aurait pu connaître un développement intéressant au lieu de quoi il n'est pas loin de faire de la simple figuration. On pourra toujours se réjouir de voir notre pote Omar Sy étoffer son CV international mais ce film ne propose rien d’excitant ce qui le destine à tomber dans l’oubli.

  • A very englishman

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    Notre pote Paul Raymond (Paul Coogan) aime le spectacle et il en a fait son métier en proposant des shows très particuliers. Les belles femmes attirent les regards et encore plus lorsqu’elles sont nues et ça il l’a bien compris ; c’est ce qui va faire son succès et sa richesse. Bien que mariée avec Jean (Anna Friel) et père de 2 enfants, sa libido débordante l’amène à collectionner les conquêtes néanmoins avec le consentement de sa femme. Sa relation avec Fiona (Tamsin Egerton) sera différente puisqu’il quittera le foyer familial avant de demander le divorce afin de vivre avec cette rousse flamboyante et star de ses productions.

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    Si les Etats-Unis ont Hugh Hefner avec Playboy, l’Angleterre a Paul Raymond une des plus grandes fortunes du pays qui a construit lui aussi un véritable empire du charme. Il est plus que probable que vous ne connaissiez pas ce personnage (ou que vous feignez de ne pas connaitre) avant ce film de Michael Winterbottom qui vous permet ainsi de découvrir son ascension professionnelle. Difficile de ne pas s’intéresser à la vie dissolue de ce beau parleur toujours en galante compagnie d’autant plus que Steve Coogan livre une belle performance pour ce biopic divertissant sans réussir à rendre A very englishman incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à être un bon père et fournir de la bonne drogue à vos enfants !

  • Goal III : Taking on the world

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    Leur rêve va bientôt devenir réalité, nos potes Liam Adams, Charlie Braithwaite & Santiago Munez (JJ Feild, Leo Gregory & Kuno Becker) sont à deux doigts de disputer la prochaine Coupe du monde de football qui se déroule en Allemagne. Avant cela, Charlie a appris une autre bonne nouvelle puisqu’on lui a proposé de participer à un film et le voilà parti en compagnie de ses 2 potes d’enfance pour un tournage qui promet d’être mémorable. Tout se passe bien jusqu’à cet accident de voiture où tout le monde sort indemne à part Santiago qui est gravement blessé et va devoir faire une croix sur sa participation à la Coupe du monde.

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    Au départ, Goal devait être la saga référence du football au cinéma, un projet ambitieux décliné en une trilogie. Après 2 épisodes peu enthousiasmants voilà donc venir le dernier volet … directement en DVD. Pire encore, le héros principal qu’était Santiago Munez devient un personnage totalement secondaire pour laisser place à des coéquipiers représentant l’équipe nationale d’Angleterre. Un revirement scénaristique qui laisse plus que perplexe et qui laisse deviner que le succès n’a pas été au rendez-vous avec les 2 premiers épisodes. D’ailleurs mieux vaut se contenter de ces films que de perdre votre temps avec Goal III : Taking on the world qui tient plus d’un mauvais téléfilm qu’autre chose.

     

    En savoir plus sur Goal, naissance d’un prodige ?

     

    En savoir plus sur Goal II La consécration ?

  • London boulevard

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    Fraichement sorti de prison, Mitchel (Colin Farrell) est accueilli par Billy (Ben Chaplin) et aussitôt ce dernier lui propose de reprendre ses bonnes vieilles habitudes de gangster. Seulement ces 3 années d’enfermement ont fait prendre conscience à Mitchell ses erreurs passés et il ne tient évidemment pas à retourner derrière les barreaux. Toutefois, il a besoin d’informations après un crime commis sur un de ses potes d’enfance ; il est à la recherche de 2 jeunes qui l’ont violemment agressé et provoqué sa mort. Pour cela il va être présenté à Gant (Ray Winstone), un homme puissant et respecté qui n’a pas peur de se salir les mains.

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    Autant jouer cartes sur table immédiatement, je ne suis pas du tout entré dans l’histoire de London boulevard. C’est d’autant plus dommage que Colin Farrell est irrésistible avec en face de lui un Ray Winstone tout aussi exceptionnel hélas le problème vient cette romance avec la star qu’incarne Kieira Knightley. Une relation qui désamorce tout la tension accumulée et qui nous fait perdre pied dans l’intrigue principale et sans cette parenthèse, le film aurait vraiment un tout autre visage. Pour une première réalisation, William Monahan distille des éléments intéressants notamment dans le dénouement mais cette copie là reste bien insuffisante !

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que les paparazzis sont bien grossiers !

  • Limitless

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    Notre pote Eddie Morra (Bradley Cooper) est une vraie épave, cet écrivain en manque d’inspiration vient de se faire plaquer par Lindy (Abbie Cornish). Un nouvel échec sentimental après un 1er mariage raté. C’est donc un homme au fond du trou que croise Vernon (Johnny Whitworth), son ex beau-frère mais il a peut-être une solution pour lui ! Eddie reçoit une pilule révolutionnaire capable de libérer le cerveau de ses pleines capacités. Sceptique au départ, il se rend très vite compte des facultés de cette nouvelle drogue et va chercher en s’en procurer davantage sans se soucier des éventuels effets secondaires qui pourraient se manifester.

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    Ah si cette pilule était réelle, elle ferait à coup sur un tabac surtout pour certains réalisateurs ! Après son deuxième Very bad trip, Bradley Cooper continue de consommer des substances illicites à la différence qu’ici ça le rend totalement irrésistible, on ne peut pas en dire autant de Limitless. Les 45 premières minutes sont bonnes, même très bonnes avec une réalisation très décalée de Neil Burger mais c’est par la suite que l’histoire prend une tournure malhabile. Plutôt que de continuer sur le même état d’esprit, il transforme son film en un thriller mièvre où De Niro vient jouer le figurant de luxe.

     

    Il faut le voir pour : Demander à votre médecin de vous prescrire quelques pilules.

  • Le monde (presque) perdu

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    C’était il y a 3 ans lors d’une émission avec Matt Lauer ; le Professeur Rick Marshall (Will Ferrell) s’est alors ridiculisé devant le monde entier et a alors perdu toute crédibilité. Si tout le monde considère sa théorie sur les failles spatiotemporelles complètement fantaisistes, Holly Cantrell (Anna Friel) est convaincue de leur existence. C’est d’ailleurs suite à sa visite auprès de Rick que ce dernier se décide à finaliser la fabrication de son amplificateur à tachyons. Ils ne tardent pas à essayer cet appareil qui dépasse toutes leurs espérances puisqu’ils se retrouvent expédiés dans un autre monde peuplés de dinosaures et d’autres créatures étranges !

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    Quand le nom de Will Ferrell apparaît au générique d’un film, il y a fort à parier qu’on aura droit à un festival d’humour absurde. Le monde (presque) perdu ne fait donc pas exception à cette règle d’or car l’aventure qui nous est proposée part rapidement en vrille. Hélas, sur la longueur ce qui devait nous faire rire finit par nous lasser malgré toutes les bonnes volontés de Ferrell et de ses compères. Inspirée par la série télévisée datant des années 1970 Land of the lost, cette comédie n’est pas des plus démentielles et on si dit même qu’il serait préférable qu’il reste effectivement perdu.

     

    Il faut le voir pour : Toujours faire attention aux personnes qui portent des tuniques !