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sam spruell

  • Dangerous people

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    Ils ont quitté Chicago pour donner un nouvel élan à leur vie mais nos potes Anna & Tom (Kate Hudson & James Franco) n’en n’ont pas fini avec les ennuis. Installés à Londres où ils voulaient rénover une maison dont ils ont hérité, le couple se rend compte que ce projet est un vrai gouffre financier. Comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’ils vont bientôt être expulsés de leur appartement mais un événement pourrait tout changer. Ben (Francis Magee) à qui ils louaient une partie de l’appartement est retrouvé mort, victime d’une overdose et c’est en rangeant ses affaires qu’ils trouvent un sac contenant près de 220 000 livres sterlings !

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    Adaptation du roman Good People écrit par Marcus Sakey, il est difficile de ressortir quelque chose de positif de ce Dangerous people ; le scénario tout comme la réalisation de l'inconnu Henrik Ruben Genz. Un couple endetté, un sac rempli de billets et le début des ennuis pour le couple Hudson / Franco pris dans un terrible engrenage. A la limite, seul le personnage joué par Tom Wilkinson aurait pu connaître un développement intéressant au lieu de quoi il n'est pas loin de faire de la simple figuration. On pourra toujours se réjouir de voir notre pote Omar Sy étoffer son CV international mais ce film ne propose rien d’excitant ce qui le destine à tomber dans l’oubli.

  • Taken 3

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    Alors que sa relation avec Stuart (Dougray Scott) bat sérieusement de l’aile, notre pote Lenore (Famke Janssen) sait qu’elle peut toujours compter sur le soutien de son ex-mari. D’ailleurs entre eux, l’étincelle semble renaitre mais Bryan Mills (Liam Neeson) est dévasté lorsqu’il découvre le corps sans vie de Lenore chez lui et qu’on lui a tendu un piège. Alors que la police s’apprêtait à l’arrêter, il prend la fuite afin de découvrir la vérité et Bryan prévient immédiatement sa fille Kim (Maggie Grace). Avec les flics aux trousses, il va devoir se montrer discret tout en menant sa propre enquête et il risque d’avoir des surprises !

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    Après Paris & Istanbul, on retrouve donc notre pote Liam Neeson a.k.a Bryan Mills chez lui aux États-Unis où il semble avoir repris une vie normale mais ça ne saurait durer. Cette fois notre héros va devoir traquer l’assassin de sa femme, un scénario aussi sommaire qu’invraisemblable l’essentiel étant de nous refourguer un énième film d’action. Olivier Megaton rempile mais ne se montre pas plus prolifique que précédemment si bien que Taken 3 n’offre pas de scènes dignes de ce nom. On attendait un second souffle avec l’apparition de Forest Whitaker au casting mais en dehors de résoudre ses enquêtes en mangeant un bagel tout en triturant sa pièce de jeu d’échecs, il n’a aucune influence.

     

    Il faut le voir pour : Prendre la boisson de la 4ème rangée du frigo !

     

    En savoir plus sur Taken ?

    En savoir plus sur Taken 2 ?

  • Les poings contre les murs

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    Jusqu’à présent il n’avait fréquenté que les centres de détention pour mineurs mais à désormais 19 ans, notre pote Eric Love (Jack O'Connell) vient d’intégrer une prison. Il ne tarde pas à se fondre dans son nouvel environnement et agresse très rapidement un de ses codétenus ce qui lui vaut un petit séjour à l’isolement. Loin de se montrer docile, son comportement va attirer l’attention d’Oliver (Rupert Friend) qui aimerait l’intégrer dans son programme afin que le jeune homme apprenne à canaliser sa colère. Surtout si Eric se trouve dans cette prison, c’est qu’il souhaite revoir quelqu’un en particulier qui est enfermé depuis déjà de nombreuses années.

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    Comme beaucoup de longs-métrages sur l’univers carcéral, tout commence avec l’arrivée d’un nouveau détenu et en l’occurrence on découvre Jack O'Connell (dont le visage me fait penser au catcheur John Cena mais c’est le geek en moi qui parle). Totalement imprégné par son personnage, l’acteur livre une grande performance qu’il faut également coupler à celle de Ben Mendelsohn. C’est d’ailleurs le lien particulier entre ces deux personnages qui donne une certaine singularité à Les poings contre les murs redonnant un peu d’intérêt à une histoire dans l’ensemble classique. Un film certes réussi mais qui manque tout de même d’un petit quelque chose pour provoquer un véritable impact dans nos esprits.

     

    Il faut le voir pour : Trouver une bonne planque pour votre portable !

  • Blanche-Neige et le chasseur

    cinéma, film, fantastique, blanche-neige et le chasseur, Kristen Stewart, Chris Hemsworth, Charlize Theron, Sam Claflin, Sam Spruell, Ian McShane, Bob Hoskins, Ray Winstone, Toby Jones, Brian Gleeson, Liberty Ross, Noah Huntley, Rupert Sanders, Raffey Cassidy

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    Elle n’était encore qu’une petite fille lorsque notre pote Blanche-Neige (Raffey Cassidy / Kristen Stewart) a perdu sa mère (Liberty Ross), une disparition qui plongea également son père le Roi Magnus (Noah Huntley) dans le désespoir. Il retrouvera cependant le sourire lorsqu’il va faire la rencontre de la belle Ravenna (Charlize Theron) qu’il épousera dans la foulée mais cette femme révèle rapidement ses véritables intentions. Elle assassine sans la moindre hésitation son époux et s’empare ainsi du royaume qui va se retrouver plonger dans les ténèbres, Blanche-Neige quant à elle est impuissante et se retrouve prisonnière des années durant. Lorsqu’elle parvient enfin à s’échapper, sa marâtre lance à sa poursuite un chasseur.

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    A quelques mois d’intervalle, nous avons donc eu droit à 2 adaptations live du célèbre conte de fée ; si Blanche-Neige s’affichait comme une œuvre grand public, Blanche-Neige et le chasseur visait un public plus mature enfin à peine ! On s’attendait à un film sombre et si Charlize Theron est bien là avec son personnage de reine psychotique et despotique, le reste ne fait pas illusion bien longtemps. Les nains sont réduits à des rôles de faire valoir, l’héroïne se retrouve dans un faux triangle amoureux  et se transforme en une piètre Jeanne d’Arc en raison d’une Kristen Stewart totalement amorphe. Entre les 20 premières et dernières minutes ; il y a quand même un gros vide que le réalisateur Rupert Sanders tente vainement de combler mais c’est peine perdue. Décevant.

     

    Il faut le voir pour : Vraiment arrêter de manger toutes les pommes qu’on vous offre !