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  • The finest hours

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    Février 1952 à proximité des côtes du Massachussetts. Une terrible tempête fait rage et à bord du SS Pendleton, l’inquiétude grandit. Ray Sybert (Casey Affleck) craint en effet que le pétrolier ne tienne pas le coup face à la mer déchainée et ses prédictions s’avèrent malheureusement exactes. Ce que ses hommes et lui n’imaginaient pas c’était l’étendue des dégâts puisque le navire a été littéralement coupé en deux ! Pendant ce temps, les garde-côtes sont sur le pied de guerre ; ils ont reçu un appel de détresse mais celui-ci a été envoyé par un autre pétrolier ayant subi le même sort et pour le moment ils ignorent tout du sort du Pendleton. C’est finalement une petite équipe menée par Bernie Webber (Chris Pine) qui va se lancer dans une des opérations de sauvetage les plus périlleuses.

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    Parce que c’est un véritable acte héroïque qu’a accompli Bernie Webber et son équipe, son histoire méritait d’être dévoilée à tous. The finest hours sait se montrer impressionnant visuellement lorsqu’il nous entraine sur les flots surtout quand il se focalise sur le sort du SS Pendleton mais la tension retombe de manière brutale lorsqu’on remet pied à terre. Ceci est notamment vrai dans la première partie où se développe la relation Miriam / Bernie pour renforcer l’aspect dramatique du scénario. Une petite déception aussi car malgré son beau casting, les personnages incarnés par Ben Foster et Eric Bana sont trop effacés. On reconnaitra le mérite de vouloir rendre hommage à un vrai héros mais ça reste au final un film assez banal.

     

     

    Il faut le voir pour : Faire appel à votre femme si vous avez peur de demander quelque chose !

     

  • Deadpool

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    Pour gagner sa vie, notre pote Wade Wilson (Ryan Reynolds) vend régulièrement ses services pour des causes pas toujours nobles. Sa rencontre avec Vanessa (Morena Baccarin) allait changer bien des choses puisque le couple s’apprêtait même à se marier jusqu’à ce qu’une terrible nouvelle ravage leur avenir. Wade s’est en effet découvert un cancer et la médecine semble impuissante pour qu’il échappe à la mort. Son dernier recours est alors d’accepter une offre qui lui permettrait de se doter d’incroyables pouvoirs et de devenir un super-héros ! Il est alors loin de se douter qu’il deviendra un cobaye pour les expérimentations d’Ajax (Ed Skrein) qui va réveiller ses pouvoirs mutants qui feront de lui le mercenaire connu sous le nom de Deadpool.

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    Après l’avoir aperçu dans Wolverine, il était assez difficile de concevoir que Deadpool aurait droit à son adaptation et pourtant voilà qu’il débarque plus irrévérencieux que jamais. Le héros de Marvel le plus déjanté possède un univers totalement décalé et cher aux fans, qu’on se rassure le réalisateur Tim Miller a su répondre aux attentes ! Cervelles explosées, blagues qui fusent ; pas de doute on retrouve bien le Wade Wilson du comic-book et on s’en réjouit. Du coté des aspects négatifs, on signalera les présences anecdotiques des 2 X-men pour le chaperonner ou encore celles de ces vilains en mousse. Un Coup de cœur Ciné2909 qui se savoure tel un Chimichanga et on espère que le mercenaire reviendra rapidement pour d’autres aventures.

     


    Il faut le voir pour : Vous acheter des Crocs parce que c'est vraiment trop confortable !

  • Point Break

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    L'adrénaline offert par les sports extrêmes c'est ce qui séduisait Johnny Utah (Luke Bracey) mais sa vision des choses a changé du jour au lendemain avec la mort de son pote d'enfance Jeff (Max Thieriot). On le retrouve 7 ans plus tard alors qu'il est sur le point de rejoindre les rangs du FBI qui enquête actuellement sur des affaires de braquages atypiques. Un gang a en effet dérobé des diamants puis des liasses de billets en s'échappant par la voie des airs et tout semble indiquer qu'ils vont frapper de nouveau. Johnny a en effet découvert que leurs différents exploits correspondent aux 8 défis d'Ozaki réputés comme surhumains.

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    La vague des reboots hollywoodiens aura donc emporté Point Break et comme je ne connais pas l'original à ce jour, il n'y a pas trop d'appréhensions à découvrir cette version actualisée. L'accent est donc mis sur les sports extrêmes avec des phases de surf, des sauts en wingsuit ou encore de l'escalade et si cela n'offre pas forcément des sensations fortes il y a tout de même quelques belles images à découvrir. On ne va pas trop s'appesantir sur les personnages sans charisme et ce scénario dérisoire qui n'est qu'un prétexte pour lancer les différentes exploits. A la limite faites donc un tour sur Youtube ou Dailymotion, ça vous fera gagner du temps !

     

    Il faut le voir pour : Choisir votre voie !

  • Parallels

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    Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas eu de nouvelles de son père aussi ce fut une surprise pour notre pote Ronan Carver (Mark Hapka) de recevoir un message de sa part. Il lui a ainsi demandé de revenir dans la maison familiale où il va retrouver sa sœur Beatrix (Jessica Rothe). Elle aussi a eu le même message mais n'a pas vu son père et le mystère s'épaissit lorsqu'ils découvrent un sac à dos où ils y trouvent un drôle d'objet. Accompagné d'un de leurs voisins Harold (Eric Jungmann), ils partent à la recherche de leur père ce qui va les conduire jusqu'à cet immeuble qui recèle un secret puisqu'il serait le portail vers des terres alternatives !

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    Le multivers ou les terres alternatives en voilà un sujet passionnant proposé par Parallels du moins c'est vrai sur le papier. C'est bien beau de vouloir nous proposer différentes versions de notre réalité encore faut-il avoir les moyens de ses ambitions ce qui n'est évidemment pas le cas ici. Déjà en termes de découvertes ça se limite à 2 univers et encore cela se déroule de manière très sommaire et puis l'intrigue est aussi excitante qu'un rendez-vous chez mon podologue. En fait le film développe peu de choses en dehors de notre ennui devant l'écran et on espère simplement pour le bien de tous que ce film n'existe pas dans d'autres réalités !

  • Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre

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    Il a tout perdu ! Notre pote Max (Mel Gibson) vient de se faire attaquer et surtout voler son véhicule avec tout ce qu'il possédait sans ça, sa survie risque d’être bien plus difficile. Heureusement, il se trouve près de Trocpolis où il aura l'occasion de se refaire en offrant ses services. C'est ainsi qu'il est présenté auprès d'Entity (Tina Turner) qui va lui confier une mission de la plus haute importance. Max devra se débarrasser d'une montagne de muscles nommée Bombe (Paul Larsson) et pour cela, il devra participer à un combat dans l'impitoyable Dôme du tonnerre. Les règles sont simples ; il n'y en a pas et seul le vainqueur se verra le droit de sortir du dôme.

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    4 ans après le second opus, George Miller rempile pour de nouvelles aventures de notre pote Max le survivant. Direction Trocpolis où on est quand même surpris d'y trouver Tina Turner. Ce volet offre en fait un sentiment mitigé ; si on retrouve dans la première partie ce monde post-apocalyptique qui nous fascine (le combat dans le Dôme du tonnerre frise toutefois aujourd'hui le ridicule), on a ensuite une autre pour le moins étonnante. Passé ce moment de circonspection, on se console avec cette poursuite finale où l'on retrouve l'extravagance du réalisateur. Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre apporte donc une amère déception ; après avoir goûté à l'excellence de Mad Max 2 : Le défi il est difficile de se contenter de cet épisode ronronnant.

  • Mad Max 2 : Le défi

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    Les réserves de pétrole sont devenues rares ce qui a entraîné le déclin de l'humanité. Ancien flic, notre pote Max (Mel Gibson) n'a pu que constater ces conséquences désastreuses ; pour obtenir de l'essence les hommes sont désormais prête à tout et la vie ne semble n'avoir plus aucune valeur. Errant dans le désert, Max va croiser la route de Gyro (Bruce Spence) et apprend qu'une raffinerie se trouve non loin de là. Celle-ci attire évidemment de nombreuses convoitises comme celle du Seigneur Humongus (Kjell Nilsson) et de son gang qui sont venus les mettre en garde ; s'ils veulent rester vivants ils doivent abandonner le camp et l'essence. La seule solution est de s'enfuir et c'est Max qui se propose d'aller récupérer un camion pour tracter le réservoir.

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    Vous avez vu Mad Max ? Vous pouvez l'oubliez totalement car cette suite présente un tout autre visage. Sans contestation possible, ce n'est réellement qu'avec Mad Max 2 : Le défi que l’œuvre de George Miller prend son ampleur. L'histoire reprend tout de même des éléments du premier épisode en accentuant l'aspect fin du monde apocalyptique. Les décors désertiques parcourus par des véhicules rafistolés, une humanité en décomposition et des scènes d'action déjà bluffants (ça date quand même de 1981!) prémices de l'explosif Mad Max : Fury Road ; voilà l'essence même de la saga qui se dévoile devant nos yeux ! Un épisode qui marque les esprits Pour l'éternité, un film culte tout simplement.

     

    La scène à ne pas louper : La poursuite du camion-citerne !

  • Mad Max

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    La Terre dans un futur proche. Les routes sont devenues de véritables terrains de guerre et les délits ne cessent d'augmenter. Pour endiguer ce phénomène, les forces de Police se sont équipés en conséquence mais ce n'est pas toujours suffisant. Sur la route, notre pote Max Rockatansky (Mel Gibson) fait la loi avec son partenaire Jim Goose (Steve Bisley) mais ils vont avoir affaire à Toecutter (Hugh Keays-Byrne) et sa bande de motards. S'ils parviennent dans un premier temps à arrêter un des membres de ce gang Johnny the Boy (Tim Burns) malheureusement celui-ci retrouve rapidement la liberté. Les choses ne vont pas en rester là puisque Goose va tomber dans un guet-apens, un drame qui va marquer Max.

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    Détail qui a tout de même son importance, la vision de ce film se fait en 2015 après avoir vu le reboot au cinéma, c'est vous dire le fossé qu'il peut y avoir. On ne peut pas le nier Mad Max a vieilli et pas forcément de la meilleure des façons. C'est avec un petit sourire en coin qu'on découvre cette bande de renégats qui ne sont rien moins que d'ordinaires motards. Il y a tout de même du positif dans ce galop d'essai de George Miller ; l'ambiance fin du monde (bon les bagnoles de flic jaunes et les combinaisons en cuir ça le fait moyen) et des scènes d'action qui font toujours leur effet (et qui devait être révolutionnaire à l'époque de la sortie du film en 1979). Indispensable pour enrichir sa culture ciné moins pour le reste.

  • Jane got a gun

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    1871, sur le territoire du Nouveau-Mexique. Bien qu'il souffre de plusieurs blessures par balles, Bill Hammond (Noah Emmerich) a trouvé la force de rentrer chez lui afin d'avertir Jane (Natalie Portman). Les Bishop seront bientôt là et la jeune femme réagit immédiatement en allant confier leur fille Kate (Sachie Capitani) à une pote d'enfance. Elle rend ensuite visite à Dan Frost (Joel Edgerton) afin de solliciter son aide mais celui-ci refuse n'ayant pas vraiment envie de mettre sa vie en jeu surtout pour Hammond. Il faut remonter 7 ans dans le passé pour comprendre l'histoire qui lie Jane & Dan à une époque où ils formaient un couple.

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    Les westerns mettant en scène une héroïne ne courant pas les rues, Jane got a gun est déjà une belle curiosité. Notre pote Natalie Portman se retrouve donc dans une belle galère et tout ça nous est exposé à travers différents flashbacks. Des intermèdes qui coupent une histoire dont le rythme n'est déjà pas très soutenu et il faut attendre les derniers instants pour profiter de quelques scènes d'action. On n'est pas non plus très emballé par les personnages masculins et notamment celui incarné par Ewan McGregor qui n'a pas vraiment le charisme pour nous faire frémir. Entre déception et ennui, cette réalisation de Gavin O'Connor ne restera pas dans les mémoires !

     

    Il faut le voir pour : Éviter de laisser votre femme seule plus de 3 ans sinon ...

  • Le convoi

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    Malaga 16H09. Le départ a été donné pour 3 voitures qui vont remonter jusqu'en France avec leur marchandise. Par elles, il y a le véhicule conduite par Elyes (Madi Belem) accompagné par Majid (Foëd Amara) et ce dernier va avoir une très mauvaise surprise. Il découvre en effet qu'en plus de la marchandise habituelle, il transporte 7 kilos de cocaïne et ce simple détail pourrait l'envoyer derrière les barreaux pour 10 ans ! Un peu plus loin sur la route, Imad (Tewfik Jallab) tente lui de coordonner son équipe mais les choses ne vont pas se passer comme il l'espérait. Alors qu'ils n'ont pas encore quitté l'Espagne, un barrage policier se forme sur l'autoroute compromettant le convoi.

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    On se souvient du Go fast d'Olivier Van Hoofstadt qui s'était montré efficace, la version proposée ici par Frédéric Schoendoerffer est dans la même veine. Le convoi captive par sa réalisation nerveuse ; on passe d'une voiture à l'autre ce qui permet de faire monter progressivement l'intrigue tout en glissant quelques notes d'humour. Le réalisateur français retrouve Benoît Magimel qu'il avait déjà dirigé dans Truands et on appréciera également le reste du casting mené entre autres par Tewfik Jallab. Un thriller mené tambour battant - bon il ne faut pas non plus s'attendre à du Fast & Furious - qui a largement de quoi nous garantir un bon moment de divertissement.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre pourquoi il est préférable de garder les grenades dans le coffre !

  • Kung Fury

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    Miami 1985. La panique s'est installée dans les rues lorsqu'une borne d'arcade a pris vie détruisant tout ce qui se présente devant lui. Heureusement Kung Fury (David Sandberg), un super flic aux gros biceps est là pour ramener la paix au prix de quelques dégâts. Pas le temps de se reposer, notre héros va aussitôt repartir en mission où il devra cette fois neutraliser rien moins qu'Adolf Hitler ! Avec l'aide de son pote Hackerman (Leopold Nilsson), ils mettent au point une machine à remonter le temps mais Kung Fury va se retrouver à une époque bien plus reculée où règnent encore les Laser-raptors mais heureusement pour lui Barbarianna (Eleni Young) n'est pas loin !

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    A la lecture du scénario de Kung Fury, il faut bien évidemment prendre ce court-métrage au second degré dès lors on se retrouve devant un divertissement totalement jouissif ! Un héros bad-ass, une histoire insensée où se mêlent Hitler, dinosaures ou encore un diplodocop ; notre pote David Sandberg qui tient le premier rôle et se trouve également être le réalisateur nous met une petite claque. Il ne dispose évidemment pas les moyens des grands studios hollywoodiens mais ce qu'il nous propose est juste bluffant et certains longs-métrages devraient même s'en inspirer ! Avec une durée de 30 minutes, il n'y a aucun temps mort l'éclate est totale et c'est évidemment un Coup de cœur Ciné2909.