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Pour l'éternité

  • Mad Max 2 : Le défi

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    Les réserves de pétrole sont devenues rares ce qui a entraîné le déclin de l'humanité. Ancien flic, notre pote Max (Mel Gibson) n'a pu que constater ces conséquences désastreuses ; pour obtenir de l'essence les hommes sont désormais prête à tout et la vie ne semble n'avoir plus aucune valeur. Errant dans le désert, Max va croiser la route de Gyro (Bruce Spence) et apprend qu'une raffinerie se trouve non loin de là. Celle-ci attire évidemment de nombreuses convoitises comme celle du Seigneur Humongus (Kjell Nilsson) et de son gang qui sont venus les mettre en garde ; s'ils veulent rester vivants ils doivent abandonner le camp et l'essence. La seule solution est de s'enfuir et c'est Max qui se propose d'aller récupérer un camion pour tracter le réservoir.

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    Vous avez vu Mad Max ? Vous pouvez l'oubliez totalement car cette suite présente un tout autre visage. Sans contestation possible, ce n'est réellement qu'avec Mad Max 2 : Le défi que l’œuvre de George Miller prend son ampleur. L'histoire reprend tout de même des éléments du premier épisode en accentuant l'aspect fin du monde apocalyptique. Les décors désertiques parcourus par des véhicules rafistolés, une humanité en décomposition et des scènes d'action déjà bluffants (ça date quand même de 1981!) prémices de l'explosif Mad Max : Fury Road ; voilà l'essence même de la saga qui se dévoile devant nos yeux ! Un épisode qui marque les esprits Pour l'éternité, un film culte tout simplement.

     

    La scène à ne pas louper : La poursuite du camion-citerne !

  • Phantom of the paradise

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    Lorsque notre pote Winslow Leach (William Finley) a appris que M. Swan (Paul Williams) en personne avait particulièrement apprécié sa cantate dédié à Faust, il en était tout bouleversé. Un mois plus tard ce n’est plus la même chanson puisque Winslow découvre que non seulement on lui a volé son œuvre mais celle-ci va faire l’ouverture du Paradise avec la participation de ces satanés Juicy fruit. Il tente bien de faire réparer cette injustice mais cela se retourne contre lui et il finira derrière les barreaux. Du temps passe avant qu’il ne parvienne à s’échapper de Sing Sing et en voulant se venger, c’est une nouvelle sentence qui s’abat sur lui puisqu’il aura le visage totalement défiguré.

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    Retour au milieu des années 1970 avec le réalisateur Brian De Palma et n’ayons pas peur de dire que son Phantom of the paradise est et reste toujours aussi psychédélique ! Comédie musicale, romance, drame, ou encore fantastique ; ce sont autant de genres embrassés par ce film porté également par une magnifique bande originale. Si le personnage du Fantôme est là pour apporter sa folie, le spectateur est aussi subjugué par la performance de Paul Williams (réputé surtout pour ses activités de compositeur). Un film qui restera indéniablement Pour l'éternité et qui aura également eu une certaine influence auprès d'un certain George Lucas qui planchait alors sur Star Wars.

     


    La scène à ne pas louper : Swan "fabriquant" la voix de Winslow !

  • Ben-Hur

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    Cela fait des années qu’il n’avait pas mis pied en Judée et c’est en tant que chef de la garnison romaine que Messala (Stephen Boyd) fait son retour. Il a en plus de ça le bonheur de revoir son pote d’enfance Judas Ben-Hur (Charlton Heston) mais les joies de ces retrouvailles seront de courte durée. Les deux hommes qui étaient autrefois comme des frères vont devenir d’intimes ennemis. Tout commence lors d’un incident survenu durant un défilé en l’honneur du gouverneur Valerius Gratius (Mino Doro) au terme duquel Ben-Hur sera envoyé aux galères tandis que sa mère Miriam (Martha Scott) et sa sœur Tirzah (Cathy O’Donnell) connaitront les horreurs de la prison. Pendant des années, il devra subir les pires châtiments avant de pouvoir revenir en Judée pour y défier Messala !

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    Un budget énorme pour l’époque, des décors grandioses, un film spectaculaire qui s’étend sur plus de 3H30 ; c’est sur on a vu les choses en grand. C’est évidemment avec les yeux ébahis qu’on découvre cette histoire d’amitié brisé, qu’on accompagne notre pote Charlton Heston dans son incroyable périple avant d’enclencher sa vengeance. Les superlatifs manquent lorsqu’il s’agit de parler de Ben-Hur qui aura marqué l’histoire en raflant rien moins que 11 récompenses lors de la cérémonie des Oscars en 1960. Incontestablement, ce film de William Wyler aura contribué à écrire la légende du Péplum et aujourd’hui encore il reste l’un des plus grands chefs d’œuvre du Septième art.

     

    La scène culte à ne pas louper : La course de chars !

  • Peur sur la ville

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    Une femme a été retrouve morte défenestrée depuis le 17ème étage de son immeuble. Elle s’appelait Nora Elmer (Léa Massari) et quelques instants avant le drame, elle avait contacté la police pour signaler d’inquiétants appels téléphoniques. L’affaire est désormais aux mains du Commissaire Jean Letellier (Jean-Paul Belmondo) qui a lui surtout envie de mettre le grappin sur Marcucci (Giovanni Cianfriglia) qui a ruiné sa carrière. L’actualité va cependant le rattraper ; Nora fut victime d’un homme mystérieux se faisant appeler Minos (Adalberto Maria Merli) et il ne compte pas s’arrêter là. Ses victimes sont toutes des femmes qui selon lui méritent leur châtiment en raison de leur comportement jugé trop frivole.

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    Les premières notes de la musique composée par un certain Ennio Moriconne nous font immédiatement pénétrer dans l’atmosphère angoissante du film. Visuellement Peur sur la ville a bien pris quelques rides mais sur le fond, ça reste encore un polar de référence en grande partie grâce à la participation de notre cher Jean-Paul Belmondo. Flic qui ne connait pas la peur, il ne recule pas devant une fusillade ou encore une poursuite sur les toits de Paris d’autant plus qu’à l’époque il n’avait pas besoin qu’un cascadeur prenne sa place ! Pour tout ça, on a donc là un véritable classique du cinéma français qu’on ne rechigne jamais à revoir.

     

    La scène culte à ne pas louper : La poursuite en métro !

  • Qui veut la peau de Roger Rabbit ?

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    Parce qu’il a désespérément besoin d’argent, notre pote Eddie Valiant (Bob Hoskins) a accepté le travail proposé par R.K. Maroon (Alan Tilvern). Ce dernier dirige les studios Maroon Cartoons et depuis quelques temps sa star, le lapin Roger Rabbit, est préoccupée par les rumeurs qui prétendent que sa femme Jessica le trompe. Eddie est donc engagé pour mettre au clair cette histoire et ramener des preuves de cet adultère mais il rechigne un peu à la tache. Il faut dire qu’il ne peut plus supporter d’être entouré par ces personnages de dessins animés depuis la mort tragique de son frère. Toujours est-il qu’il na pas le choix et il va vite comprendre que les choses sont bien plus compliquées qu’il ne l’aurait pensé.

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    Vous qui avez pendant votre enfance (et peut-être encore maintenant ?) dormi avec votre peluche Mickey et/ou Minnie, qui passiez des heures devant les aventures de Titi & Gros minet ; n’avez-vous jamais rêvé d’entrer dans leurs univers ? C’est chose faite avec Qui veut la peau de Roger Rabbit ? qui mélange animation et personnages réels, un mariage détonnant qui fait que ce film est vraiment à part. Comment ne pas être nostalgique quand Bob Hoskins côtoie à la fois Donald, Betty Boop, Droopy ou encore Bugs Bunny, comment résister à la généreuse Jessica Rabbit ? Coté effets spéciaux, c’est de la vieille école mais le résultat reste encore de bonne facture et c’est donc un véritable plaisir que de voir et revoir les aventures de ce lapin déjanté. Et si un jour on le voyait revenir ?

  • Playtime

    cinéma, film, comédie, playtime,  	Jacques Tati, Barbara Dennek, Jacqueline Lecome, John Abbey, Valérie Camille, Billy Kearns, Rita Maiden, Georges Montant

    cinéma, film, comédie, playtime,  	Jacques Tati, Barbara Dennek, Jacqueline Lecome, John Abbey, Valérie Camille, Billy Kearns, Rita Maiden, Georges Montant

    Aéroport de Paris. Un groupe de touristes américaines vient d’arriver en France et elles ont hâte de découvrir les charmes de la capitale. M. Hulot (Jacques Tati) lui aussi est à Paris mais c’est avant tout parce qu’il a un rendez-vous important avec Mr. Giffard (Georges Montant). Un entretien qui tardera à avoir lieu car on se perd facilement dans ces grands immeubles et sans trop s’en rendre compte, M. Hulot va même se transformer en vendeur de lampes. Par la suite, il croisera ce groupe d’américaines à l’inauguration du restaurant le Royal Garden et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il y a encore quelques points à améliorer !

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    Sorti à l’origine en 1967, Playtime a droit à une seconde jeunesse avec cette version restaurée. Aujourd’hui encore ça reste une œuvre unique de la part de Jacques Tati (on n’ose alors imaginer l’impact qu’il avait à l’époque). Ceci n’est pas vraiment un film mais un tableau vivant où presque tous nos sens sont mis à contribution. Ça fourmille de petits détails visuels au point qu’on se dit qu’on est forcément passé à coté de quelque chose et qu’il faudra le revoir plus d’une fois. Au cœur d’une ville qu’on confondrait facilement avec New York si au détour de quelques reflets on n’apercevait pas la Tour Eiffel ou encore l’Arc de triomphe, on entrevoit également l’uniformisation de nos sociétés et le début de la consommation de masse. Culte tout simplement.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir un restaurant très fréquenté !

  • Le magicien d’oz

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    Dans une ferme au Kansas, notre pote Dorothée (Judy Garland) est dans tous ses états après que Mme Gulch (Margaret Hamilton) ait tenté de s’en prendre à son chien Toto. Ce dernier est même capturé sur ordre du shérif mais parvient à s’enfuir pour retrouver aussitôt sa maitresse qui décide alors de quitter la ferme. Elle reviendra vite sur sa décision afin de ne pas causer trop de peine à sa Tante Olympe (Clara Blandick) mais Dorothée va être coincée dans une terrible tornade qui emporte la maison. A son réveil, elle se rend compte qu’elle n’est plus au Kansas mais dans un drôle de pays appelé Oz ; elle est chaleureusement accueillie par les Microsiens et la Fée Glinda (Billie Burke) jusqu’à l’apparition d’une méchante sorcière.

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    Retour en 1939 avec cette adaptation du célèbre roman de L. Frank Baum devenu depuis un petit classique du 7ème art. Il est évident que les effets spéciaux de l’époque feront naitre quelques sourires comme ce tourbillon qui emporte tout et n’importe quoi ou les costumes bien kitsch de certains personnages. Malgré cela, le charme opère encore avec cette fable qui prend par moments la forme d’une comédie musicale et bien entendu comment ne pas évoquer cette célèbre chanson qu’est Over the rainbow ! Ceux qui connaissaient déjà Le magicien d’oz continueront de se délecter des aventures de Dorothée qui ne manqueront pas de le faire découvrir aux nouvelles générations.

     

    Il faut le voir pour : Continuer à suivre le chemin de briques jaunes !

  • La Belle et la Bête (1946)

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    La famille de Belle (Josette Day) traverse une mauvaise passe confrontée à des difficultés financières. Son Père (Marcel André) pensait avoir trouvé une solution mais celle-ci est remise en cause et sur le chemin du retour à la maison d’autres problèmes apparaissent. Plongé en pleine nuit, il finit par se perdre dans une foret jusqu’à parvenir à un somptueux château où vit une étrange créature la Bête (Jean Marais) ! Ce père commet alors un sacrilège en cueillant une rose qu’il avait promis à Belle, la bête accepte de le laisser partir temporairement retrouver sa famille mais il devra payer son geste de sa vie ! Si ce n’est pas lui, ce sera une de ses filles qui sera obligé d’épouser la bête !

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    Réalisé en 1946 par Jean Cocteau, le poids des années se traduisent par le noir et blanc et quelques effets spéciaux aujourd’hui clairement dépassés. En revanche, l’œuvre tout comme Josette Day reste magnifique avec notamment cet incroyable château qui prend soudainement vie à travers les bras qui surgissent des murs. De même, l’apparence de la Bête reste encore bluffante avec un Jean Marais totalement méconnaissable ; élément tout de même indispensable pour ne pas tomber dans le ridicule. La Belle et la Bête est un classique du cinéma français qui n’a finalement pris aucunes rides et que tout amateur de contes de fée doit découvrir.

     

    Il faut le voir pour : Demander la permission avant de cueillir une rose, on ne sait jamais !

     

    En savoir plus sur La Belle et la Bête (2014) ?

  • Les visiteurs

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    En l’an de grâce 1079, le Comte Godefroy de Montmirail (Jean Reno) vient de sauver la vie de son roi qui lui accorde ainsi le droit d’épouser Dame Frénégonde (Valérie Lemercier). C’est donc avec une certaine allégresse qu’il part retrouver sa bien-aimée mais la sorcière qu’il a capturée plus tôt va faire voler en éclat le bonheur qui lui tendait les bras. Empoisonné, le comte est victime d’hallucinations et pensant abattre un ours menaçant tue accidentellement le père de Frénégonde. Il doit alors faire appel au mage Eusebius (Pierre Vial) qui lui propose de remonter le temps et de dévier cette flèche mais une potion incomplète et Godefroy et son fidèle Jacquouille (Christian Clavier) se retrouvent propulsés en 1992 !!

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    Enorme succès lors de sa sortie en salles, Les visiteurs fait partie de ces comédies françaises que l’on prend toujours grand plaisir à revoir. Certes, techniquement on voit que le film de Jean-Marie Poiré vient lui aussi d’une autre époque mais l’essentiel réside dans son histoire originale et surtout ses succulents personnages. Entre Jean Reno, Christian Clavier et surtout une magnifique (et irremplaçable !) Valérie Lemercier avec son accent embourgeoisé ; le casting est un atout incontestable. Du rire, des répliques cultes, c’est assurément un incontournable et le seul regret c’est qu’on aura cherché à exploiter le succès de cet épisode à travers une suite peu inspirée et un remake américain tout simplement navrant.

     

    La scène culte à ne pas louper : Le bain de Godefroy & Jacquouille !

  • Le dîner de cons

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    La date fatidique du dîner approche et Pierre Brochand (Thierry Lhermitte) n’a toujours pas trouvé son invité. Ce dîner est en fait un rituel qu’il a mis en place avec certains de ses potes d’enfance ; le but est de ramener l’invité le plus con possible et de le laisser parler. Heureusement pour Pierre, les amis sont là et on lui a repéré quelqu’un qui fera sensation, il s’appelle François Pignon (Jacques VIlleret) et a pour passion les constructions en allumettes. C’est exactement la personne qu’il recherchait  mais Pierre pourrait bien être contraint d’annuler le dîner après le tour de rein qu’il s’est fait au golf. Il est encore loin d’imaginer la soirée mouvementée qu’il va vivre !

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    Qui ne connait pas Le dîner de cons ? Que ce soit sur les planches du théâtre ou bien à travers cette adaptation signée Francis Veber, cette comédie est devenue un classique pour beaucoup. C’est sur que ce n’est pas au niveau de la réalisation sobre pour ne pas dire sommaire que le spectateur sera emballé mais l’essentiel réside dans les personnages et des dialogues devenus cultes. Comment résister à l’hilarant Jacques Villeret à coup sur la plus belle incarnation de François Pignon et aux malheurs de ce pauvre Thierry Lhermitte. C’est con et c’est bon, à voir et à revoir sans aucune modération !

     

    La scène culte à ne pas louper : L’appel de François à Juste Leblanc.