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Pour l'éternité - Page 4

  • La tour infernale

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    La nuit s’annonce longue à San Francisco où l’on s’apprête à inaugurer la Tour de verre, le plus haut immeuble jamais construit dans le monde entier. C’est notre pote Doug Roberts (Paul Newman) qui est à l’origine de ce prodige et il n’en est pas peu fier cependant il va rapidement déchanter. Alors que l’on attend plus de 300 invités pour cette soirée exceptionnelle, il découvre en effet que le matériel et notamment l’installation électrique de cet immeuble n’est pas celui qu’il avait demandé. Le responsable n’est autre que Simmons (Richard Chamberlain) qui est également le gendre du promoteur Jim Duncan (William Holden) et qui a agit ainsi dans le simple but d’alléger les dépenses. Un acte irresponsable qui va leur couter très cher puisqu’un incendie se déclare et va tout ravager.

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    Tout d’abord un petit tour d’horizon du casting pour mieux se rendre compte de ce film immense en tous points : Paul Newman, Steve McQueen, Faye Dunaway, William Holden, Fred Astaire ou encore Richard Chamberlain. La tour infernale c’est simplement le film catastrophe par excellence, si par certains aspects on peut le considérer comme une perle du kitsch (ah ces fameux bureaux oranges !), au niveau des scènes d’action on ne peut qu’être admiratif. Pas d’effets spéciaux à tire-larigot ici, on a droit à du vrai cinéma à l’ancienne et ça donne des séquences dantesques accompagné d’un suspense intense. Un film qui fait évidemment parmi des classiques pour tout amateur du 7ème art.

     

    La scène à ne pas louper : L’explosion des réservoirs d’eau.

  • E.T. L’extra-terrestre

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    Au cœur d’une foret située à Los Angeles, d’étranges créatures ont posé le pied sur notre planète et lorsqu’un groupe d’hommes surgit brusquement, c’est l’affolement. Un engin spatial s’élève alors dans le ciel et disparait mais dans la précipitation, ils ont laissé derrière eux un des leurs ; celui-ci est totalement désorienté et va se retrouver dans un jardin. C’est Elliot (Henry Thomas) qui le premier entend des bruits étranges puis va découvrir et recueillir cet extraterrestre qu’il nommera E.T. Très vite, il confie son secret à son grand frère Michael (Robert MacNaughton) et à sa petite sœur Gertie (Drew Barrymore). Ils feront tout leur possible pour le dissimuler mais aussi pour l’aider à contacter les siens et lui permettre ainsi de retourner à sa "maison".

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    Steven Spielberg est à n’en pas douter l’un des plus grands cinéastes que l’on ait connu à ce jour et pour moi E.T. L’extra-terrestre restera son plus grand chef d’œuvre. Fantasme de toute une époque, la rencontre avec des extra-terrestres a souvent donné lieu à des films catastrophes et c’est l’une des premières fois qu’on nous présente un envahisseur pacifique. E.T. , c’était quand même le pote d’enfance qu’on rêvait tous d’avoir et ce film qui regorge de scènes inoubliables et, comme tout le monde le sait, a également a marqué les débuts de Drew Barrymore. Impossible de passer à coté de ce film culte qui a participé à l’éducation cinématographique de millions de spectateurs dans le monde et peut-être un jour dans l’univers !

     

    La scène à ne pas louper : La connexion entre E.T. & Elliot

  • Piège de cristal (Die Hard)

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    Il avait prévu de passer les fêtes de Noel avec toute sa famille et c’est pour cela que John McClane (Bruce Willis) est venu jusqu’en Californie. Sa femme Holly (Bonnie Bedelia) s’y est installée depuis 6 mois pour raisons professionnelles ce qui n’a pas manqué de créer quelques tensions au sein de leur couple. C’est sur son lieu de travail, au Nakatomi plaza, qu’il la rejoint mais ce flic de New-York est encore loin de s’imaginer l’enfer qui l’attend. Un groupe de terroristes débarque et prend en otages la trentaine d’employés qui s’étaient réunis pour célébrer les fêtes de fin d’année. Par chance (?), John s’était retiré dans une pièce annexe mais il est désormais seul face à ces criminels dont le cerveau est un certain Hans Gruber (Alan Rickman).

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    Ce film de John McTiernan va surtout marquer le cinéma d’action en imposant le schéma du héros solitaire capable de sauver tout un pays voire le monde ! Même si visuellement il n’est plus à la hauteur des productions actuelles, Piège de cristal (désormais rebaptisé Die Hard - Piège de cristal) est une valeur sure et son héros John McClane restera comme l’un des personnages les plus charismatiques et puis c’est quand même l’un des rares mecs à porter le marcel blanc avec classe. Plus qu’un film, c’est une franchise qui débute ici et qui va se poursuivre à travers une quadrilogie en attendant un 5ème épisode actuellement en préparation.

     

    La scène à ne pas louper : Yipee-Ki-Yay Motherfucker !


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  • L’auberge espagnole

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    Grace à l’appui de son père, notre pote Xavier (Romain Duris) s’est vu ouvrir les portes du Ministère de l’économie dans le cadre de l’obtention de son DEA. Un emploi lui est ainsi promis mais avant cela il va devoir se spécialiser dans un domaine particulier : il devra connaitre sur le bout des doigts le marché espagnol. C’est ainsi qu’il décide de poursuivre son cursus scolaire à Barcelone via le programme Erasmus. Les premières heures dans son nouveau pays ne sont pas faciles mais sa rencontre avec Anne-Sophie & Jean-Charles (Judith Godrèche & Xavier de Guillebon), un jeune couple croisé à l’aéroport va lui permettre de poser le pied. Par la suite, il va devoir éplucher les annonces pour trouver un toit mais les loyers sont chers et c’est ainsi qu’il va se retrouver dans un appartement à partager avec 5 autres étudiants, une véritable auberge espagnole !

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    Je vous l’accorde ce film ne restera pas dans les annales du cinéma mais il a, à n’en pas douter, véritablement marqué une génération de spectateurs et plus particulièrement d’étudiants. Alors que l’Europe commençait à s’unir autour d’une monnaie unique, Cédric Klapisch et son compère de toujours Romain Duris nous invitait à vivre au rythme de L’auberge espagnole, melting-pot culturel et social. Evidemment, tout y est idéalisé mais on ne peut résister bien longtemps à l’ambiance festive de ce film, aux paysages enchanteurs de Barcelone ; bref un vrai coup de pub pour le programme Erasmus. Qui n’a pas envisagé après ce film d’effectuer un petit séjour en Europe et rien que pour ça on n’oubliera jamais ce film.

     

    La scène à ne pas louper : Wendy au téléphone avec la mère de Xavier qui est parti à la "Fuck" !

  • Dumbo

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    Les cigognes ont accomplis leur mission ; elles ont délivré tous les bébés animaux auprès de leurs parents vivants dans un cirque itinérant actuellement basé en Floride. Pourtant, il manque quelqu’un à l’appel, en effet l’éléphante Mme Jumbo n’a pas vu son enfant venir jusqu’à elle mais rassurez-vous, il ne s’agissait là que d’un contretemps ! Alors que toute la troupe avait repris la route, une cigogne vient en effet déposer un bébé qui portera le nom de Dumbo. Cet éléphanteau attire tout de suite l’attention de tous car il possède d’énormes oreilles ce qui lui vaut quelques moqueries et sa mère fait tout ce qu’elle peut pour le protéger. Se faisant elle provoque hélas un incident ce qui lui vaut d’être séparée de Dumbo.

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    Aujourd’hui encore il reste l’éléphant le plus connu de l’univers cinématographique c’est dire si Dumbo a marqué la mémoire (d’éléphant) de millions et millions de spectateurs. Fait assez rare et encore plus pour un film d’animation, le héros est totalement muet, un détail qui relève de l’anecdotique tant on se laisse ensuite attendrir par cette version revisitée du vilain petit canard. La simplicité est souvent gage de qualité et Dumbo en est la preuve vivante ; un graphisme et un univers très enfantin, une histoire universelle et donc intergénérationnelle font de ce 4ème classique de Walt Disney un film forcément inoubliable.

     

    La scène à ne pas louper : L’envol de Dumbo !

  • Scream

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    Toute la communauté de Woodsboro est sous le choc lorsqu’elle a appris cette terrible nouvelle : Casey Becker (Drew Barrymore) et son petit ami ont été retrouvés sauvagement assassinés. La police est à la recherche de pistes et commence son enquête au lycée tandis que les médias locaux se jettent sur ce fait divers qui rappelle curieusement un autre meurtre commis 1 an plus tôt. Une affaire que Sidney Prescott (Neve Campbell) connait bien puisque la victime n’était autre que sa mère. Toujours est-il que ce crime n’est que le point de départ d’une série de meurtres et Sidney pourrait bien en être la prochaine victime. Au cours de la soirée, elle reçoit un coup de fil inquiétant avant d’être surprise par son agresseur vêtu d’un masque blanc.

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    On pourra dire ce que l’on voudra mais on ne peut pas nier que le Scream de Wes Craven aura insufflé un nouveau souffle aux slash-movies. Après ce film, on verra ainsi déferler les Souviens-toi l’été dernier, Urban legends et il inspirera fortement la saga Scary-movie. Surtout le papa de Freddy Krueger (qui fait d’ailleurs une apparition clin d’œil) bouscule le genre en se moquant ouvertement de tous les codes qui caractérisent les films d’horreur pour construire le sien. Pour l’occasion, il donne sa chance à Neve Campbell (notons qu’à l’origine c’est Drew Barrymore qui devait tenir ce rôle) tout droit sortie de la série 7 à la maison ou encore à Courteney Cox de Friends. Marquant le début d’une saga, Scream a su se démarquer dans l’esprit des spectateurs mais on ne pourra pas vraiment en dire autant de ses suites.

     

    La scène à ne pas louper : L’introduction et l’exécution de Drew Barrymore !

  • La guerre des boutons (1962)

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    Tous les enfants des villages de Velrans et de Longeverne attendent chaque jour que sonne la cloche annonçant la fin de la classe pour se retrouver et se livrer à une guerre sans merci ! Armé d’épées en bois et de lance-pierres, chacun donne le meilleur de lui-même pour l’honneur de son village mais aujourd’hui, c’est Longeverne qui a pris l’avantage. Ils ont en effet réussi à capturer un ennemi et celui-ci va subir de terribles sévices : ses lacets et des bretelles sont déchirés, les boutons de ses habits sont arrachés et il ne pourra que rentrer chez lui avec le froc à la main. La réponse de Velrans ne tarde pas et c’est Lebrac (Andre Treton), le chef de Longeverne qui va en faire directement les frais mais la guerre elle est loin d’être terminée !

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    Que ce soit à travers le roman de Louis Pergaud ou avec le film d’Yves Robert, une chose est sure La guerre des boutons fait définitivement partie du riche patrimoine français. D’ailleurs, malgré le fait que je ne l’ai pas revu depuis au moins 15 ans, chaque scène revient immédiatement à la mémoire comme si ce film ne m’avait jamais quitté. On se souvient également tous de la célèbre phrase de Tigibus "Si j’aurais, j’aurais pas venu" qui n’est pas présent dans le livre mais qui est une création géniale du réalisateur (et dont les droits ne seront rétrocédés à aucun des remakes ou appelez ça comme vous voudrez sortis en 2011). Ce film se voit et surtout se revoit en famille avec le plus grand des plaisirs avec un doux parfum de nostalgie d’une époque d’insouciance, c’était mieux avant comme disait l’autre !

     

    La scène à ne pas louper : La visite de Tigibus au Père L’aztec !

  • Les oiseaux

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    Melanie Daniels (Tippi Hedren) s’était rendue chez l’animalerie Davidson pour récupérer un perroquet qu’elle avait commandé et qu’elle souhaitait offrir à sa tante mais un problème de livraison a fait que l’oiseau n’est pas encore arrivé. Au même moment, Mitch Brenner (Rod Taylor) fait son entrée dans le magasin et interpelle notre pote Melanie car il aimerait acheter un couple d’Inséparables pour l’anniversaire de sa petite sœur. Un jeu de séduction commence, la jeune femme prétend travailler dans le magasin mais son client n’est pas dupe d’autant qu’il la connait bien ! Il n’en faut pas plus pour intriguer Melanie, elle a l’intention de lui offrir ce couple d’oiseaux qu’il cherchait mais apprend qu’il est allé passer le week-end à Bodega Bay.

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    Evidemment, le titre en dit long sur ce 48ème film d’Alfred Hitchcock pourtant le maitre du suspense prend un certain temps avant d’entrer dans le vif du sujet. Les oiseaux débute presque comme une comédie romantique avec cette rencontre entre la belle Tippi Hedren & Rod Taylor qui se prolonge en un séjour sur la cote ouest américaine. Par-ci par-là, le comportement des oiseaux intrigue puis on est soudainement embarqué sur une autre intrigue celle qui entoure Lydia, mère de Mitch brouillant un peu plus les pistes. A l’époque, les critiques n’ont pas été tendres soulignant notamment l’absence d’un véritable dénouement ou encore d’explications fondées sur cette révolte à plumes mais ce qui est sur, c’est qu’on ne verra jamais plus les oiseaux de la même façon après ce film. Un nouveau classique à ajouter à votre collection !

     

    La scène à ne pas louper : L’évacuation de l’école.

  • Alice au pays des merveilles

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    Les leçons d’histoire ne sont vraiment pas le fort de notre pote Alice qui préférerait vivre dans un autre monde, un monde où tout pourrait arriver ! D’ailleurs, elle se promenait avec son chat Dinah quand soudain elle vit un lapin vêtu d’une veste et qui avait l’air drôlement pressé. Pas le temps de réfléchir, elle se lance à sa poursuite et n’hésite pas à s’engouffrer dans son terrier où elle saute dans un grand trou qui la mènera dans un autre monde ; le pays des merveilles ! Il lui faut d’abord franchir la porte et pour cela boire un élixir qui va la rapetisser puis elle deviendra aussi immense qu’un arbre. Décidément, ce lieu lui réserve bien des surprises et les rencontres incongrues se succèdent que ce soit avec le Chat-fouin, le chapelier fou ou encore les jumeaux Tweetle Dee & Tweetle Dum.

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    Si d’un point de vue graphique et au niveau de l’animation on ne peut pas dire qu’il s’agit là du plus grand chef d’œuvre de Walt Disney, il en est tout autrement de l’histoire. Dieu seul sait ce qui est passé à travers l’esprit du romancier Lewis Carroll lorsqu’il a pondu Les aventures d’Alice au pays des merveilles & De l’autre coté du miroir où pullulent des personnages pour le moins extravagants. C’est donc tout un univers que l’on découvre à travers Alice au pays des merveilles et les studios Disney ont su retranscrire à merveille l’excentricité du conte bien qu’on leur reprochera d’avoir pris trop de libertés par rapport aux œuvres originales. D’ailleurs ce film est tellement hors-normes qu’il ne connaitra un véritable succès qu’à partir des années 1970 jusqu’à devenir le classique qu’on connait aujourd’hui.

     

    La scène à ne pas louper : Le gouter de non-anniversaire !

  • Forrest Gump

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    Même si sa mère n’a eu de cesse de lui dire le contraire, notre pote Forrest Gump (Michael Connor Humphreys / Tom Hanks) n’est pas un enfant comme les autres. Tout d’abord, pour pallier à des problèmes de dos, il fut obligé de porter une armature aux jambes ce qui lui a valu bon nombre de moqueries de la part de ses camarades de classe. Forrest avait aussi un esprit lent, il ne raisonnait pas comme les autres et d’ailleurs Jenny (Hanna R. Hall / Robin Wright) s’est même demandé s’il n’était pas stupide. Comme le dit si bien sa mère, n’est stupide que la stupidité et cet homme extraordinaire va traverser les années avec insouciance sans se rendre compte qu’il va marquer l’histoire. Que ce soit par sa rencontre avec le King Elvis Presley (Peter Dobson) ou ses différentes décorations remises par les Présidents des États-Unis, Forrest Gump n’est décidément pas un garçon comme les autres !

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    Je n’étais encore qu’un adolescent quand j’ai découvert ce personnage incroyable et terriblement attachant qu’est Forrest Gump et tout de suite j’avais été captivé par cette vie sensationnelle. Les années ont beau défiler, elles n’ont en rien altéré l’amour que l’on ressent envers ce héros né du roman de Winston Groom avec un Tom Hanks grandiose, certainement un de ses plus grands rôles. Il sera par ailleurs récompensé de l’Oscar du meilleur acteur en 1995, le long-métrage recevant 5 autres récompenses dont celui du meilleur film. A ceux qui ont envie de revoir ce film culte, vous reconnaitrez peut-être la bouille du garçon qui incarne Forrest Jr au cours du dénouement ; il s’agit d’Haley Joel Osment, celui qui allait devenir le héros de Sixième sens. Une œuvre pleine d’émotions où l’on passe du rire aux larmes, c’est indéniable Forrest restera dans nos cœurs.

     

    La scène à ne pas louper : Cours Forrest, cours !!