Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

george miller

  • Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre

    star 02.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Il a tout perdu ! Notre pote Max (Mel Gibson) vient de se faire attaquer et surtout voler son véhicule avec tout ce qu'il possédait sans ça, sa survie risque d’être bien plus difficile. Heureusement, il se trouve près de Trocpolis où il aura l'occasion de se refaire en offrant ses services. C'est ainsi qu'il est présenté auprès d'Entity (Tina Turner) qui va lui confier une mission de la plus haute importance. Max devra se débarrasser d'une montagne de muscles nommée Bombe (Paul Larsson) et pour cela, il devra participer à un combat dans l'impitoyable Dôme du tonnerre. Les règles sont simples ; il n'y en a pas et seul le vainqueur se verra le droit de sortir du dôme.

    01.jpg

    4 ans après le second opus, George Miller rempile pour de nouvelles aventures de notre pote Max le survivant. Direction Trocpolis où on est quand même surpris d'y trouver Tina Turner. Ce volet offre en fait un sentiment mitigé ; si on retrouve dans la première partie ce monde post-apocalyptique qui nous fascine (le combat dans le Dôme du tonnerre frise toutefois aujourd'hui le ridicule), on a ensuite une autre pour le moins étonnante. Passé ce moment de circonspection, on se console avec cette poursuite finale où l'on retrouve l'extravagance du réalisateur. Mad Max : Au-delà du Dôme du tonnerre apporte donc une amère déception ; après avoir goûté à l'excellence de Mad Max 2 : Le défi il est difficile de se contenter de cet épisode ronronnant.

  • Mad Max 2 : Le défi

    star 03.5.jpg

    AFF1 (2).jpg

    Les réserves de pétrole sont devenues rares ce qui a entraîné le déclin de l'humanité. Ancien flic, notre pote Max (Mel Gibson) n'a pu que constater ces conséquences désastreuses ; pour obtenir de l'essence les hommes sont désormais prête à tout et la vie ne semble n'avoir plus aucune valeur. Errant dans le désert, Max va croiser la route de Gyro (Bruce Spence) et apprend qu'une raffinerie se trouve non loin de là. Celle-ci attire évidemment de nombreuses convoitises comme celle du Seigneur Humongus (Kjell Nilsson) et de son gang qui sont venus les mettre en garde ; s'ils veulent rester vivants ils doivent abandonner le camp et l'essence. La seule solution est de s'enfuir et c'est Max qui se propose d'aller récupérer un camion pour tracter le réservoir.

                                    01.jpg   02.jpg   03.jpg

    Vous avez vu Mad Max ? Vous pouvez l'oubliez totalement car cette suite présente un tout autre visage. Sans contestation possible, ce n'est réellement qu'avec Mad Max 2 : Le défi que l’œuvre de George Miller prend son ampleur. L'histoire reprend tout de même des éléments du premier épisode en accentuant l'aspect fin du monde apocalyptique. Les décors désertiques parcourus par des véhicules rafistolés, une humanité en décomposition et des scènes d'action déjà bluffants (ça date quand même de 1981!) prémices de l'explosif Mad Max : Fury Road ; voilà l'essence même de la saga qui se dévoile devant nos yeux ! Un épisode qui marque les esprits Pour l'éternité, un film culte tout simplement.

     

    La scène à ne pas louper : La poursuite du camion-citerne !

  • Mad Max

    star 03.jpg

    AFF1 (2).jpg

    La Terre dans un futur proche. Les routes sont devenues de véritables terrains de guerre et les délits ne cessent d'augmenter. Pour endiguer ce phénomène, les forces de Police se sont équipés en conséquence mais ce n'est pas toujours suffisant. Sur la route, notre pote Max Rockatansky (Mel Gibson) fait la loi avec son partenaire Jim Goose (Steve Bisley) mais ils vont avoir affaire à Toecutter (Hugh Keays-Byrne) et sa bande de motards. S'ils parviennent dans un premier temps à arrêter un des membres de ce gang Johnny the Boy (Tim Burns) malheureusement celui-ci retrouve rapidement la liberté. Les choses ne vont pas en rester là puisque Goose va tomber dans un guet-apens, un drame qui va marquer Max.

    01.jpg

    Détail qui a tout de même son importance, la vision de ce film se fait en 2015 après avoir vu le reboot au cinéma, c'est vous dire le fossé qu'il peut y avoir. On ne peut pas le nier Mad Max a vieilli et pas forcément de la meilleure des façons. C'est avec un petit sourire en coin qu'on découvre cette bande de renégats qui ne sont rien moins que d'ordinaires motards. Il y a tout de même du positif dans ce galop d'essai de George Miller ; l'ambiance fin du monde (bon les bagnoles de flic jaunes et les combinaisons en cuir ça le fait moyen) et des scènes d'action qui font toujours leur effet (et qui devait être révolutionnaire à l'époque de la sortie du film en 1979). Indispensable pour enrichir sa culture ciné moins pour le reste.

  • Happy Feet 2

    aff.jpg

    C’est la fête sur la terre des Empereurs où tous les manchots dansent en harmonie, tous sauf le petit Erik fils de Mumble. D’abord intimidé, il se laisse ensuite entrainer par le rythme mais finit par faire un faux pas ce qui provoque immédiatement l’hilarité des autres. Honteux, il se cache dans son trou bientôt rejoint par ses potes d’enfance Bo & Atticus avant de discrètement s’enfuir en compagnie de Ramon. Mumble finit par les retrouver non loin de là et ils vont faire la connaissance de Sven, un manchot exceptionnel qui a la particularité de pouvoir voler ! Pour Erik, il devient un vrai héros à ses yeux et tandis que cette troupe s’apprête à regagner leurs terres, un iceberg va venir tout bouleverser.

    01.jpg

    Il avait fait monter la température avec ses pieds magiques et notre pote Mumble est enfin de retour avec toujours autant de danses et de chants (avec des reprises allant de Queen à Wham en passant par O-Zone !). Si ce n’est pas du coté du scénario qu’on sera ébloui, on en prend vraiment plein les yeux avec cette neige scintillante, la déferlante des krills ou encore les milliers de manchots présents sur la banquise. Au niveau des nouveautés, on notera l’apparition du duo Will & Bill les 2 krills échappés de leur banc dont les aventures ne sont pas sans nous rappeler celles d’un certain Scratch dans la saga L’âge de glace. Pas de surprises bonnes ou mauvaises, Happy Feet 2 est vraiment oki doki et séduira à coup sur les spectateurs friands d’animation quel que soit leur âge.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à vouloir avant de pouvoir !


    En savoir plus sur Happy Feet ?