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  • Les enfants loups, Ame & Yuki

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    C’est en plein cœur de l’été à l’université où elle suivait des cours que notre pote Hana a aperçu pour la première fois ce garçon. Il n’était pas comme tous les autres étudiants et très vite une complicité est née avant de laisser place à l’amour mais ce jeune homme cache un grand secret. Il avait juré à sa famille de ne jamais le dévoiler mais il se sent en confiance et confie ainsi qu’il possède du sang-mêlé issu d’une famille de loup qui lui permet de se transformer. Cela ne changera rien aux sentiments d’Hana et le couple donnera naissance à 2 enfants : Yuki & Ame qui hériteront des mêmes capacités que leur père. Ce dernier malheureusement est victime d’un accident et Hana se retrouve désormais seule pour élever ses enfants-loups ce qui est loin d’être évident.

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    On tient là la première production des studios Chizu fondée par Mamoru Hosoda qui lui n’est pas un novice puisqu’on lui doit Summer Wars ou encore La traversée du temps. Les enfants loups, Ame & Yuki est une magnifique fable sur une famille pour le moins atypique. Non content de nous offrir un retour à la nature et vous redonner l’envie de cultiver des légumes ; c’est aussi et surtout un portrait de famille drôle et tendre. Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette malicieuse Yuki et puis surtout on est les témoins d’une formidable évolution croisée des personnages les rendant d’autant plus attachants. Une histoire touchante, des graphismes et une animation d’une beauté fabuleuse ; tout ce qu’il faut pour avoir le Coup de cœur Ciné2909 !

     

    Il faut le voir pour : Toujours garder le sourire !

  • Superstar

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    C’était un jour ordinaire dans la vie d’un homme banal (non, pardon je ne voulais pas dire banal). Notre pote Martin Kazinski (Kad Merad) prenait comme d’habitude le métro lorsqu’on a commencé à l’interpeller, à le prendre en photo ou encore à lui demander des autographes. Le monde était comme devenu fou et ce n’est que le début du cauchemar puisqu’en arrivant au travail, il apprend qu’il est sollicité par les médias mais lui cherche à comprendre comment est née cette vague d’hystérie. Sur les conseils d’un avocat, il rencontre Fleur Arnaud (Cécile De France) qui va prendre cet homme en main et en faire sa nouvelle vedette. Martin est ainsi invité dans le show télévisé 22 heures en direct mais le phénomène est loin de s’essouffler et cet anonyme devenu soudainement superstar va se laisser dépasser par les évènements.

     

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    On le sait, la célébrité a ses bons cotés mais elle a également ses revers et c’est notre pote Kad Merad qui va en faire les frais. Manipulation médiatique, coup de pub énorme ou simple farce ; toutes les hypothèses sont avancées pour expliquer cette célébrité soudaine mais Xavier Giannoli n’apporte pas vraiment de réponse et c’est bien frustrant. Loin d’être captivant, il y a également des scènes parfois trop irréalistes comme ces lancers de chaussures qui nous laissent interloqués. Superstar est aussi là pour mettre en avant le poids des médias de notre époque couplé à la force de diffusion de masse des technologies. On s’attendant d’ailleurs à ce que le film soulève un peu plus la problématique autour de la question mais il faudra se contenter d’une simple amorce du sujet. Il y a dans le film une question récurrente : Pourquoi ? En effet, pourquoi ?

     

    Il faut le voir pour : Etre fier d’être banal !

  • La beuze

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    Vous ne connaissez pas encore Alphonse Brown (Michael Youn) ? Cela ne saurait pas tarder car le fils caché de James Brown s’apprête à déferler sur le monde avec un nouveau style musical : le frunkp. Un mélange de rap et de funk qui va faire de lui une star … enfin en attendant il galère un peu au Havre avec son pote d’enfance Scotch (Vincent Desagnat). Convaincus que la gloire est à leur portée, ils se dirigent vers Paris et en chemin ils tombent sur une énorme réserve de beuze ! Une herbe qui appartenait jadis aux nazis et qui va leur crée pas mal de problèmes puisque Rudolf Maier (Hans Meyer) se lance à leur poursuite. Il n’est pas le seul ; Shaft (Alex Descas) aimerait bien aussi remettre la main sur ces 2 rigolos.

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    Sorti en 2003, Michaël Youn était encore à l’époque porté par la vague du succès rencontré avec son émission matinale Le morning live le propulsant vers ce premier rôle au grand écran. A la réalisation, on retrouve le frère de son compère Vincent Desagnat ; François associé à Thomas Sorriaux pour une comédie qui ne casse pas des briques. On retiendra seulement le premier tube d’une longue série Alphonse Brown avec son frunkp made in Havre, le reste étant tout sauf indispensable. La beuze bénéficie également de l’apparition de nombreux guests tels que Kad Merad, Omar Sy ou encore Kool Shen ce qui lui donne un cachet film entre potes sympa à moins que vous n’ayez jamais supporté Youn !

  • Les sorties du 12 Septembre

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    La rentrée, le retour de la pluie ; le moral n’est pas bon ? Offrez-vous donc une petite séance au cinéma et commençons par la sortie de The We and the I, le dernier Michel Gondry qui nous embarque dans un bus en compagnie de lycéens. Connaissant le réalisateur, on se doute que ce trajet va nous réserver pas mal de surprises.

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  • David et Madame Hansen

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    Notre pote David (Alexandre Astier) a fait les frais du chamboulement de planning. Il avait prévu de passer l’après-midi avec sa fiancée Clémence (Julie-Anne Roth) accompagnée de son petit-frère Hugo (Victor Chambon) qui fête son anniversaire mais cet ergothérapeute se retrouve à jouer les accompagnateurs. On lui a en effet confié une patiente : Madame Hansen-Bergmann (Isabelle Adjani) avec qui il doit se rendre en ville afin d’acheter une paire de chaussures. Fraichement arrivé dans cette clinique suisse, il ne s’imaginait pas refuser cette mission et se retrouve désormais avec une patiente au comportement imprévisible. Une sortie, loin d’être une partie de plaisir, qui va se terminer par une plongée dans le traumatisme passé de cette femme.

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    Les fans l’attendaient avec l’adaptation au cinéma de l’univers de Kaamelott et bien en fait Alexandre Astier surprend tout le monde avec sa première réalisation sur grand écran. Pour lui tenir compagnie, il n’a pas choisi n’importe qui puisque c’est Isabelle Adjani qui vient ici jouer les amnésiques et qui n’a pas sa langue dans sa pocher. On se laisse ainsi séduire par les échanges parfois acerbes entre ce médecin et sa patiente, un duo qui trouve immédiatement ses marques et qui imprègne totalement permettant de mieux faire passer un scénario bien trop prévisible. Astier entre dans la cour des grands sans trop de difficultés même si, comme pour l’héroïne, David et Madame Hansen ne restera pas dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à oublier parfois les procédures.

  • Hit & run

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    Bénéficiant du programme de protection des témoins, notre pote Yul Perrkins (Dax Shepard) vit désormais dans une petite ville où il a rencontré l’amour. Elle s’appelle Annie (Kristen Bell) et vient de se voir proposer le poste de ses rêves en Californie. Le plus malheureux des hasards veut que c’est justement dans cette partie des Etats-Unis que Yul a eu quelques soucis aussi ne tient-il pas spécialement à y retourner. N’écoutant que son cœur, il accepte toutefois de l’accompagner à Los Angeles sans se douter une seule seconde qu’il aura à ses trousses son ancien associé Alex Dmitri (Bradley Cooper) mais aussi Randy (Tom Arnold), le marshal censé le surveillé & Gil (Michael Rosenbaum), l’ex d’Annie.

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    Plus habitué à jouer les acteurs, notre pote Dax Shepard signe son 2ème film en tant que réalisateur et est l’auteur également du scénario. Il ne faut pas se le cacher, ce n’est pas avec Hit & run qu’il va s’imposer dans le milieu ; cette cavale en compagnie de Kristen Bell se veut tonitruante mais c’est surtout l’ennui qui va rattraper le couple et nous assommer. On pourra quand même se marrer avec le look improbable de Bradley Cooper (pote d’enfance de Shepard), une bien maigre consolation alors qu’on était venu pour voir de l’action ! Il y a des idées et la volonté de faire exister les personnages secondaires mais c’est un tel fatras à l’écran qu’on a parfois envie de fermer les yeux, de respirer profondément pour mieux s’endormir.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas donner n’importe quoi à manger à votre chien !

  • LOL USA

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    Entre Lola & Chad (Miley Cyrus & George Finn) tout est fini ! Ils pensaient pourtant que leur amour serait éternel ; ils avaient même écrits leurs noms sur la porte des toilettes du lycée mais la vie réserve parfois de drôles de surprises. Tandis que Chad se comporte comme un vrai con, Lola elle passe de plus en plus de temps en compagnie de Kyle (Douglas Booth), son pote d’enfance (et aussi celui de son ex !) et ce qui devait arriver arriva. Un nouveau couple se forme mais la vie d’une adolescente n’est jamais facile ; Lola pense à tort avoir surpris Kyle avec une autre fille et depuis ils ne se parlent plus. Pour ne rien arranger, sa mère Anne (Demi Moore) à la recherche d’un pull tombe malencontreusement sur le journal intime de sa femme.

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    On commence à avoir l’habitude désormais, un succès français a automatiquement droit à un remake outre-Atlantique. Le film au succès surprise de Lisa Azuelos n’échappe pas à cette règle mais la réalisatrice a réussi à s’imposer pour diriger cette version, dans quel intérêt ? La question se pose forcément devant LOL USA qui est une très pale copie de l’œuvre originale. La version française avait également une histoire en réunissant Sophie Marceau & Christa Theret ; une complicité totalement absente ici dans le duo Demi Moore / Miley Cyrus. Si on retrouve quelques moments clés, on est surtout frappé par le manque de spontanéité qui se dégage de l’ensemble du film qui le rend vite insipide. A choisir, mieux vaut donc revoir notre LOL (Laughing Out Loud) national !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de bouffer de la cervelle et de vouer une adoration à Jeanne d’Arc.


    En savoir plus sur LOL (Laughing Out Loud) ?

  • Taxi 2

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    Daniel (Samy Naceri) en a traversé des épreuves dans sa vie mais celle-ci risque d’être la plus terrible : Lilly (Marion Cotillard) veut le présenter à son père le Général Bertineau (Jean-Christophe Bouvet) ! Le déjeuner en famille tourne court puisque le militaire doit se rendre de toute urgence à l’aéroport de Marignane afin d’accueillir le Ministre japonais de la défense. Heureusement pour lui, Daniel a toujours son bolide sous la main mais notre chauffeur de taxi va se retrouver embarqué dans une drôle d’histoire. Un concours de circonstance fait qu’il devient le chauffeur du ministre japonais mais surtout il va assister à son enlèvement par un groupe de Yakuzas. Daniel va devoir se retrousser les manches de son maillot de foot pour aider son pote d’enfance Emilien (Frédéric Diefenthal).

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    Taxi fut le succès surprise de 1998 avec plus de 6 millions de spectateurs aussi était-il impensable de ne pas proposer une suite. C’est chose faite et pour nous c’est encore une grosse claque, une claque de médiocrité car Taxi 2 roule sur l’autoroute de la surenchère et donc très souvent du ridicule. On pense notamment à ce carambolage improbable des voitures de police au cœur de Paris ou encore à cette caricature extrême du militaire avec le personnage du Général Bertineau. Difficile après ça d’apprécier ce film même si on a plaisir à revoir les personnages, cela ne suffit pas pour le sauver d’un désastreux naufrage.

     

    En savoir plus sur Taxi ?

    En savoir plus sur Taxi 3 ?

    En savoir plus sur Taxi 4 ?


    En savoir plus sur New York taxi ?

     

    Découvre le film Dans la peau du Commissaire Gibert !

  • Moi, député

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    Représentant le 14ème district de la Caroline du Nord et la ville d’Hammond au congrès, notre pote Cam Brady (Will Ferrell) brigue un 5ème mandat. Une élection qui ne devait être qu’une formalité pour la simple et bonne raison qu’il est le seul dans la course du moins c’est ce qu’il croyait. C’est une drôle de surprise lorsqu’il se découvre un adversaire et pas n’importe lequel : Marty Huggins (Zach Galifianakis) que personne n’imaginait à cette place. En réalité, ce sont les frères Glenn & Wade Motch (John Lithgow & Dan Aykroyd) qui ont appuyé sa candidature avec une idée derrière la tête. Loin de prendre son rival au sérieux, Cam va changer d’avis car Marty va être pris en main par Tim Wattley (Dylan McDermott) qui va totalement le transformer.

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    On ne rigole pas avec la politique encore que parfois ça ressemble vraiment à de la comédie. Par contre lorsque les candidats se nomment Will Ferrell & Zach Galifianakis, on sent que leurs campagnes respectives risquent de déraper et de nous faire marrer. Sex tape, patriotisme exacerbé ou vidéos promotionnels chocs tous les coups sont permis et ce ne sont pas les bébés et les chiens qui vous diront le contraire ! Les deux candidats ne reculent devant rien encore qu’on s’attendait à ce que l’humour soit un peu plus poussé car l’ensemble reste assez sage. Si l’on ne peut pas crier au génie ; Moi, député présente un programme pas très révolutionnaire mais bien suffisant pour vous faire rire et passer un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Ne pas laisser un homme politique approcher votre bébé !

     

    Découvre le film Dans la peau de Cam Brady !

  • L’ile des abeilles tueuses

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    cinéman film, épouvante-horreur, l'ile des abeilles tueuses,  Janin Reinhardt, Klaus J. Behrendt, Stephan Luca, Rolf Kanies, Sonja Kirchberger, Paula Schramm, Patrick von Blume, Peter Benedict, Michael Karen

    Cela fait 13 ans que notre pote Karla (Janin Reinhardt) n’est pas revenue sur l’ile de Majorque où vit son père Hans (Klaus J. Behrendt) qui a fondé une nouvelle famille. Le retour de cette jeune étudiante en médecine ne s’est pas fait pour le plaisir mais pour régler une affaire de succession cependant, un évènement va perturber son séjour. Hans est pris d’un malaise qui est en fait la conséquence d’une piqure d’abeille mais une espèce d’abeille très particulière. C’est en effet ce que découvre Karla avec l’aide de Benjamin Herzog (Stephan Luca), un chauffeur de taxi qui s’avèrera être entomologue. Ils essaient désormais d’en apprendre davantage sur cette espèce avec l’espoir également de trouver un antidote mais pendant ce temps c’est toute l’ile et ses habitants qui sont menacés.

    cinéman film, épouvante-horreur, l'ile des abeilles tueuses,  Janin Reinhardt, Klaus J. Behrendt, Stephan Luca, Rolf Kanies, Sonja Kirchberger, Paula Schramm, Patrick von Blume, Peter Benedict, Michael Karen

    Si l’on en croit les prédictions du génie Einstein, l’abeille est l’avenir de l’homme et c’est par cette célèbre citation que débute L’ile des abeilles tueuses. D’entrée le niveau intellectuel est élevé mais bizarrement la suite de ce film allemand effectue une chute vertigineuse, surprenant non ? A l’instar de L’attaque des guêpes tueuses, ça manque profondément de fun et on n’a fait preuve de peu d’imagination puisque les attaques se résument à un casting qui court dans tous les sens poursuivis par des abeilles numériques. L’intensité dramatique est quant à elle assurée par le sort du père de l’héroïne qui nous maintient autant en haleine que le destin des vers de terre en Amazonie. Encore uns fois, ça tente d’abord d’éviter le ridicule mais ça n’empêche pas pour autant que ce soit nul.

     

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