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thomas jane

  • White bird

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    Alors que notre pote Kat Connors (Shailene Woodley) allait bientôt célébrer ses 18 ans, sa mère Eve (Eva Green) a soudainement disparu. Au début, elle pensait qu’il ne s’agissait que d’un malentendu et que son père Brock (Christopher Meloni) dramatisait la situation mais il a bien fallu qu’elle se rende à l’évidence. Dans le même temps, ce départ ne surprend pas vraiment Kat puisqu’entre ses parents s’était immiscé une certaine indifférence et ce couple avait finit par dépérir. Reste à savoir pourquoi Eve est réellement partie. Certains disent qu’elle avait un amant et qu’elle aurait tout quitté pour refaire sa vie ailleurs.

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    Notre pote Gregg Araki continue son petit bonhomme de chemin et se charge de l’adaptation sur grand écran du roman de Laura Kasischke. Le point de départ est donc la disparition mystérieuse de la mère incarnée par Eva Green et ses répercussions. S’en suit alors un manège incessant entre passé et présent où se dévoilent au compte-gouttes les indices conduisant à cette conclusion. L’intérêt de White bird réside dans la personnalité de l’héroïne, jeune femme loin d’être traumatisée par la disparition de sa mère jusqu’au jour où éclate la vérité. Si le dénouement réserve une petite surprise, c’est loin d’être suffisant pour emballer le spectateur et finalement on se retrouve avec un film assez insipide.

     

    Il faut le voir pour : Remplacer votre frigo !

  • LOL USA

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    Entre Lola & Chad (Miley Cyrus & George Finn) tout est fini ! Ils pensaient pourtant que leur amour serait éternel ; ils avaient même écrits leurs noms sur la porte des toilettes du lycée mais la vie réserve parfois de drôles de surprises. Tandis que Chad se comporte comme un vrai con, Lola elle passe de plus en plus de temps en compagnie de Kyle (Douglas Booth), son pote d’enfance (et aussi celui de son ex !) et ce qui devait arriver arriva. Un nouveau couple se forme mais la vie d’une adolescente n’est jamais facile ; Lola pense à tort avoir surpris Kyle avec une autre fille et depuis ils ne se parlent plus. Pour ne rien arranger, sa mère Anne (Demi Moore) à la recherche d’un pull tombe malencontreusement sur le journal intime de sa femme.

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    On commence à avoir l’habitude désormais, un succès français a automatiquement droit à un remake outre-Atlantique. Le film au succès surprise de Lisa Azuelos n’échappe pas à cette règle mais la réalisatrice a réussi à s’imposer pour diriger cette version, dans quel intérêt ? La question se pose forcément devant LOL USA qui est une très pale copie de l’œuvre originale. La version française avait également une histoire en réunissant Sophie Marceau & Christa Theret ; une complicité totalement absente ici dans le duo Demi Moore / Miley Cyrus. Si on retrouve quelques moments clés, on est surtout frappé par le manque de spontanéité qui se dégage de l’ensemble du film qui le rend vite insipide. A choisir, mieux vaut donc revoir notre LOL (Laughing Out Loud) national !

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de bouffer de la cervelle et de vouer une adoration à Jeanne d’Arc.


    En savoir plus sur LOL (Laughing Out Loud) ?

  • The mist

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    Rien ne laissait présager une telle catastrophe, une violente tempête s’est abattue précipitamment sur Bridgton laissant la région dans un piteux état. Avant de réparer tous ces dégâts ; David Drayton (Thomas Jane) et son fils sont partis en ville pour faire quelques courses. Alors que tout le monde se presse au magasin, une épaisse brume se diffuse et la panique arrive lorsqu’un homme couvert de sang accourt pour se réfugier. Selon lui, il y a dans ce brouillard quelque chose d’anormal, quelque chose de dangereux et tous nos potes doivent alors se barricader dans le magasin pour leur protection.

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    Le maitre du roman horrifique Stephen King signait en 1980 le roman fantastique The Mist et 28 années plus tard, Hollywood se lance dans une adaptation cinématographique sortie dans une certaine indifférence. C’est vrai qu’on retrouve vite tous les éléments propres à ce genre si particulier à savoir une menace inconnue, une population effrayée et divisée. Là où l’on retrouve la patte de Stephen King c’est dans la définition du genre humain, la réaction de certaines victimes face au danger imminent leur faisant perdre toute notion de rationalité sans oublier le final déchirant. Le film de Frank Darabont est réussi mais n’a pas vraiment les atouts nécessaires pour s’imposer face à la concurrence.

     

    Il faut le voir pour : Régler vos feux antibrouillards.