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sébastien lalanne

  • Antigang

     

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    Notre pote Serge Buren (Jean Reno) est à la tête d'une équipe de la BRI assez particulière puisqu'elle n’hésite pas à employer des méthodes peu orthodoxes. Si les résultats sont au rendez-vous, ce n'est pas au goût de tout le monde et notamment de Becker (Thierry Neuvic). Pour ne rien arranger, ce dernier vient d’être nommé au poste de Commissaire devenant ainsi son supérieur hiérarchique avec comme but avoué de dissoudre l'unité de Serge. Entre les deux hommes, les relations sont donc plus que tendues mais ils vont devoir faire abstraction de tout ça pour le moment car un braquage sanglant vient d'avoir lieu dans une bijouterie.

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    Autant vous l'annoncer tout de suite, Antigang est un film bien bourrin mais clairement efficace pour le spectateur qui cherche à reposer son cerveau. De la baston à coups de battes de base-ball, des gunfights, des poursuites à 100 à l'heure ; la réalisation de Benjamin Rocher propose des scènes d'action qui ne manquent pas de punch. Néanmoins, la contrepartie de tout ça c'est que le scénario est basique et les personnages bien trop stéréotypés. Outre le face à face aux effluves de testostérone opposant Jean Reno à Thierry Neuvic, on est ravi de voir la présence au casting d'Alban Lenoir qui semble bien s'éclater. A voir sans prise de tête avec son petit paquet de pop-corn.

     

    Il faut le voir pour : Vous tenir loin des policiers armés de battes de base-ball !

  • David et Madame Hansen

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    Notre pote David (Alexandre Astier) a fait les frais du chamboulement de planning. Il avait prévu de passer l’après-midi avec sa fiancée Clémence (Julie-Anne Roth) accompagnée de son petit-frère Hugo (Victor Chambon) qui fête son anniversaire mais cet ergothérapeute se retrouve à jouer les accompagnateurs. On lui a en effet confié une patiente : Madame Hansen-Bergmann (Isabelle Adjani) avec qui il doit se rendre en ville afin d’acheter une paire de chaussures. Fraichement arrivé dans cette clinique suisse, il ne s’imaginait pas refuser cette mission et se retrouve désormais avec une patiente au comportement imprévisible. Une sortie, loin d’être une partie de plaisir, qui va se terminer par une plongée dans le traumatisme passé de cette femme.

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    Les fans l’attendaient avec l’adaptation au cinéma de l’univers de Kaamelott et bien en fait Alexandre Astier surprend tout le monde avec sa première réalisation sur grand écran. Pour lui tenir compagnie, il n’a pas choisi n’importe qui puisque c’est Isabelle Adjani qui vient ici jouer les amnésiques et qui n’a pas sa langue dans sa pocher. On se laisse ainsi séduire par les échanges parfois acerbes entre ce médecin et sa patiente, un duo qui trouve immédiatement ses marques et qui imprègne totalement permettant de mieux faire passer un scénario bien trop prévisible. Astier entre dans la cour des grands sans trop de difficultés même si, comme pour l’héroïne, David et Madame Hansen ne restera pas dans nos mémoires.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à oublier parfois les procédures.