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john magaro

  • The finest hours

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    Février 1952 à proximité des côtes du Massachussetts. Une terrible tempête fait rage et à bord du SS Pendleton, l’inquiétude grandit. Ray Sybert (Casey Affleck) craint en effet que le pétrolier ne tienne pas le coup face à la mer déchainée et ses prédictions s’avèrent malheureusement exactes. Ce que ses hommes et lui n’imaginaient pas c’était l’étendue des dégâts puisque le navire a été littéralement coupé en deux ! Pendant ce temps, les garde-côtes sont sur le pied de guerre ; ils ont reçu un appel de détresse mais celui-ci a été envoyé par un autre pétrolier ayant subi le même sort et pour le moment ils ignorent tout du sort du Pendleton. C’est finalement une petite équipe menée par Bernie Webber (Chris Pine) qui va se lancer dans une des opérations de sauvetage les plus périlleuses.

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    Parce que c’est un véritable acte héroïque qu’a accompli Bernie Webber et son équipe, son histoire méritait d’être dévoilée à tous. The finest hours sait se montrer impressionnant visuellement lorsqu’il nous entraine sur les flots surtout quand il se focalise sur le sort du SS Pendleton mais la tension retombe de manière brutale lorsqu’on remet pied à terre. Ceci est notamment vrai dans la première partie où se développe la relation Miriam / Bernie pour renforcer l’aspect dramatique du scénario. Une petite déception aussi car malgré son beau casting, les personnages incarnés par Ben Foster et Eric Bana sont trop effacés. On reconnaitra le mérite de vouloir rendre hommage à un vrai héros mais ça reste au final un film assez banal.

     

     

    Il faut le voir pour : Faire appel à votre femme si vous avez peur de demander quelque chose !

     

  • Carol

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    1952 à New York. Therese Belivet (Rooney Mara) est vendeuse dans le rayon jouets du grand magasin Frankenberg. Nous sommes à quelques jours de Noël et c'est en ce lieu qu'elle va faire la connaissance de Carol Aird (Cate Blanchett), une cliente à la recherche d'un cadeau pour sa fille. A son départ, la mère de famille oublie ses gants que Therese va prendre soin de lui renvoyer. C'est ainsi que les deux femmes reprennent contact et vont passer de plus en plus de temps ensemble ce que ne semble pas apprécier Harge (Kyle Chandler), le mari de Carol. Ce couple semble se désunir jour après jour mais ils font tout leur possible pour préserver leur fille Rindy (Kennedy K. Heim).

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    Adaptation du roman de Patricia Highsmith (en partie autobiographique), cette romance entre deux femmes n'aura pas manqué de provoquer quelques remous dans l'Amérique du début des années 1950. Une histoire d'amour qui se heurte à l'incompréhension de l'époque notamment à travers le personnage de Carol tiraillée entre sa condition de femme et celle de mère. La réalisation de Todd Haynes fait preuve d'une grande délicatesse à laquelle vient s'ajouter un formidable duo d'actrices. Si Cate Blanchett livre une nouvelle fois une prestation parfaite, on en oublie pas pour autant sa partenaire Rooney Mara. Un film à découvrir avant tout pour l'interprétation car l'histoire elle, reste somme toute assez classique.

     

    Il faut le voir pour : Offrir un train électrique à votre fille ça la changera des poupées !

  • My soul to take

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    Il y a 16 ans, la peur s’était installée dans la ville de Riverton où un serial-killer a marqué les esprits. Aujourd’hui, le souvenir de ce meurtrier est perpétué à travers un curieux rituel car sa mort correspond également à la naissance de 7 enfants. Ils s’appellent Penelope, Brittany, Jay, Brandon, Jerome, Alex & Adam (Zena Grey, Paulina Olszynski, Jeremy Chu, Nick Lashaway, Denzel Whitaker, John Magaro & Max Thieriot) et fêtent ainsi leur 16 ans et ils vont voir ressurgir ce tueur. Cela commence d’abord par la mort de Jay dont on retrouve le corps dans la rivière et il n’est que le premier de la liste ! Très vite une question se posera : s’agit-il du même tueur ou peut-être son âme s’est-il réincarné chez l’un des sept adolescents.

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    Il ne faut pas se le cacher, si My soul to take n’est pas sorti directement en vidéo ce n’est que parce que son réalisateur s’appelle Wes Craven. Difficile de deviner que le papa de Freddy et de Scream se cache derrière ce film d’épouvante qui ne réussira à nous effrayer que par sa terrible médiocrité. Le fameux serial-killer censé nous terroriser vous fera autant sursauter qu’un bon épisode de Scooby-doo tandis que ses victimes auraient bien mérité de passer à trépas bien plus tôt ! Quant au personnage de Bug, il est celui qui aurait du apporter un peu d’âme à ce film mais il est à mettre dans le même panier que les autres. Non, mais sans déconner Wes tu nous as refourgué un des films de ta jeunesse ?

     

    Il faut le voir pour : Eviter d’attaquer le condor de Californie !