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lou de laâge

  • Les innocentes

     

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    Décembre 1945 en Pologne. Notre pote Mathilde Beaulieu (Lou de Laâge) est médecin au sein de la Croix Rouge française et reçoit la visite d'une religieuse qui sollicite son aide. Elle va ainsi l'accompagner jusqu'à un couvent où elle découvre qu'une sœur est alitée et qu'elle s'apprête à donner naissance à un enfant. Mathilde apprend alors le drame qui s'est abattu ici où des soldats russes ont abusé des religieuses rendant certaines d’entre elles enceintes. Bien entendu, ce secret n'a jamais quitté ces murs et la Mère supérieure (Agata Kulesza) refuse que cela s’ébruite mais elle sait aussi qu’elle a besoin d’aide. C’est ainsi que Mathilde va être désignée pour prendre soin de ces bonnes sœurs et cela elle devra le faire dans la plus grande des discrétions.

     

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    Après le sympathique Gemma Bovery, la réalisatrice Anne Fontaine change totalement de registre en s'inspirant d'un véritable drame qui s'est déroulé durant la Seconde Guerre Mondiale. Les innocentes revient ainsi sur la tragique histoire vécue par ces religieuses polonaises, victimes collatérales de ce conflit. Un scénario intense qui se trouve magnifiquement interprété avec la présence d’une Lou de Laâge qui s’impose tout en douceur dans le paysage cinématographique français. A noter aussi la présence à ses côtés d’Agata Kulesza, un visage que l’on a eu l’occasion d’apercevoir dans Ida mettant lui aussi en scène la vie de bonnes sœurs. Un récit bouleversant, de merveilleuses actrices ; tout simplement un bon film à découvrir !

     


    Il faut le voir pour : Dire que vous avez une maladie contagieuse ça fera toujours fuir les hommes !

  • Jappeloup

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    Dès son plus jeune âge, notre pote Pierre Durand (Guillaume Canet) a baigné dans le monde hippique enchainant les concours pour la plus grande joie de son père Serge (Daniel Auteuil). Seulement, il s’est lassé de tout cela et ambitionne maintenant de devenir avocat et une belle carrière se profilait alors pour lui. Pourtant, Pierre décidera de tout plaquer et de retourner vers sa passion : l’équitation et c’est ainsi que commence sa formidable histoire avec Jappeloup. Au départ, il ne croyait pas du tout aux capacités de ce cheval et pourtant celui-ci va le faire galoper des simples concours aux Jeux Olympiques de Séoul.

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    C’est qu’on en a bouffé du cheval … au cinéma j’entends puisqu’après le pas drôle Turf, c’est maintenant au tour de Guillaume Canet de franchir l’obstacle. Jappeloup pourrait bien être considéré comme un biopic puisqu’il revient sur la belle histoire qu’a vécue le cavalier Pierre Durand et il ne vous sera pas très difficile d’imaginer la conclusion. Il y a toute une écurie d’excellents comédiens, de bons sentiments mais ça reste quand même un film où se succèdent 2 heures durant des chevaux sautant des obstacles. Il n’est donc pas impossible que ça finisse par lasser car on n’est pas tous passionnés par l’univers hippique mais il faut reconnaitre que c’est bien fait et efficace.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de sous-estimer les petits chevaux !

  • J’aime regarder les filles

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    1981. Notre pote Primo (Pierre Niney) est lycéen à Paris où il vit dans une petite chambre payée par ses parents. Les épreuves du bac approchent à grands pas et après un premier échec l’année dernière, il n’a plus le droit à l’erreur. Ce week-end, il avait l’intention de rendre visite à ses parents puisqu’il doit également aller voter dans le cadre des élections présidentielles. Hélas, les choses se passent mal avec son père et Primo retourne à Paris dans la précipitation et lorsque la nuit tombe, il décide de s’incruster dans une soirée. Sur la piste de danse il n’y a que des jeunes bourgeois pour qui l’argent n’est pas un souci et c’est là qu’il va tomber littéralement amoureux de Gabrielle (Lou de Laâge). Bien évidemment, cette dernière ne connait pas la véritable situation du jeune garçon qui va tout faire pour maintenir l’illusion.

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    Avec son titre qui fait référence à la célèbre chanson de Patrick Coutin, on se doute bien qu’il y a de l’amour dans l’air dans ce premier film de Frédéric Louf. Une énième comédie romantique semble donc se profiler sur nos écrans mais J’aime regarder les filles dévoile vite sa particularité. L’histoire prend en effet place au début des années 1980 et plus précisément avec l’accès au pouvoir de François Mitterrand soit l’entrée dans une ère socialiste redoutée par certains français. A travers le portrait de Primo, personnage attachant et interprété avec nonchalance par Pierre Niney, c’est une romance aux allures parfois étranges qu’on nous dévoile qui ne séduira pas l’ensemble des spectateurs.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à manger une pêche avec des couverts.