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ingrid bolso berdal

  • Hercule

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    Parce qu’il est le fils de l’humaine Alcmène (Karolina Szymczak) et du roi des Dieux Zeus, notre pote Hercule (Dwayne Johnson) est un être unique. Après avoir triomphé des 12 travaux, sa légende s’est propagée jusqu’aux oreilles de Megara (Irina Shayk) venue à sa rencontre. Elle vient de Thrace où son père Cotys (John  Hurt) est victime des atrocités commises par Rhésus (Tobias Santelmann), un tyran aux pouvoirs mystérieux. Hercule et ses potes d’enfance sont donc sollicités pour mettre fin à cette menace mais l’armée de Cotys est constitué d’hommes qui ne connaissent rien de la guerre. Ils ont donc besoin d’être entrainée mais le temps manque car les troupes de Rhésus avancent à grande vitesse et menacent le royaume de Thrace.

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    Après l’anecdotique La légende d’Hercule sorti en Mars 2014, le fils de Zeus a droit à une nouvelle incarnation en la personne de Dwayne Johnson, le mec bâti comme un roc qui vous fera admirer ses muscles. Là encore si vous vous attendiez à des aventures extraordinaires la déception est de mise puisque Brett Ratner s’amuse ici à déconstruire la dimension mythique du héros. Les 12 travaux sont évoqués rapidement et les créatures légendaires qu’on espérait rencontrer laissent place à d’impressionnantes batailles menées à échelle d’homme (et quand même mi-Dieu). Il est bien évident qu’Hercule ne se fera pas apprécier pour son scénario basique, c'est un film d’action parmi tant d’autres qu’on regardera uniquement pour son interprète principal.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir que même les devins peuvent se tromper !

  • Hansel & Gretel : Witch hunters

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    Ils n’étaient encore que des enfants lorsqu’ils furent abandonnés en plein milieu de cette foret et nos potes Hansel & Gretel (Cedric Eich / Jeremy Renner & Alea Sophia Boudodimos / Gemma Arterton) n’ont jamais compris pourquoi. Ils pensaient pouvoir trouver refuge dans cette belle maison faite de friandises mais au lieu de ça, ils ont eu à faire à une terrible sorcière. Ce frère et cette sœur sont parvenus à s’en débarrasser et débute alors pour eux une prestigieuse carrière de chasseurs de sorcières. Les années passent et leur réputation n’a cessé de grandir et c’est ainsi que le maire d’Augsburg fait appel à eux pour retrouver une dizaine d’enfants disparus, victimes des sorcières.

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    Encore un film qui va réveiller chez vous quelques souvenirs d’enfance ; comme son nom l’indique Hansel & Gretel : Witch hunters revisite de manière particulière le célèbre conte de Grimm. A part dans son introduction, l’histoire originale est vite balayée pour laisser place à une vision plus fantastique et bien plus violente. Vous l’aurez compris, on est certainement pas là pour faire fonctionner nos méninges; reste ensuite un défilé de sorcières que se feront un plaisir de dégommer nos héros à coups d’arbalètes, de mitraillette ou fusil à pompe. Le sang coule donc à flot mais c’est loin d’être aussi fun que promis, juste de quoi se vider la tête pendant 1H30.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter de bouffer des bonbons !

  • Chroniques de Tchernobyl

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    Natalie (Olivia Dudley), son petit-ami Chris & Amanda (Jesse McCartney & Devin Kelley) ont décidé de se faire plaisir en s’offrant ce tour d’Europe. Ils sont passés par Londres, Paris ou encore Francfort et c’est actuellement en Russie, dans la ville de Kiev qu’on les retrouve. L’occasion pour Chris de rendre visite à son frère Paul (Jonathan Sadowski) qui va se faire un plaisir de leur servir de guide pour leur prochaine destination : Moscou. Avant de se rendre dans la capitale russe, ils vont toutefois participer à une visite très particulière ; celle de la ville de Prypiat qui fut évacuée en 1986 lors du désastre de Tchernobyl. Il n’y a plus âme qui vive sur les lieux du moins c’est ce qu’ils pensaient …

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    Fort du succès de sa franchise Paranormal activity, Oren Peli s’est construit rapidement une certaine légitimité dans le genre épouvante-horreur, légitimité qu’il entend perpétuer. Si la réalisation a été confiée à l’inconnu Bradley Parker, c’est à la production et surtout au scénario qu’il chapeaute ce projet. A l’instar de certains classiques du genre, Chroniques de Tchernobyl sacrifie son groupe de jeunes victimes à des freaks made in Russia. Que dire de plus si ce n’est que ce film ne risque en aucun cas de nous irradier avec son manque d’originalité, on sera davantage contaminé par sa médiocrité. Scénario plat, des interprètes transparents ; Tchernobyl avait déjà connu une grande catastrophe, en voilà une autre !

     

    Il faut le voir pour : Vous méfier des ours lorsque vous faites du tourisme !