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prix de la meilleure interprète féminine

  • Melancholia

    cinéma, film, drame, melancholia, John Hurt, Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg, Kiefer Sutherland, Charlotte Rampling, Stellan Skarsgard, Alexander Skarsgård, Udo Kier, Brady Corbet, James Cagnard, Lars von Trier, prix de la meilleure interprète féminine, cannes 2011, scandale, polémique

    Cela devait être une soirée mémorable pour nos potes Justine & Michael (Kirsten Dunst & Alexander Skarsgård) qui célébraient leur mariage mais cette nuit n’allait pas se dérouler comme ils l’avaient imaginé. La jeune mariée se montre en effet très distante et on doit presque la contraindre à assister à la cérémonie donnée en son honneur ce qui ne plait guère à sa sœur Claire (Charlotte Gainsbourg) et encore moins à John (Kiefer Sutherland), le beau-frère qui a généreusement tout financé. Tandis que les heures s’écoulent, le jeune couple n’aura jamais paru aussi éloigné avant de provoquer une rupture qui semblait inévitable. Ce changement de comportement soudain de la part de Justine trouverait-elle un explication sur le phénomène incroyable que vit la Terre : l’arrivée dans son sillage de la planète Melancholia ?

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    On en a beaucoup parlé lors du Festival de Cannes 2011 d’abord par les propos indécents du réalisateur Lars Von Trier et puis sur une note plus positive avec la Palme de la meilleure interprète féminine attribuée à Kirsten Dunst. Après une magnifique séquence d’introduction, Melancholia nous invite à vivre la fin du monde à travers les visions conjuguées de 2 sœurs chacune se voyant attribuer un chapitre du film. On ne peut pas dire que ce soit réellement subjuguant, disons qu’il nous laisse tout le loisir d’admirer les interprétations parfaites de Kirsten Dunst et de notre Charlotte Gainsbourg nationale. Quant au reste, ça rappelle un peu ce que j’avais ressenti avec The tree of life de Terrence Malick ; pas mal de spectateurs risquent de rester sur la touche devant l’ambition de ce film.

     

    Il faut le voir pour : Ne surtout pas inviter votre patron au mariage, il serait capable de vous faire bosser !

  • Antichrist

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    Une fenêtre ouverte et un moment d’inattention ont fait que leur vie a basculé à jamais. Sur le trottoir enneigé, le corps de leur fils git inanimé et c’est une profonde douleur qui les assaille. Thérapeute, il (Willem Dafoe) tente de soutenir sa femme (Charlotte Gainsbourg) qui est tombée dans une grave dépression et est sujette à de violentes crises. Pour la faire surmonter cette épreuve, ils partent vers le lieu qui semble être le centre névralgique de ces crises : un chalet situé en plein milieu d’une foret en un lieu appelé Eden. Sur place, elle retrouve dans un premier temps la raison avant de s’évanouir dans la folie.

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    Scandale sur la croisette édition 2009, Lars Von Trier fait sensation avec son tout dernier long métrage et il y a effectivement quelques scènes très osées qui justifient amplement l’interdiction aux moins de 16 ans. Repartie de Cannes avec le Prix de la meilleure interprète féminine, Charlotte Gainsbourg dépasse les limites de l’actrice pour s’immerger corps et âme dans la détresse de cette mère ravagée. En dehors du choc provoqué par certaines images, Antichrist s’embourbe dans une histoire de sorcellerie peu compréhensible e on est loin d’être cloué sur notre fauteuil. Beaucoup de bruit pour un film insignifiant.

     

    Il faut le voir pour : Comprendre tout le sens de l’expression "Avoir les jambes lourdes"