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sandrine bonnaire

  • La dernière leçon

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    Jour d'anniversaire pour notre pote Madeleine (Marthe Villalonga) qui célèbre ses 92 ans et qui profiter de voir sa famille réunie pour leur annoncer une terrible nouvelle. Dans deux mois, le 17 Octobre très exactement elle s'abandonnera à la mort ! C'est une décision brutale mais mûrement réfléchie qu'elle avait déjà évoqué avec ses enfants Diane & Pierre (Sandrine Bonnaire & Antoine Duléry) qui ne peuvent cacher le choc provoqué par cette annonce. Avec l'age, Madeleine éprouve des difficultés au quotidien et refuse d’être un poids pour elle-même mais aussi pour son entourage mais son entourage va tout tenter pour la faire changer d'avis.

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    J'ai une tendresse particulière pour Marthe Villalonga qui a égayé les dimanches de ma jeunesse où je l'entends encore appeler "Madame Maguy !" C'est donc avec bonheur de la voir tenir ici l'un des rôles principaux de La dernière leçon (adaptant l'autobiographie de Noëlle Chatelet) qui vient remettre au cœur du débat le combat pour la fin de vie dans la dignité. Est donc confronté ici la volonté farouche d'une mère de partir face à l'incompréhension et l’impuissance de ses enfants. Un sujet sensible que la réalisatrice Pascale Pouzadoux traite ici avec justesse accompagné par des comédiens tous attachants, un film touchant !


    Il faut le voir pour : Demander aux voisins de votre mère de bien vouloir l'aider à monter les étages (mais il faut qu'ils soient costaud quand même!).

  • Salaud, on t’aime

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    Il ne supporte plus Paris c’est pourquoi il a décidé d’acheter ce splendide domaine de l’aigle situé près de Megève. Jacques Kaminsky (Johnny Hallyday) s’est fait un nom comme photographe de guerre et reste aujourd’hui encore une référence. Une belle carrière qui s’est construite non sans sacrifices et cela ses 4 filles Automne, Printemps, Eté & Hiver (Sarah Kazemy, Irène Jacob, Pauline Lefèvre & Jenna Thiam) pourront en témoigner. Toutes nées de mères différentes, Jacques est un amoureux indécis et vient d’ailleurs de quitter Bianca (Agnès Soral) pour se jeter dans les bras de Nathalie (Sandrine Bonnaire). Installé dans son domaine, le bonheur est cependant incomplet car il souhaite plus que tout la présence de ses filles auprès de lui.

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    Mine de rien, ce nouveau long-métrage du taulier Claude Lelouch est un petit évènement puisqu’il réussit à réunir à l’écran deux monuments de la musique française. On parle évidemment d’Eddy Mitchell et de Johnny Hallyday mais les véritables vedettes ce sont surtout les 4 filles du photographe. Dans son ensemble, le casting est tout simplement séduisant. Salaud, on t’aime c’est aussi un film en forme de rédemption pour le réalisateur français ; ça commence comme une émouvante réunion familiale et ça conduit forcément à des règlements de compte. On sera même pris de surprise par un évènement inattendu qui dévie le film vers un thriller un peu trop vite évincé et qui avec plus de développement aurait pu donner un second souffle bienvenu.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir les 4 saisons réunies !

  • Bonobos

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    Il s’appelle Béni et c’est un Bonobo, le bonobo est une espèce de singe originaire de la jungle équatoriale. Un jour, alors qu’il était dans les bras de sa mère, des hommes ont surgi en plein cœur de la foret semant la désolation et ont capturé ce petit singe. Il s’est par la suite retrouvé enfermé et exposé dans un bar miteux et c’est là que Claudine André l’a recueilli. Cette femme vient au secours de tous les bonobos depuis plus de 20 ans et a ouvert un centre ; Lola ya bonobo. Avec l’aide de potes d’enfance, elles soignent ces animaux blessés par la bêtise de certains hommes et la population ne cesse d’augmenter dans ce centre. Elle doit donc songer à remettre en liberté des bonobos tout en s’assurant qu’ils pourront retrouver une vie normale à l’état sauvage.

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    Fasciné depuis de longues années par les singes, nos lointains cousins (on considère que le Bonobo a plus de 98 % de gènes communs avec nous), c’est avec un œil véritablement intéressé que j’accueillais Bonobos. Un documentaire qui s’intéresse donc à cette énième espèce animale menacée qui se présente sous la forme d’un récit assuré du point de vue de Claudine André & de Béni, le bonobo recueilli. Cela permet ainsi de découvrir un singe vraiment facétieux mais surtout le combat d’une femme qui a dédié une grande partie de sa vie à les aimer et les préserver. Un joli film qui ravira toute la famille.

     

    Il faut le voir pour : Ne jamais inviter de Bonobos chez vous, ils vous mettraient rapidement la pagaille !

  • Joueuse

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    C’est l’été sur l’ile de beauté et comme chaque matin, Hélène (Sandrine Bonnaire) se lève pour aller travailler. Elle est femme de ménage dans un hôtel et alors qu’elle nettoyait une chambre, elle s’est laissé subjuguer par ce couple qui disputait une partie d’échecs. Jamais elle n’oubliera cette étrange sensualité qui se dégageait de cette femme et depuis Hélène s’est mis en tête d’apprendre les échecs. Au départ, elle jouait seule puis elle a finit par trouver un professeur et surtout un compagnon de jeu, le Dr Kröger (Kevin Kline) chez qui elle était employé pour faire le ménage. Passant de plus en plus de temps en sa compagnie, les rumeurs ne tardent pas à animer les discussions du village.

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    La réalisatrice Caroline Bottaro n’aura pas eu à chercher bien loin son inspiration pour son premier film puisqu’il s’agit de l’adaptation du roman La joueuse d’échecs dont l’auteure Bertina Heinrichs n’est nulle autre que sa voisine. L’histoire est on ne peut plus simple ; une mère au foyer sans rêves se découvre une passion inopinée pour les échecs et avec toute sa volonté devient une joueuse confirmée. Evidemment, il y a au départ pas mal de moqueries considérant les échecs réservés à une certaine élite. Plutôt captivant au départ Joueuse devient plus convenu par la suite et sur l’échiquier du cinéma, ça restera un pion qu’on pourra toujours sacrifier.

     

    Il faut le voir pour : Proposer à votre femme de ménage de la rétribuer contre des parties d’échecs.

  • L’empreinte de l’ange

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    C’est une période délicate pour notre pote Elsa (Catherine Frot) qui est en pleine procédure de divorce et qui se bat pour obtenir la garde de son fils Thomas (Arthur Vaughan Whitehead). Une chose qui s’annonce bien compliquée au vu de ses antécédents médicaux ; il y a 7 ans Elsa a vécu un drame familial qui la traumatise aujourd’hui encore. Les évènements empirent lorsqu’elle croise par hasard Lola (Héloïse Cunin), cette petite fille a quelque chose qui lui fait croire qu’elles sont liées. Pour Elsa, c’est le début d’un calvaire ; elle se met à épier la famille de Lola et à inventer des situations rocambolesques qui lui permettront de la revoir.

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    L’instinct maternel nous pousse parfois à faire des choses bien étranges comme c’est le cas pour ce personnage campé avec brio par Catherine Frot. Mère meurtrie par la disparition de sa fille, cet évènement du passé reste ancré dans sa mémoire la conduisant à un état de santé fragile. L’empreinte de l’ange est un bon thriller psychologique, Frot joue avec les nerfs de Sandrine Bonnaire et avec les nôtres par la même occasion car on ignore jusqu’où elle peut aller pour assouvir ses désirs. Le final est aussi surprenant qu’est la dernière phrase apparaissant à l’écran qui donne à l’histoire une tout autre dimension.

     

    Il faut le voir pour : Porter un casque quand vous faites du patin à glace.

  • Demandez la permission aux enfants

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    Quand notre pote d’enfance Francis (Pascal Légitimus) rencontre la belle Marie (Sandrine Bonnaire), il sait qu’elle est la femme de sa vie et très vite ils décident d’emménager ensemble. Par contre, il ne s’attendait peut-être pas à se retrouver avec 2 enfants sous les bras : l’adorable Raphael (Aurélien Du Mur) et la petite peste Lola (Rebecca Marder). Cette dernière se croit tout permis sous couvert qu’elle ne vit pas avec son vrai père mais elle n’est pas la seule à exaspérer ses parents. Il est donc temps d’en finir, les parents sont bien décidés à reprendre leur autorité en main !!

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    Clairement destiné à un public familial, cette comédie capte assez bien la jeunesse actuelle prisée par les nouvelles technologies et souvent imperméable à toute notion d’autorité et de respect. L’énergie et le réalisme de Demandez la permission aux enfants reposent justement sur la justesse d’interprétation de ceux-ci et croyez-moi qu’à travers certaines scènes, les parents se croiront revenir chez eux. Sans grandes ambitions sinon de divertir les spectateurs, ce film se laisse voir avec une petite brise de plaisir.

     

    Il faut le voir pour : Gardez vos enfants sages pendant 1H30.

  • Je crois que je l'aime

     

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    Depuis qu’il a divorcé, notre pote Lucas (Vincent Lindon) a énormément changé, il n’accorde plus la même confiance aux femmes. Ainsi, lorsqu’il fait la connaissance de la belle Elsa (Sandrine Bonnaire), son premier réflexe est de demander à son enquêteur privé Roland Christin (François Berléand) de monter un véritable dossier sur la jeune femme. Finalement, il va apprendre à la connaitre par ses propres moyens et tombera très vite sous son charme jusqu’au jour où Elsa apprend qu’elle a été épiée durant des jours.

     

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    Voici une comédie romantique française qui semble ordinaire et qui effectivement n’apporte pas de grandes nouveautés à ce que l’on a déjà pu voir auparavant. Le scénario sent le réchauffé mais Je crois que je l’aime reste un divertissement agréable grâce au couple Vincent Lindon / Sandrine Bonnaire qui apporte un peu de fraicheur.  A cela s’ajoute la présence du toujours très bon François Berléand sans oublier celle de Kad Merad fraichement récompensé du César du meilleur second rôle. Léger, je crois que tout le monde n’aimera pas ce film !

     

    Il faut le voir pour : La meilleure télécommande au monde !