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samy seghir

  • A toute épreuve

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    L’épreuve du Baccalauréat s’approche et nos potes Greg & Yani (Thomas Soliveres & Samy Seghir) se demandent encore quelle combine ils vont pouvoir inventer pour obtenir le précieux sésame. Au départ, ils pensaient pouvoir acheter les sujets auprès d’un certain Golgoth 17 mais une descente de police a soudainement mis fin à leur plan. Ils entendent tout de même parler de Scarface (Laouni Mouhid) qui a tenté quelques années auparavant de s’emparer des sujets sans succès. Greg & Yani vont donc le contacter et le convaincre de les aider mais il leur faudra un plan minutieusement préparé s’ils veulent parvenir à leurs fins.

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    Après avoir organisé La traque, notre pote Antoine Blossier change totalement de registre avec cette comédie braquant les projecteurs sur les jeunes bacheliers. Devant les mésaventures de nos cancres Thomas Soliveres et Samy Seghir, difficile de ne pas penser aux teen-movies américains notamment avec l’organisation de cette grande fête étudiante ou la notoriété soudaine de Yani. On ne peut pas dire qu’A toute épreuve se montre beaucoup plus inspiré aussi bien en ce qui concerne l’humour que d’une histoire bien prévisible. Pas besoin de révisions ici ; c’est une petite comédie à qui l’on accordera simplement, et en étant généreux, une petite mention passable.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre que tous les NGUYEN ne sont pas forcément asiatiques !

  • En solitaire

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    On peut dire que notre pote Yann Kermadec (François Cluzet) a le vent en poupe puisqu’après un accident, il a remplacé au pied levé son beau-frère Franck Drevil (Guillaume Canet) dans la prestigieuse course du Vendée Globe. C’est un rêve qui se réalise pour lui et il est en passe de réaliser un exploit en laissant ses rivaux derrière lui. La chance va finir par l’abandonner puisque son voilier percute quelque chose et il est obligé de s’arrêter pour effectuer des réparations. Déterminé à refaire son retard, il se lancer à la poursuite des autres concurrents mais va avoir la désagréable surprise de constater que quelqu’un est monté à bord de son bateau. Il s’appelle Mano Ixa (Samir Seghir) et veut rejoindre la France pour se faire soigner.

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    Si vous êtes du genre à avoir le mal de mer même au cinéma, mieux vaut ne pas tenter le diable ! On embarque en effet en compagnie de François Cluzet pour cette incroyable compétition du Vendée Globe avec de somptueuses images. Même si on n’est pas forcément attiré par cet univers maritime, il y a quelque chose de fascinant voire de relaxant à voir ces bateaux filer au gré du vent. S’il n’y a rien à redire sur la prestation de Cluzet, c’est au niveau du scénario qu’En solitaire prend un peu l’eau. Il ne se passe rien de très passionnant durant cette course et même la relation entre Yann & Mano nous laisse sur faim. Sans compter que les quelques scènes qui nous ramènent sur la terre ferme sont tout simplement inutiles.

     

    Il faut le voir pour : Croiser les doigts pour avoir un cadeau de Noël aussi séduisant !

  • Les petits princes

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    Repéré grâce à une vidéo qu’il a postée sur le net, notre pote JB (Paul Bartel) touche du doigt ses rêves. Il vient en effet d’intégrer un club de formation de football, la première étape pour espérer devenir un jour professionnel. A l’entrainement il n’hésite pas à mettre du cœur à l’ouvrage mais le jeune garçon a une malformation cardiaque qui rend impossible toute carrière dans le sport de haut-niveau. Pour continuer à vivre ses rêves, il a donc décidé de falsifier son dossier médical mais JB met sa vie en danger chaque fois qu’il entre sur le terrain. Son pote d’enfance El Malah (Ralph Amoussou) mais aussi l’entraineur-adjoint Reza (Reda Kateb) vont apprendre la vérité à son sujet mais pourront-ils le convaincre de raccrocher les crampons ?

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    On l’a encore constaté récemment avec Les seigneurs, football & cinéma ne font pas toujours bon ménage mais bonne nouvelle Les petits princes devrait pouvoir réconcilier les spectateurs. On suit le parcours d’un jeune prodige du ballon rond qui cherche à se faire une place sur le terrain en dépit de son état de santé. L’histoire est donc plutôt belle mais surtout elle est servie par un superbe casting à commencer par Paul Bartel sans oublier d’excellents seconds rôles tenus par Reda Kateb ou Eddy Mitchell. Des personnages touchants par leur vulnérabilité ce qui les rend donc véritablement attachants ; du vrai beau jeu proposé par Vianney Lebasque pour son premier long-métrage.

     

    Il faut le voir pour : Essayer de comprendre les proverbes africains !

  • Nuit blanche

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    Bien qu’ils aient préparé leur coup, nos potes Vincent & Manuel (Tomer Sisley & Laurent Stocker) ont du faire face à un imprévu mais au final ils ont réussi à piquer près de 10 kilos de cocaïne. Le seul problème c’est qu’on a reconnu Vincent et celui-ci reçoit vite un coup de fil de Marciano (Serge Riaboukine) qui veut récupérer sa came et qui a pour cela enlevé Thomas (Samy Seghir), le fils de Vincent. Sans hésiter, ce dernier décide d’aller rendre la drogue et il rejoint ainsi Le tarmac, une boite de nuit où la soirée s’annonce très longue. L’échange aurait pu se dérouler simplement mais le flic ripoux fait l’objet d’une enquête et dès lors rien ne va se passer comme prévu.

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    Notre pote Tomer Sisley troque le beau costume de milliardaire de Largo Winch pour celui d’un flic ripoux et ça donne un film assez plaisant. Nuit blanche nous invite à passer la soirée dans une boite, un huis-clos qui ne manque pas de rebondissements et de bonnes scènes d’action (incroyable tout ce qu’on peut faire dans une cuisine !) mais également avec un brin d’humour parfois trop répétitif. La nuit s’annonce donc plutôt bonne du moins dans la première heure, les derniers instants s’avèrent plus délicates pour le spectateur. Une désagréable impression de déjà-vu s’installe et fait s’envoler le plaisir qu’on avait jusqu’alors mais ça n’enlève rien au fait qu’on se laisse entrainer facilement dans l’aventure.

     

    Il faut le voir pour : Aller fouiller dans le plafond des toilettes des femmes, vous trouverez peut-être votre bonheur.

  • Neuilly sa mère

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    Parce que sa mère doit s’absenter pour des raisons professionnelles, Sami (Samy Seghir) a été forcé de quitter sa cité de Chalons et ses potes d’enfance pour la banlieue parisienne. En fait, il atterrit chez sa tante Djamila (Rachida Brakni) qui vit à Neuilly-sur-Seine ; la ville de Sarkozy ! Sami  découvre alors un mode de vie complètement différent que celui dans lequel il a grandit et son adaptation n’est pas des plus aisés. Entre son cousin Charles (Jérémy Denisty) qui rêve de devenir Président de la république et les fils à papa de sa nouvelle école qui se prennent pour des caïds, il y a de quoi déprimer. Pour lui remonter un peu le moral, il y a heureusement la belle Marie (Joséphine Japy) même si face à elle il se sent comme Quasimodo devant Esméralda.

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    Tout en restant fidèle aux comédies populaires, Djamel Bensalah expérimente pas mal de choses à travers ses films. Il avait tenté l’aventure avec Le raid, le western version junior avec Big City (dont on retrouve d’ailleurs une partie du casting) et cette fois c’est l’opposition entre banlieue et beaux quartiers qui est né de son imagination confiant toutefois la réalisation à Gabriel Julien-Laferrière. On pourra reprocher à Neuilly sa mère de ne pas nous épargner en termes de clichés mais on lui pardonnerait presque cela car il y a de la bonne humeur pendant 1H30. Bensalah fait également jouer ses relations pour nous proposer une belle brochette de guest-stars. Il y a des scènes vraiment marrantes et c’est le genre de film qu’on appréciera de voir et revoir.

     

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