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shirley henderson

  • Tale of tales

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    Plus que tout au monde la Reine de Selvascura (Selma Hayek) veut un enfant mais le destin ne semble pas vouloir lui sourire. Un soir, elle et son mari le Roi (John C. Reilly) reçoivent la visite d'un homme qui va offrir une solution à leur problème. Pour cela, il faudra vaincre un monstre marin, en arracher le cœur qui devra être cuisiné par une jeune femme vierge et la Reine devra alors le manger pour tomber enceinte. Alors que le Roi donne sa vie pour chasser ce monstre, la prophétie se réalise puisque sa femme donnera naissance à Elias (Christian Lees) mais la jeune femme vierge est elle aussi tombée enceinte et ainsi est né Jonah (Jonah Lees) qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Elias.

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    Ce ne sont pas moins de 3 récits populaires sélectionnés parmi le recueil Le conte des contes de l'italien Giambattista Basile qui sont ici mis en image mais on est loin des contes pour enfants ! Il s'agit ainsi d'un espèce de film choral où les différentes histoires sont présentées de manière alternative offrant pour le coup un petit mélange des genres. Dans un premier temps le destin de la Princesse Violet ou encore les mésaventures de l'insatiable roi interprété par notre Vincent Cassel national se montrent plutôt amusants avant de verser dans le dramatique. On ne va pas forcément tresser des louanges pour Tale of tales - et certainement pas pour ses effets spéciaux - mais on passe plutôt un bon moment.

     

    Il faut le voir pour : Apprivoiser une tique, si si c'est possible !

  • A very englishman

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    Notre pote Paul Raymond (Paul Coogan) aime le spectacle et il en a fait son métier en proposant des shows très particuliers. Les belles femmes attirent les regards et encore plus lorsqu’elles sont nues et ça il l’a bien compris ; c’est ce qui va faire son succès et sa richesse. Bien que mariée avec Jean (Anna Friel) et père de 2 enfants, sa libido débordante l’amène à collectionner les conquêtes néanmoins avec le consentement de sa femme. Sa relation avec Fiona (Tamsin Egerton) sera différente puisqu’il quittera le foyer familial avant de demander le divorce afin de vivre avec cette rousse flamboyante et star de ses productions.

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    Si les Etats-Unis ont Hugh Hefner avec Playboy, l’Angleterre a Paul Raymond une des plus grandes fortunes du pays qui a construit lui aussi un véritable empire du charme. Il est plus que probable que vous ne connaissiez pas ce personnage (ou que vous feignez de ne pas connaitre) avant ce film de Michael Winterbottom qui vous permet ainsi de découvrir son ascension professionnelle. Difficile de ne pas s’intéresser à la vie dissolue de ce beau parleur toujours en galante compagnie d’autant plus que Steve Coogan livre une belle performance pour ce biopic divertissant sans réussir à rendre A very englishman incontournable.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à être un bon père et fournir de la bonne drogue à vos enfants !

  • Bridget Jones : L’âge de raison

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    Elle n’y croyait plus et pourtant c’est bien réel ; notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger) a un petit-ami ! Elle ne peut s’empêcher de regarder Mark (Colin Firth) dormir et puis vous saviez qu’il était avocat ? Le couple semblait donc filer le parfait amour mais c’est souvent quand tout est trop beau qu’une ombre au tableau apparait. Bridget garde un œil très attentif sur Rebecca (Jacinda Barrett), la secrétaire de Mark qu’elle trouve beaucoup trop proche et il n’en faut pas plus pour la rendre jalouse. Leur relation pourra-t-elle surmonter cette épreuve tout en sachant que le Dom Juan Daniel Cleaver (Hugh Grant) n’est pas bien loin et qu’il n’hésiterait pas à profiter de la situation.

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    Il aurait été dommage qu’on ne profite pas à fond du succès de Bridget Jones ; on rempile donc pour les nouvelles mésaventures de celle qui fut la plus célèbre des célibataires. Zellweger, Firth & Grant sont toujours présents et si auparavant la belle blonde se posait des questions sur son célibat, c’est désormais sa vie de couple qui la tracasse. Pas certain que le sujet passionne davantage la gente masculine. Si les fans les plus assidus pourront se satisfaire de la revoir, il faut quand même avouer que ce Bridget Jones : L’âge de raison est bien poussif ; l’illustration parfaite étant cette séquence de la prison thaïlandaise. On dit qu’une suite déçoit souvent et là on ne pourra pas dire le contraire !

     

    En savoir plus sur Le journal de Bridget Jones ?

  • Le journal de Bridget Jones

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    La trentaine passée, quelques kilos en trop et toujours célibataire ; elle n’est pas loin de la dépression notre pote Bridget Jones (Renée Zellweger). Comme si ça ne suffisait pas, sa mère tente bien maladroitement de la caser avec Mark Darcy (Colin Firth), avocat fraichement divorcé. Entre les deux, le coup de foudre a plutôt des allures de coup de froid et la jeune femme trouvera son bonheur dans les bras de Daniel Cleaver (Hugh Grant), son boss. Si Bridget semble s’épanouir sentimentalement parlant, on ne peut pas dire que son nouveau compagnon soit un modèle de vertu et elle va l’apprendre de façon plutôt brutale. Et si finalement Mark n’était pas le goujat qu’elle croyait ?

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    Grand succès littéraire, on doit Le journal de Bridget Jones à l’auteure Helen Fielding et les fans du roman attendaient de pied ferme cette adaptation sur le grand écran. Evidemment, tout le monde ne sera pas d’accord mais un spectateur lambda qui n’a jamais lu le bouquin (disons par exemple moi !) trouvera que Renée Zellweger s’en tire avec les honneurs en incarnant cette "héroïne" des temps modernes. Entourée du gendre idéal Colin Firth et du playboy Hugh Grant, ce trio sympathique fait mieux passer la pilule d’un scénario sans génie. Destiné avant tout à un public féminin, les mecs pourront toujours apprendre quelques trucs sur la gente féminine comme la fonctionnalité de la culotte de grand-mère.

  • Life during wartime

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    Il faut bien que notre pote Joy (Shirley Henderson) se fasse une raison, son mari Allen (Michael Kenneth Williams) est un pervers, une maladie avec laquelle elle va devoir vivre. Pour l'instant, elle a décidé de faire un break en Californie où vivent sa mère et sa sœur Trish (Allison Janney) dont le fils Timmy (Dylan Riley Snider) va prochainement célébrer sa bar-mitsva. Ce dernier est par ailleurs très troublé puisqu'il vient d'apprendre une terrible nouvelle, son père qu'il croyait mort est en fait emprisonné après avoir été condamné pour pédophilie.

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    Pour les connaisseurs, Life during wartime est en quelque sorte une suite au film Happiness de Todd Solondz sorti en 1998. Le réalisateur reprend les mêmes personnages pour les plonger dans le monde actuel avec un humour corrosif et parfois très osé. Cependant, le film est vite rattrapé par des portraits souvent ennuyeux malgré quelques scènes surréalistes comme cette conversation entre mère et fils sur l'orgasme qu'elle a eu. Une pertinence qu'on aurait bien apprécié de retrouver tout au long du film hélas c'est une certaine monotonie pour ne pas dire de l'ennui qui reprend vite le dessus.

     

    Il faut le voir pour : Arrêter d'assassiner les bébés carottes !