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  • Hitman : Agent 47

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    A la fin des années 1960, le professeur Litvenko (Ciarán Hinds) a lancé avec succès le programme Agents créant de véritables machines à tuer. Il a rapidement pris conscience de son erreur et a mis fin à cela avant de prendre la fuite. D’autres expériences similaires ont été lancés mais les résultats escomptés n’étaient pas au rendez-vous aussi cherche-t-on maintenant à remettre la main sur Litvenko afin qu’il livre ses secrets. La seule personne qui pourrait retrouver sa trace est Katia Van Dees (Hannah Ware) qui semble posséder certains dons et c’est en Allemagne qu’on retrouve la jeune femme. Un certain John Smith (Zachary Quinto) l’aborde avant qu’ils soient tous deux poursuivis par l’Agent 47 (Rupert Friend).

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    Le jeu vidéo avait déjà connu une première adaptation en 2007 qui n'avait pas soulevé les foules et débarque donc 8 ans plus tard ce reboot qui ne devrait pas faire mieux ! On dit adieu à Timothy Olyphant pour accueillir Rupert Friend tandis que pour la réalisation Xavier Gens laisse la chaise à Aleksander Bach pour son premier long-métrage . Il n'y a pas beaucoup d’âme dans ce Hitman : Agent 47 ; il faudra se contenter de quelques scènes d'action misant sur le spectaculaire car pour le reste c'est sans intérêt. On ne sait pas de quoi sera fait l'avenir cinématographique de ce personnage mais je pense que beaucoup préféreront le retrouver sur consoles plutôt que dans un film !

     

    Il faut le voir pour : Vérifier qu'il n'y a pas un double sens à votre nom !

     

    En savoir plus sur Hitman ?

  • Les poings contre les murs

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    Jusqu’à présent il n’avait fréquenté que les centres de détention pour mineurs mais à désormais 19 ans, notre pote Eric Love (Jack O'Connell) vient d’intégrer une prison. Il ne tarde pas à se fondre dans son nouvel environnement et agresse très rapidement un de ses codétenus ce qui lui vaut un petit séjour à l’isolement. Loin de se montrer docile, son comportement va attirer l’attention d’Oliver (Rupert Friend) qui aimerait l’intégrer dans son programme afin que le jeune homme apprenne à canaliser sa colère. Surtout si Eric se trouve dans cette prison, c’est qu’il souhaite revoir quelqu’un en particulier qui est enfermé depuis déjà de nombreuses années.

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    Comme beaucoup de longs-métrages sur l’univers carcéral, tout commence avec l’arrivée d’un nouveau détenu et en l’occurrence on découvre Jack O'Connell (dont le visage me fait penser au catcheur John Cena mais c’est le geek en moi qui parle). Totalement imprégné par son personnage, l’acteur livre une grande performance qu’il faut également coupler à celle de Ben Mendelsohn. C’est d’ailleurs le lien particulier entre ces deux personnages qui donne une certaine singularité à Les poings contre les murs redonnant un peu d’intérêt à une histoire dans l’ensemble classique. Un film certes réussi mais qui manque tout de même d’un petit quelque chose pour provoquer un véritable impact dans nos esprits.

     

    Il faut le voir pour : Trouver une bonne planque pour votre portable !

  • Lullaby

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    Leur rencontre s’était déroulé comme dans un conte de fée. Sam (Rupert Friend) regardait son film préféré ; Certains l’aiment chaud et c’est à ce moment qu’elle a débarqué comme si de rien n’était. Elle s’appelait Joséphine (Sarah Wayne Callies) tout comme le personnage de Tony Curtis dans le film et ce fut le coup de foudre immédiat. Sam, musicien en panne d’inspiration avait retrouvé une muse mais la mort de Joséphine fut aussi brutale que leur rencontre. Plongé en pleine dépressions depuis cette tragique disparition, le jeune homme va faire la connaissance de Pi (Clémence Poésy) ; une femme qui a trouvé refuge dans sa salle de bain.

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    Une rencontre inconcevable, une passion naissante et un brin de jazz voici en gros ce que vous allez déguster avec Lullaby. Bon parfois, on trouve le temps bien long et il y a même quelques scènes qui éveillent notre perplexité comme cette battle de slam au piano ou cette fiesta dans un appartement bien squatté ! Du coté de l’interprétation, le coté dandy du personnage de Rupert Friend peut aussi bien séduire qu’il peut agacer en revanche notre chère Clémence Poésy est d’une telle fragilité qu’on ne peut que se laisser charmer. Seulement, ce rapport de séduction ne dure qu’un temps et ce n’est pas un film qui nous laissera des souvenirs impérissables.

     

    Il faut le voir pour : Trainer dans votre salle de bain, vous pourriez y faire des rencontres intéressantes.

  • Victoria, les jeunes années d’une reine

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    Naitre au sein d ‘une famille royale, beaucoup en rêvent mais la réalité n’est pas forcément le conte de fée que l’on s’imagine ! Victoria (Emily Blunt) a grandi en bénéficiant du prestige que lui accordait sa lignée mais ces somptueux châteaux ont vite constitué une barrière à son épanouissement. Entouré de sa mère la Duchesse de Kent (Miranda Richardson) et leur conseiller John Conroy (Mark Strong), Victoria a vécu sous des ordres strictes et alors qu’on attendait d’elle qu’elle accorde la régence à sa mère pour prendre la succession de son oncle, le roi Guillaume (Jim Broadbent) ; elle crée la surprise en montant sur le trone à seulement 18 ans !

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    L’histoire retiendra de Victoria qu’elle fut le monarque qui a eu le plus long règne au Royaume-Uni et ce malgré les tentatives de manipulations auxquelles elle a du faire face. Loin de lui rendre un bel hommage, le film de Jean-Marc Vallée (C.R.A.Z.Y.) risque lui de passe beaucoup plus inaperçu car il ne suffit pas de jolis costumes d’époque et de somptueux décors pour faire un biopic historique digne de ce nom. Victoria, les jeunes années d’une reine est d’un ennui royal en partie à cause d’un scénario sans reliefs ; les conspirations à l’encontre de la reine sont légers et la romance avec le Prince Albert est sans magie.

     

    Il faut le voir pour : Exiger qu’on vous tienne la main pour descendre ou monter les escaliers.

  • Chéri

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    Il n’y a encore pas si longtemps, avoir à son bras une dame de compagnie était monnaie courante ; ce fut ce qu’on appela la Belle époque. Léa de Lonval (Michelle Pfeiffer) a ainsi vu de nombreux partenaires défiler dans sa vie mais aucun d’entre eux ne l’aura autant bouleversé que Fred Peloux (Rupert Friend), fils d’une de ses potes d’enfance Charlotte (Kathy Bates). Léa l’a vu grandir et a assisté à sa vie pleine d’excès en tous genres, elle va ainsi le reprendre en main pendant quelques temps. Jamais elle n’aurait imaginé que cela durerait 6 ans jusqu’au jour où celui qu’elle surnomme Chéri va prochainement se marier.

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    En adaptant le roman homonyme de Colette, Stephen Frears nous convie à une époque où le libertinage avait encore de beaux restes. Un peu à l’image de Michelle Pfeiffer qui, si elle n’a plus sa fraicheur d’antan (oui je sais, on ne dit pas ça d’une femme !), a suffisamment de charmes pour en séduire plus d’un. La surprise vient surtout de Rupert Friend en amoureux transi qui nous régale avec son "Nounoune" et qui forme avec Pfeiffer un couple inattendu et convaincant. Film d’époque traité avec une certaine nonchalance, Chéri se remarque d’abord par l’alchimie de son duo vedette et le reste fait son œuvre.

     

    Il faut le voir pour : Regretter que Maxim’s ne soit plus aussi bien fréquenté !